Arrêtez votre petit blog que personne ne lit, bénéficiez des milliers de visiteurs quotidiens de SpikeSeduction pour votre journal

Modérateurs: animal, Léo

By Sobre n' Soft
#84089 Je vais essayer de tenir ce journal de façon à ce qu'il soit utile non seulement à moi même, mais à tous ceux qu'il pourrait intéresser, au moins en les divertissant.


______________________________________________________________
[size=150]Lucile, 9/10, 18 ans.[/size]

Partie 1 : la rencontre

Avec deux très bons amis, nous avons lancé il y a quelques mois un mouvement de socialisation dans notre ville natale. Le principe était très simple : nous allions parler aux gens, tout simplement.
C’est dans ce contexte qu’une après midi, alors que j’étais tranquillement assis sur le banc d’un parc avec deux lycéennes que j’avais abordées (elles étaient trop jeunes à mon goût, mais j’appréciais beaucoup l’une d’entre elles, écrivaine en herbe), que déboulèrent soudain deux de leurs connaissances : un jeune homme aux cheveux longs, mal rasé et habillé comme un papou de nouvelle Calédonie en voie de reconversion, et sa compagne, superbe.
Blonde en robe longue, gracieuse et épanouie dotée une peau parfaite et d’yeux encore plus beaux que les miens. J’apprendrais plus tard que lui a 25 ans, et elle 18 (sur le coup j‘avais tant été impressionné que je lui en aurait donné plus de 25).

Aussitôt, apercevant la blonde, la lycéenne qui était assise avec moi à ma gauche entreprit de me toucher la jambe et les mains, exactement comme si j’étais son « petit ami » (ce qui n’avait absolument aucune chance de se produire).
Les connaissances se sont faites naturellement, les présentations aussi. La blonde s’appelait Lucile (L), et son ami Le Papou. Les deux lycéennes se sont alors mises à parler de moi, surexcitées, à L, exactement comme si je n’étais pas là, s’attardant sur des détails ahurissants, comme ma façon de tenir ma canette de Coca ou de plisser mon nez lorsque je rie, puis expliquant comment je les avais abordées (je m’étais présenté comme un pédophile amateur :D).

Puis vint le moment où tout bascula :
[quote]Le Papou à L : Nous devrions y aller.
L : Oui vas-y, mais je vais rester ici encore un moment.
Le Papou : O_O (le pauvre…)

Et il s’en est allé sans sa jolie compagne, qui s’assit sur le banc aux côtés de ses amies.
Jusque là, il faut noter que je n’ai quasiment rien fait, mis à part sourire pour me donner l’air sympathique et échanger quelques plates banalités.
La conversation se poursuit avec la même légèreté superficielle, et j’ai farouchement l’impression que le jolie L joue un rôle et n’est pas elle-même. Je le lui fais remarquer, et elle feint de ne pas comprendre.
Je laisse aux trois demoiselles l’adresse d’un Blog que nous avons créé avec deux amis exclusivement à cet effet, afin que les filles aient une façon très simple de nous contacter en postant des commentaires.

Puis je me lève pour m’en aller, et elles m’imitent. Un ami me rejoint et fait la bise à chacune d’elles (il ne les connaissait pas), et je fais de même.

[quote]Lycéenne1 à mon ami : Mmmh tu sents bon…
Lycéenne1 à moi : Mmmh toi aussi…
Lucile : Je préfère l’odeur de Sobre n’ Soft !
Moi : Hey mais je ne mets jamais de parfum !
Lucile : C’est ton odeur naturelle que j’aime, les parfums chimiques et artificiels sont ridicules.
Moi : :D Tu as parfaitement raison !

Puis mon ami et moi nous en allons.
Le soir même, Lucile a laissé un commentaire sur notre blog ainsi que son adresse email, grâce à laquelle je lui donne rendez-vous la semaine suivante, sur le même banc, dans le même parc.

Partie 2: le rendez-vous :

Tous mes premiers rendez-vous se déroulent globalement de la même façon : deux jeunes gens qui se plaisent mutuellement et qui cherchent quelques prétextes de pseudo conversation avant de s’embrasser. Nous en avons reparlé par la suite, et c’est aussi ainsi qu’elle voit les choses.
Elle est arrivée à l’heure, sachant pertinemment que je serais en retard. Nos échanges verbaux étaient une mise en scène sociale qui ne parvenait pas à masquer ce que se racontaient nos yeux.

