- Mer Aoû 22, 2012 3:57 pm
#125265
[quote="murakami"]Les femmes ont une capacité assez fascinante à se couper de la réalité et à se mentir à elle même.
Les hommes aussi...c'est pas une question de genre.
Pour répondre à ta question : oui.
La pression sociale peut être une explication mais elle reste un effet, pas la cause.
La cause est un réflexe d'auto-protection que nous avons tous : on continue de faire une chose, de mener une entreprise pour ne pas se dédire de ce que nous avons dit, fait ou prétendu.
Parfois, on persévère dans une voie pour justifier des efforts passés entrepris.
La motivation est de ne pas avoir à reconnaitre que l'on s'est trompé à un moment donné et de devoir l'assumer socialement.
Dans la fail-conf (chercher le lien sur le site) les entrepreneurs en parlent bien : dans toute entreprise, il faut savoir "retourner" son entreprise si elle ne marche pas avec le postulat, l'hypothèse de départ.
Que ce soit un business ou une histoire de couple, c'est un signe d'intelligence d'accepter que l'on fait fausse route et de changer de cap.
"Pour la masse", quand on a affiché un projet, une ambition, un rêve, il est difficile d'accepter ce changement, voire ce reviremment.
Communément, les gens sont moins intelligents que ceux qui savent se remettre en cause et agir en conséquence.
Comme pour tout changement, ça a trait avec la relation de pouvoir qui s'exerce dans toute relation, d'où le never complain, never explain de Robert Green (Les 48 lois du pouvoir - chercher le post qui les traduit en français sur le site).
"Pour la masse", c'est seulement acculé à une extrémité que le faux-choix exposé socialement devient insupportable et donc, rejeté au pied du mur ce qui donne souvent droit à un reviremment de situation quasi complet.
Et j'insiste, ce ne sont pas seulement les femmes qui le font.
Les hommes aussi...c'est pas une question de genre.
Pour répondre à ta question : oui.
La pression sociale peut être une explication mais elle reste un effet, pas la cause.
La cause est un réflexe d'auto-protection que nous avons tous : on continue de faire une chose, de mener une entreprise pour ne pas se dédire de ce que nous avons dit, fait ou prétendu.
Parfois, on persévère dans une voie pour justifier des efforts passés entrepris.
La motivation est de ne pas avoir à reconnaitre que l'on s'est trompé à un moment donné et de devoir l'assumer socialement.
Dans la fail-conf (chercher le lien sur le site) les entrepreneurs en parlent bien : dans toute entreprise, il faut savoir "retourner" son entreprise si elle ne marche pas avec le postulat, l'hypothèse de départ.
Que ce soit un business ou une histoire de couple, c'est un signe d'intelligence d'accepter que l'on fait fausse route et de changer de cap.
"Pour la masse", quand on a affiché un projet, une ambition, un rêve, il est difficile d'accepter ce changement, voire ce reviremment.
Communément, les gens sont moins intelligents que ceux qui savent se remettre en cause et agir en conséquence.
Comme pour tout changement, ça a trait avec la relation de pouvoir qui s'exerce dans toute relation, d'où le never complain, never explain de Robert Green (Les 48 lois du pouvoir - chercher le post qui les traduit en français sur le site).
"Pour la masse", c'est seulement acculé à une extrémité que le faux-choix exposé socialement devient insupportable et donc, rejeté au pied du mur ce qui donne souvent droit à un reviremment de situation quasi complet.
Et j'insiste, ce ne sont pas seulement les femmes qui le font.