- Lun Fév 19, 2018 8:43 am
#184169
[quote="jazzitup_"][quote]Les bonnes de Sade, les bergères de Louis XV, les pages de Gilles de Rai, les servantes de la comtesse Bathory, et les messes noires des campagnes.
Se pose évidemment la question du consentement et du rapport de pouvoir, à part pour les messes noires (as-tu des infos) ?
Sinon, je ne suis pas seulement censeur ceinture verte, je suis aussi grammar nazi ceinture jaune : "ât" signale le subjonctif imparfait, et non le passé simple
.
Je lance des références qui me viennent comme cela, il y en a des milliers en fait.
Dans certaines tribus amazoniennes, un jeune garçon doit être initié par la femme de son frère ainé depuis la nuit des temps.
Chez les inuits, possibilité de sexe de groupe dans l'obscurité.
Chez les romains où l'on distingue clairement sensualité, mariage dont le rôle est social, et copulation maritale purement reproductrice, la sexualité pure est illustrée par les maisons closes, Pompéi étant le cas le plus documenté.
Les procès en sorcellerie sont très explicites sur des pratiques sexuelles poussées qui ne pouvaient être que cataloguées démoniaques. Ce sont des dizaines de milliers de cas répertoriés sur toute l'Europe.
Je peux aussi évoquer les scandales de couvents ou abbayes où les pratiques sexuelles ont été qualifiées de "possession" (ursulines de Loudun par exemple).