Néanmoins, il y a une péripétie notoire à remarquer lors de ce rendez-vous :
(à ce stade nous en étions encore à la phase de « conversation »)

[quote]L : J’ai follement envie d’aller faire de la balançoire ! Quand j’étais petite, j’adorais faire de la balançoire !
M : Oui très bonne idée, allons-y.
(Nous nous dirigeons vers une balançoire, et je me dis que je la pousserai et que ce sera une excellente façon d’initier le contact physique)
Elle s’assoit sur une balançoire, je me place derrière elle et me prépare à la pousser lorsque…
L : Non, surtout pas !
M : O_O *????* Quoi ?
L : Je préfère le faire seule, sans quoi je risque de tomber.
Sur ce elle commence à s’élancer, de plus en plus vite, de plus en plus haut. De mon côté, je suis très susceptible et je n’ai pas du tout apprécié qu’elle me rabroue de la sorte. Je m’éloigne et prend la posture caractéristique de l’homme qui s’embête fermement. Un groupe de jeunes gens un peu plus loin regardent L virevolter avec un plaisir non dissimulé. Moi, je l’ignore, et songe à partir. Je ne suis pas venu pour la regarder.
Puis soudain elle s’arrête et me rejoint.
[quote]L : Tu sais, j’ai arrêté parce que je voyais que tu t’ennuyais.
M : Oui, je sais.
Nous faisons quelques pas, puis je lui désigne une nouveau banc :
[quote]M : Tu vois ce banc ? Et bien nous allons nous asseoir dessus, ce sera le deuxième sur lequel nous nous serons assis aujourd’hui. Sur celui-là, je vais me placer très près de toi. Et au troisième, tu seras sur mes genoux.
En réalité nous ne sommes jamais allé sur un troisième banc : c’est sur le deuxième que je lui ai pris les jambes avec un grand sourire pour les placer en travers des miennes, puis que je l’ai attrapée par la taille pour la hisser sur mes genoux, et que je l’ai embrassée.

Le Papou en est venu à me détester. Il venait de lui écrire un poème en proses.
Modifié en dernier par Sobre n' Soft le Mer Fév 10, 2010 3:53 pm, modifié 4 fois.
By Sobre n' Soft
#84094 [size=150]Sabrina, 20 ans, 8/10[/size]

Partie 1 : la rencontre

J’aime les gares. Ces lieux à la croisée des destinations où les gens passent et s’ignorent, concentrés sur leurs tickets, les écrans ou leurs chaussures. J’adore l’ambiance des gares, car elles ont ce frémissement caractéristique des prémisses des grands voyages. Alors même si ce n’est que pour retourner un week end dans mes Alpes natales, je me sens profondément bien sur les quais.
Je me déplaçais sans but sur l’un deux, lorsque j’aperçus une jeune femme devant un distributeur de boissons.
En passant sans m’arrêter, je lui lance :

[quote]M : Ça va te faire grossir !
Aussitôt elle se retourne, et rétorque, pleine de répartie :
E : Pas si je prends de l’eau minérale !
Je m’arrête brusquement et retourne sur mes pas avec un grand sourire pour venir me placer en face d’elle.
M : Tu veux me faire croire que tu vas payer 1.70€ pour boire de l’eau ?
E : Et pourquoi pas ?
M : Je pense que tu vas prendre quelque chose d’abominablement sucré et qui va te faire terriblement grossir. Tu ne pourras plus rentrer dans tes pantalons, et bientôt tu devras porter exclusivement des robes !
E : Mais c’est bien les robes pour les filles ! :D
M : Oui, très bien :D Tu habites sur Marseille ?
E : Je suis de Toulon, mais je fais mes études à marseille. [m’explique où est son appartement sur Marseille, ses études, etc]
M : Hey je suis juste à côté ! On se recroisera peut-être au hasard d’une rue ! (mon objectif est de prendre son numéro, mais je n’aime pas le faire directement donc je préfère essayer de lui laisser croire que c’est elle qui en a l’idée)
E : Oh, non il n’y a peu de chance…
M : *faussement étonné* Pourquoi ?
E : C’est une grande ville, les gens ne se croisent pas deux fois, alors que si on programmait de se revoir…
M : :D Très bonne idée !

Je trouve que demander le numéro soi-même casse le processus de séduction, en ce sens que dès lors on avoue, tout au moins en partie, que :
1) Nous sommes l’un de ces types qui cherchent à la draguer, avec tous les clichés que cela implique,
De plus :
2) L’interaction perd de son naturel et du côté « hasard et prince charmant » qu’elles imaginent depuis leur première barby. Leur « Prince Charmant » ne demande pas le numéro de téléphone, il l’obtient. Nuance.
3) La demande de numéro confère à la fille un grand pouvoir : le pouvoir de refuser. Or comme chaque pouvoir, il est séduisant de l’utiliser, et ainsi de se hisser au dessus du séducteur telle une princesse inaccessible… Ce qui peut flatter leur ego.

Partie 2 : le rendez-vous

Nous nous sommes vus hier soir. Rendez-vous était donné à 21h. Nous nous sommes dirigés vers le vieux port, où elle n’était jamais allée étant nouvelle sur marseille. Cette soirée a été marquée par de nombreuses péripéties, non pas entre elle et moi mais impliquant des éléments extérieurs.

Par exemple, une fois arrivés dans le bar où j’avais l’habitude de me rendre, seul ou accompagné, le serveur qui nous accoste me semble désagréable. Une première (et dernière) fois, je laisse passer, car je suis là pour m’amuser et passer une charmante soirée avec cette jeune fille qui s’est soigneusement préparée pour l’occasion (elle passe 9/10 pour le coup, elle est vraiment très belle : blonde avec une légère note cuivrée, joli visage avec des mimiques craquantes à croquer, de très beaux yeux gris, environs 1m70 et très bien proportionnée…) mais voilà : le serveur remet ça.
Or comme je l’ai écrit précédemment, je suis susceptible (chose que j’assume profondément :D). Alors je l’informe avec une politesse exagérée que finalement nous partons consommer ailleurs, et en effet, quelques secondes plus tard, nous voilà enfoncés dans la nuit.

Le deuxième bar vers lequel nous nous dirigeons est fermé, et comble de l’ironie, le troisième aussi. Comme le dirait mon très vénérable père, « la poisse ».
Mais cela ne nous empêche pas de beaucoup nous amuser : j’instaure toute une foule de rituels stupides, comme emprunter à reculons les rues à sens interdit pour les voitures (nous sommes à pied), et elle adhère parfaitement, en rajoute même. Finalement, nous décidons de suivre la direction de la seule étoile qui brille dans le ciel nocturne jusqu’à ce que nous trouvions, providence ultime, un bar. Ce qui arriva bientôt.

A peine sommes-nous assis, que le serveur entreprend de la draguer (O_O), l’ensevelissant de compliments (compliments que pour ma part je n’ai pas faits). Or j’adore l’adversité, qui a le don de me stimuler terriblement. Me voilà donc appâtant le serveur en lui parlant d’une soirée convoitée à laquelle j’envisage de me rendre un peu plus tard. Aussitôt il mord à l’hameçon, et essaie de me convaincre de l’inviter, en m’expliquant à quel point il est quelqu’un d‘important et en me promettant de me payer des bouteilles. Dès lors c’est moi qui suis le centre de son attention, volant la vedette à la jolie demoiselle :D

J’initie doucement le contact physique. Pour cela j’ai une méthode très simple, dont je viens de prendre conscience de l’existence (avant ça je le faisais sans y penser) :

Cas 1 : la fille a des bagues (aux doigts, hein, pas l’appareillage métallique bucal) :
« Oh tu as des bagues, fais voir ! » Et je lui prend la main, la caresse, puis monte vers les bracelets et pourquoi pas les colliers.
Cas 2 : la fille n’a pas de bagues :
« Oh tu n’as pas de bagues, fais voir ! » Et je lui prends la main de la même façon… Ce n’est pas imaginatif mais fait spontanément ça passe comme la grippe A.

Je décide l’emmener faire les vitrines de nuit, ce qui s’avère une excellente idée. Petit à petit elle cerne mieux ma personnalité et ses signes d’intérêts deviennent ostensiblement plus flagrants. Elle va jusqu’à prendre comme prétexte le fait que je dise que les chinchillas sont des animaux très doux avec lesquels des gens ignobles font des chaussures très confortables (elle a 5 chinchillas qu’elle adore) pour venir se blottir dans mes bras pour que je la console.
Je la touche beaucoup, saisissant chaque occasion (même honteusement détournée) pour lui caresser le dos, les épaules, les cheveux et le visage, et je remarque que même si elle ne rend pas ces caresses, elles semblent la mettre d’une humeur radieuse et pétillante.

Puis soudain… je me rends compte que je ne l’ai pas encore embrassée. La soirée se termine, nous nous dirigeons (de façon très détournée, c’est toute une aventure, nous rions et parlons sans interruption) vers nos appartements respectifs, et… Bon sang je ne l’ai pas encore embrassée !
Et je comprends pourquoi : elle accepte très bien le contact physique, l’apprécie beaucoup voire le provoque et est parfaitement claire sur le fait que je l’intéresse, mais elle se débrouille toujours pour détourner mes intentions et empêcher mes caresses de se prolonger jusqu’au baiser.

Enfin nous arrivons à la croisée des chemins où les nôtres se séparent. Nous nous immobilisons, et chacun a bien conscience que l’instant est particulier. Nous discutons bêtement, mais la dynamique est rompue. Elle se demande si je vais l’embrasser, et de mon côté… Je me pose la même question. Puis soudain :

[quote]E : J’ai un peu mal à la tête.
M : Ah vraiment ? Je vais t’ausculter.
Sur ce je lui touche le front (température ?), puis le poignet droit (pouls).
M : Mmmh ton cœur bat très vite.
Je lui prend également le pouls au poignet gauche :
M : Je dois vérifier les deux, car en cas de dissection aortique ils seraient différents.
En prononçant « dissection aortique » je passe mes doigts dans le haut de son décolleté, lui désignant l’emplacement de la crosse aortique.
M : Tu as froid ?
E : Non.
M : Si, dis que tu as froid, comme ça je te réchauffe ! :D
E : :D Bon d‘accord, j’ai un peu froid *sourire craquant par en dessous*
Je la prend dans mes bras et lui frictionne le dos, en me montrant de plus en plus aventureux…
Puis tout à coup elle se libère doucement de mon étreinte, me dit qu’elle va devoir y aller, et…
Me tend la joue !
O_O

Je la lui embrasse alors tendrement, non pas de joue à joue mais de lèvres à joue, et me plaçant très près d’elle. Elle me tend l’autre joue, comme si de rien n’était, comme si nous nous faisions juste la bise… Je la regarde en souriant, nos visages sont très prêts, et je lui dis : « Non ».
Non je ne veux pas qu’on se fasse juste la bise.
Elle murmure : « bon un peu plus alors… », en se laissant embrasser. Ses lèvres sont vraiment savoureuses, tendres, soyeuses, et les plus douces que j’ai jamais embrassées. A peine ais-je le temps de le remarquer qu’elle se retire doucement, coupant le baiser. O_o
Ais-je déjà écrit que je suis susceptible ? :D
Ironique et moqueur, je lui dis, tout sourire : « Oh comme c’est mignon, un gentil petit bisou ! »
Le message passe, et nous nous embrassons à nouveau, une deuxième fois, puis une troisième. Je suis vraiment bouleversé par ses lèvres, je n’en avais jamais connues d’aussi délicates.
Pourtant, à chaque fois elle finit par se rétracter et couper court à ces fugaces mais délicieux baisers.

A retenir :

Elle voulait vraiment que je l’embrasse, même si son comportement était paradoxal. Durant une discussion, elle m’avait glissé l’air de rien que « certains garçons n’osaient pas l’embrasser, certainement parce qu’ils étaient des homosexuels inavoués ». Elle voulait que je l’embrasse, mais à aucun moment elle ne m’a tendu de perche physique pour que je le fasse : au contraire, en me poussant vers l’ultimatum de la séparation et de la bise, elle me testait : étais-je un de ces « homosexuels inavoués » ? Ou allais-je avoir le « courage » d’imposer le baiser qu’elle attendait ?
Cependant je pense qu’elle s’était imposé, par principe, d’écourter baisers et caresses, pour pas que les choses n’aillent trop vite.
Modifié en dernier par Sobre n' Soft le Jeu Oct 15, 2009 7:59 pm, modifié 2 fois.
By Sobre n' Soft
#84096 [size=150]Une "Amie avec avantages"[/size]

Cela fait 3 semaines que je vois une brunette, Marie. C’est une « amie avec avantages ». Je l’avais rencontrée dans les rues de Aix, interaction des plus simples. Elle me regardait, je la regardais, puis soudain elle a entraîné l’amie avec laquelle elle marchait pour faire un détour visant à passer très près de moi. Je lui ai souri, puis :
[quote]« Donne-moi vite ton numéro, avant d’être vieille et flasque »
Elle s’était alors exécutée, tous sourires.
Nous nous sommes échangés plusieurs sms sulfureux les jours suivants, et nous sommes revus 2 fois, à Aix. Hier, c’était à elle de venir. Avant-hier, juste avant de partir au rendez-vous avec Sabrina (post précédent), je reçois un sms de Marie :

[quote]Salut toi : ) ça va ? Je dois vraiment aller jusqu’à Marseille demain ? C’est cher lol.
(Elle n’a pas de voiture et doit prendre la navette)
Je l’ai très mal pris (il paraîtrait que je serais susceptible… ;D)
Je lui réponds :

[quote]Non tu n’es pas obligée de venir. Mais moi je ne ferai pas le trajet cette fois.

Sa réponse, instantanée :

[quote]OK. Je te dirais ça.

Elle n’est pas venue. Pour être tout à fait honnête, je ne suis pas fier de cette histoire. Car Marie ne m’intéresse pas énormément, en réalité. J’entretenais cette relation car son libéralisme sexuel contribuait à disperser mes dernières insécurités.
Modifié en dernier par Sobre n' Soft le Jeu Oct 15, 2009 7:43 pm, modifié 2 fois.
By Sobre n' Soft
#84104 [size=150]Catherine, 7.5/10[/size]

Samedi dernier j’ai profité d’une soirée très attendue, l’occasion de retrouver un des rares DJ que je trouve réellement talentueux dans une boite de nuit que je fréquente régulièrement. Nous nous retrouvons à 5 compères, dont un excellent ami S qui nous a fait le plaisir d’introduire dans notre groupe une jolie demoiselle prénommée Catherine, rencontrée deux jours auparavant et qui lui avait témoigné de nombreux signes d’intérêt.

Nous voilà donc assis, nous cinq et la demoiselle, à une table de la « salle du soleil », lorsque S se lève et deux collègues suivent, avides de commander leurs consos. Catherine, elle, est restée, sagement assise en face de moi. J’échange quelques mots avec mon dernier compagnon, avant de remarquer, étonné, que la jeune femme semble amusée. Elle me regarde en souriant, se moquant presque.

[quote]Elle : Tu danses toujours quand tu es assis ?
Moi : Oui, toujours.


S’en suit un échange de banalités : j’apprend son nom, ce qu’elle fait dans la vie… Et lorsque je ne lui parle plus, je surprends à nouveau ses regards amusés et insistants.
Puis c’est elle un peu plus tard et dans une autre salle, qui initie le contact physique en me touchant la poitrine sans raison particulière sinon celle d’attirer mon attention sur elle. J’entre dans son jeu sans pour autant mener la séduction, car je n’oublie pas qu’elle est a priori la cible de mon ami S (quel inconscient quand même, de l’avoir emmenée ;D !)
Pour me parler elle se colle à moi et je lui réponds de même, avec mes mains sur ses épaules et ma bouche contre son oreille.
Puis, devant S, elle entreprend de glisser un glaçon entre ma peau et le tissus de ma chemise (glaçon que je me fais un plaisir de renvoyer dans son décolleté :D).
Sur la piste, le jeu se poursuit, cependant j’essaie de garder une certaine distance, et je la traite exactement comme une amie avec laquelle je m’amuserais, et rien de plus.

Puis soudain :

[quote]Elle : Qu’est-ce qui se passe, tu es gai ?
Moi : O_O


N’appréciant pas la tournure que cela prenait, j’ai préféré continuer ma soirée plus loin et sans elle. Et durant toute la nuit, j’observais affligé les regards tourmentés qu’envoyait mon ami S dans la direction de Catherine à chaque fois qu’elle se faisait aborder par un nouveau prétendant. De son côté il n’a strictement rien tenté, sinon échanger bien gentiment quelques mots bienveillants avec elle…
Pour ma part je suis persuadé qu’il aurait pu l’embrasser et finir la soirée avec elle sans la moindre difficulté : ce type a de la classe, et une grande valeur sociale. Mais c’est un AFC dans toute sa splendeur.

A la fermeture, lorsque je le lui ai fait remarquer, il m’a répondu :
« Elle est sympa, je pense que ça va devenir une très bonne amie ».
Je me rappelle encore son visage anxieux, lorsqu’il la cherchait du regard. Ça lui faisait mal, on l’aurait juré, de la voir disparaître avec un autre.
Modifié en dernier par Sobre n' Soft le Jeu Mai 27, 2010 11:33 pm, modifié 1 fois.
By Sobre n' Soft
#84233 [size=150]La séduction, pourquoi ?[/size]

Suite à une remarque sur mon profil, je viens de comprendre que ma vision de la séduction ne correspond pas à celle de tous les membres.

On me reproche notamment cette phrase :
[quote]Un moyen de socialisation, d’ascension sociale, de développement personnel et d’affirmation de soi (accessoirement :roll: : ludique, très agréable et passionnant... :D )

On me fait remarquer que la séduction ne doit pas être vue comme un moyen miraculeux de réussir sa vie, mais au contraire un processus qui découle naturellement d’une vie réussie. Le véritable objectif de la séduction étant, le plus souvent, en réalité, de coucher.

Tout d'abord, je pense que si le seul objectif du séducteur est de glisser de belles demoiselles sous ses couettes, pas besoin pour cela de dépenser une énergie considérable dans la pratique et le développement de techniques et méthodes de séduction… Dépensez la même énergie dans vos études/ passions, et non content d’avoir les jolies demoiselles, vous aurez aussi le Roadster BMW Z4 qui va avec.
(De mon côté je n'ai jamais lu le moindre livre de séduction, je n'applique aucune "méthode" - je n'en connais pas ! - et n'utilise aucun "matériel" extérieur.)

Ensuite, je vois la séduction d’une manière globale : il ne s’agit pas uniquement de séduire des femmes dans la rue ou en soirée, mais de séduire tous ceux que nous rencontrons : homme, femme, voisins, amis, patrons et employés, le facteur, le banquier…
Je vois la séduction au sens large du terme, et pas uniquement au sein de la relation homme/femme. Et dans ce contexte, c’est bien un moyen (indispensable) de socialisation, d’ascension…

[size=150]Un exemple : le piston[/size]

Imaginez votre voisine hystérique qui vous postillonne de sa voix supra aiguë :
[quote]George est un collègue de golf du patron, il a décroché le poste auquel je postule depuis huit mois alors qu’il n’a pas le tiers de mes diplômes, c’est scandaleux !

Ou pas.
« George » n’est pas né collègue de golf du patron, il l’est devenu, grâce à des relations qu’il a développées. Il a su plaire à ceux à qui il fallait plaire. Il a su séduire ses interlocuteurs.
Ce n’est pas du piston, c’est des relations. Et la relation est d’autant plus facile que la personne en face de vous est séduite.

Plus on est élevé dans une hiérarchie donnée, plus on a intérêt à avoir aux échelons en dessous des personnes de confiance. Ou pour reprendre un exemple de l’actualité, que Jean Sarkozy se retrouvera peut-être à la tête de l’EPAD.
On peut naître personne de confiance, mais on peut aussi le devenir.
Modifié en dernier par Sobre n' Soft le Mar Déc 22, 2009 8:37 pm, modifié 1 fois.
By Sobre n' Soft
#84431 [size=150]Un rendez-vous plombé[/size]

Je ne pense pas être un très grand séducteur. Et jusqu'à ce soir, je ne m'expliquais pas pourquoi cependant, chacun de mes rendez-vous était un succès au cours duquel je goutais au minimum aux lèvres de ma nouvelle conquête. J'attribuais ce phénomène à une entité inconnue, peut-être un hypothétique "charme naturel" qui oeuvrerait indépendamment de ma volonté.
Désormais cette question n'a plus lieu d'être...
Il est 22h31, nous sommes un mardi soir automnal. Et je viens de rentrer seul.

Il m'était même arrivé de réussir un rendez-vous et ainsi d'entamer une relation avec une demoiselle à laquelle je n'avais quasiment rien dit, passant mon temps à l'écouter, acquiescer de temps à autres, et la regarder rougir.
Et pourtant, si je n'avais pas parlé, j'avais fait le principal : j'avais agi. Agi. Je l'avais touchée, embrassé dans le cou puis sur et entre les lèvres.
J'avais agi.

Ce soir, je n'ai rien fait.
1) Je n'ai pas été intéressant, je n'avais rien à dire.
2) Elle a initié le contact physique, moi je lui ai à peine caressé l'épaule et une main.
3) Je n'ai pas essayé de l'embrasser.


Débriefing :

C'est la première fois que je fixe un rendez-vous au cinéma. C'est une erreur que je ne reproduirai pas.
Tout d'abord, parce que l'on ne se voit même pas, non, chacun a le regard braqué devant lui. Ensuite parce que j'aime initier le contact physique en douceur, progressivement et en utilisant dans un premier temps des "prétextes" (les bagues etc), pour que petit à petit ces contacts n'aient plus besoin de la moindre justification sinon le fait qu'ils sont très agréables. Alors qu'au cinéma, aucun prétexte possible : on passe directement à la deuxième étape, le contact ne peut pas être un geste naturel qui accompagne la parole (puisqu'on ne parle pas !).

Rendez-vous était fixé à 18h. Après la séance, je prévoyais de l'inviter à manger chez moi, directement.

La séance s'est déroulée lentement, à peine ponctuée de quelques échanges et remarques humoristiques, 90% venant de sa part. Et quelques contacts physiques, de sa part aussi, mais très discrets, juste pour "me décider". Mais je ne fais rien. -_- Honte à moi.
Puis le film se termine, et là je n'ai plus la moindre excuse, je suis à nouveau dans mon élément. J'en ai pleinement conscience, lorsque soudain, elle reçoit un appel téléphonique. C'est une amie, et d'après ce que j'entends, cette amie et d'autres personnes l'attendent car elle est en retard. En d'autres mots, la soirée, brutalement, est terminée. O_O
Elle avait quelque chose de prévu juste après la séance.
En y repensant, c'est vrai que je l'avais invitée au cinéma, sans rien préciser d'autre pour le reste de la soirée, tant ça me paraissait évident...
Bref. A ce moment là, je suis dépité, plombé, la fin de soirée s'effondre, et je suis à la limite de passer dans le ridicule mais oh combien confortable mode "Bouderie".

Nous prenons le métro ensembles, descendons au même arrêt. J'essaie de rester sympathique, mais je marque une certaine distance. La discussion est très légère, saupoudrée, et je ne suis pas prolixe...
Une fois de retour dans la rue, il nous reste quelques centaines de mètres à parcourir ensemble. Mais soudain, elle reçoit un nouveau coup de téléphone, de la même amie, pour savoir où elle est, si elle arrive... C'en est trop. A peine a-t-elle raccroché que je décide de partir, prendre une autre rue, quitte à ce que le retour vers mon studio en soit rallongé :

[quote]M : Finalement je vais te laisser maintenant, je vais emprunter cette rue que tu vois là bas, c'est plus rapide.
E : Bon d'accord.
Sur ce elle s'engage dans la direction que je viens de donner, celle qui est sensée mener à mon studio.
M : Non tu n'as pas compris, c'est plus rapide pour moi pour aller chez moi.
E : Ah... Bon eh bien on se dit à très bientôt alors.
M : Oui, à bientôt.
E : On n'attend pas une semaine cette fois !
(j'avais attendu 6 jours avant de fixer cette date).
M : OK, mais on prévoit une soirée complète, 3 minutes c'est pas intéressant.

Nous programmons la soirée de jeudi, complète.

Puis elle me salue, se retourne et puis s'en va.
A ce moment là, je suis plus que déçu. Mes croyances sont en faillite, presque effondrées. Je la regarde partir, cette fille que je n'ai pas embrassée, et je le vis comme une défaite, la première depuis longtemps.
En écrivant ce débriefing, je me rends compte que c'est puéril : je n'ai pas embrassé, et alors ? Un nouveau rendez-vous est programmé ! Mais je me retrouve seul, et je m'imagine déjà arpenter les rues désertes triste comme un pierrot vers mon studio obscur...
Alors je prends la pire décision possible, à peine imaginable. Dans le feu de ma déception, ma lucidité brule et disparait. Me voilà lui courant après. Mais pas après ma lucidité perdue, non, après le jeune fille disparue au coin d'une rue.
Je la rattrape et l'appelle, elle se retourne à demie. Je l'avais poursuivie pour l'embrasser, la convaincre de me raccompagner... A la place de quoi, pathétique, je lui lance :

[quote]M : Jeudi, on décale à 20h, d'accord ?
E, toujours à demie retournée seulement : OK.
Puis elle fait mine de reprendre son chemin.

Il ne faut jamais céder à une pulsion brulante et ruisselante, dictée par un sentiment négatif, car on finit toujours par le regretter.
Et en effet sur tout le trajet du retour j'ai regretté, de lui avoir couru après, d'avoir donné cette image flasque de ma volonté...

Si je me suis disqualifié, elle annulera.
Je ne pense pourtant pas qu'elle le fasse, car malgré tout j'ai énormément d'atouts. Cependant il me faudra sortir du cliché AFCiste vers lequel j'ai dérapé...

A retenir :

- Donner une importance secondaire au rendez-vous : la journée qui le précède doit être remplie et passionnante, et lui doit être perçu comme un bonne occasion de s'amuser, rien de plus. L'année dernière, il m'était arrivé d'aborder d'autres personnes sur le chemin en allant à une date, c'est l'état d'esprit idéal pour être excellent.

- Les émotions négatives sont dangereuses, elles ne doivent pas nous dicter nos comportements : la déception/colère devant sa propre inaction entraine des comportements désespérés. Ce sont les émotions positives qui doivent motiver nos comportements.

- Ne plus donner de rendez-vous au cinéma :D

- S'assurer que la demoiselle soit libre toute la soirée (et toute la nuit :D)
By Sobre n' Soft
#84474 [size=150]Au fait, quel genre de fille es-tu ?[/size]

Ce matin je suis tombé sur un "test de sensualité" sur msn.fr, et je l'ai testé sur une amie (dans un abri bus pour nous protéger des litres d'eau pluvieuse projetés sauvagement par le mistral en furie, expérience à vivre...).

[ceci est une approximation, les termes exacts n'ont aucune importance mis à part ceux que je mets en gras]

[quote]M : Au fait, t'es quel genre de fille ? Plutôt du genre à assumer sa sensualité, à grappiller des petits plaisirs tout au long de la journée ? Quand ton réveil sonne, tu te lèves tout de suite, ou tu en profites pour lézarder lascivement un moment ?
E: :D Tu aimerais bien le savoir, hein ? :D Je fais ce que je veux dans mon lit ! ;)
M : Et j'imagine ce que je veux... ;) C'est important pour moi de déterminer si tu es dangereuse ou non, alors contente toi de répondre à mes questions. Imagine que tu es dans un magasin de chaussures pour femmes. Tu trouves LA paire, LA plus élégante, tu craques, elle est magnifique. Problème, il n'y a que la pointure au dessous de la tienne, du coup, tu te sens un peu serrée dedans... Qu'est-ce que tu fais, tu l'achètes quand même ?
E : Oui ! Enfin ça dépend, tu me la payes ? :D
M : OK, en nature :D Question suivante : quelle est l'odeur qui t'évoques le plus de sensations agréables ? (puis l'aider à décrire ces sensations)
(c'est celle que je préfère, parce que de tous les sens l'odorat est celui qui est le plus directement lié aux émotions et à la mémoire : la strie olfactive médiale est intimement en contact avec le système lymbique (mémoire) et le corps calleux (émotions)).


Donc, pour récapituler la structure (je fonctionne en "structures") :

Un titre énoncé sous forme de question : Au fait, tu es quel genre de fille ?
1) Une première question : lézarder lascivement au réveil
2) Une deuxième question : dans une magasin de chaussures pour femmes
3) Une troisième question : l'odeur qui évoque le plus de sensations agréables

Il faut exploiter chaque étape en la faisant basculer dans le mode sensitivo-sensoriel.

Je pense que ça peut être très puissant exploité à fond, je vais l'essayer pour mon rendez-vous de demain soir. L'idéal serait en plus de créer une ancre : à chaque fois qu'elle décrit/imagine toutes les choses agréables qu'elle ressent, j'incline légèrement la tête vers la gauche en lui lançant un regard croustillant par exemple, ou bien à l'aide d'un contact physique agréable.

________________
Remarque : lorsque l'on n'est pas encore suffisamment à l'aise avec la demoiselle, il doit être plus facile d'introduire en commençant par la deuxième question, avec une justification du genre "tiens aujourd'hui j'ai appris à dépister les filles dangereuses, je vais faire le test sur toi. Imagines que tu es dans un magasin de chaussures pour femmes, ..." Puis ensuite seulement "sensualité", " grappiller des petits plaisirs" etc.
Avatar de l’utilisateur
By Stéphane
#84479 C'est gentil, tout ça, mais tu es lourd, avec ta franc-maçonnerie.
By Sobre n' Soft
#84512 [size=150]Passe-droit musical[/size]

Anecdote de fin de soirée :
Les premières lueurs de l'aube, et avec elles, celles d'un contrôle routier.
[quote]L'agent de police, une jeune femme dans la trentaine : Bonjour messieurs.

Le conducteur, au maquillage d'homme-vache estompé : Bonjour madame l'agent ! :)

L'agent de police : Vous n'auriez pas bu, messieurs, par hasard ?

Mon ami, qui occupe le siège côté passager, un verre de vin à la main : Si madame, mais rassurez-vous, que du très bon vin !

L'agent de police : Ah mais c'est Jacques Brel que vous écoutez à tue tête ! (elle vient de reconnaitre le début de "Le port d'Amsterdam") C'est bien ça !

Nous : [chantons gaiement]

L'agent de police, à moi qui suis à l'arrière avec le quatrième et dernier compère : Fais voir cette bouteille, j'espère pour vous que c'est vraiment du bon vin !

Moi, lui montrant la bouteille : Un Lesquerde rouge madame, élevé sur coteau de granit, le vin préféré de Jacques Brel !

Mon ami côté passager : Une perle, vous ne le trouverez jamais en grande surface celui-là !

L'agent de police, en regardant le conducteur homme-vache : Oui ça se voit tout de suite que vous avez du goût :D Toi puisque tu conduis, tu n'as pas bu ?

L'homme-vache : Seulement mes larmes !
(il n'avait réellement pas bu d'alcool, nous sommes des jeunes gens très sérieux...)

L'agent de police : Vous pouvez y aller, bonne fin de soirée les jeunes !

Nous : [chantons]

C'est sûr, elle est tombée sous le charme ;)
By Sobre n' Soft
#84577 [size=200]A trois, c'est mieux[/size] [size=59](pervers s'abstenir, rien de sexuel dans ce post ^^)[/size]
[size=150]Chronique d'une soirée pas ordinaire[/size]

Rappel :
Hier soir, j'avais rendez-vous avec Bn, jolie blonde à l'humour facétieux avec laquelle j'avais passé une soirée (ratée) au cinéma mardi soir (cf post antérieur).

[size=150]Premier acte :[/size]

C'est sous la pluie, entre le bitume détrempé et la toile noire de mon parapluie que je me dirige en chantonnant vers le lieu dit. Mon plan de soirée est des plus simples :

Cas un : elle n'a pas encore diné : on va acheter une pizza et on va la manger chez moi.
Cas deux : elle a déjà diné : on va acheter une pizza et on va chez moi aussi :D parce que j'ai faim !

Bien entendu, aucune de ces deux possibilités subtilement fomentées ne se déroulera.
Car à peine arrivais-je au lieu convenu que l'on m'interpelle... Et en me retournant, qu'ai-je découvert ? Une chose que dans un premier temps, j'ai considérée (à tort) comme de très (très très) mauvaise augure.
Elles étaient deux.
Bn, et sa meilleure amie et colocataire.

On m'a souvent dit que j'avais un caractère trop affirmé. Mais en cet instant, j'avais le sentiment de m'être fait rouler dans la farine comme un morceau de pâte à pain pâle et élastique. Alors oui, un peu de fermeté s'imposait.

[lors de cet échange j'ai tout de même un sourire en coin et le regard joueur]
[quote]Moi : Hum il y a comme un malentendu, là... Vous êtes deux. Et deux, c'est un de plus que un.
Bn : Euh oui...
Moi : Mais c'est très problématique, car voix-tu, il était prévu que je passe la soirée avec toi et personne d'autre.
Sn : Je croyais qu'on allait à une soirée étudiante, et je ne voulais pas laisser mon amie seule elle vient de se brouiller avec son meilleur ami...
Moi : Tss tss, considère que je suis quelqu'un de méchant alors. *soufflement bruyant, pérégrinations pleines de mauvaise volonté...* Non ça ne me va pas.
Elles : *silence* (Mon but était de mettre la meilleure amie mal à l'ais pour qu'elle parte :roll: c'est un échec)
Moi : Bon vous comptez passer la soirée ensembles alors, c'est bien ça ?
Bn : Ben oui.
Moi : Alors vous allez la passer ensemble, sans moi.
Bn : Comme tu veux, on peut remettre la soirée que t'avais prévue à une autre date.
L'amie : On pourrait aller boire un verre dans un bar sympa tous les trois ce soir, si vous voulez.
Moi, à la meilleure amie, toujours avec un demi sourire : bon tu sais, en réalité je ne suis pas vraiment méchant, je suis même très sympathique, sociable etc :D mais là vous m'avez contrarié.
Elles : *sourires*
Moi : bon, d'accord pour un bar sympa, mais vous avez intérêt de payer mes consos !
(par la suite l'amie, que j'appellerai A, m'a vraiment payé des consos (chères en plus))

Remarque :

J'avais un petit sac plastique à la main, stylé, c'est une habitude lorsque je sors. En général il n'y a rien d'important dedans, mais ça suscite l'intérêt. Ce soir là, ce sac a été d'une puissance hallucinante : durant tout le reste de la soirée, persuadées que ce sac avait un lien avec ce que j'avais prévu initialement de faire avec Bn, elles m'ont harcelé pour savoir ce qu'il y avait dedans, ce que j'avais prévu de faire, elles ont imaginé toute une foule de choses (qui étaient d'ailleurs très largement au dessus de la pizza et de l'appart... :D). Bien entendu je n'ai rien lâché, jouant la carte du mystère.

[size=150]Deuxième Acte :[/size]

Nous investissons tous trois un bar à la mode. Une des serveuses, qui se tient étrangement très proche de moi comme si nous étions intimes lorsqu'elle me parle, m'apprend qu'une soirée étudiante est prévue. Tant mieux, nous nous installons.

Je suis très à l'aise, pas loin de mon meilleur niveau, la glace est rompue, nous trinquons à cette soirée, champagne oblige.
Je décide de concentrer mon attention sur A, qui par ailleurs est vraiment mignonne. Très vite elle devient bavarde et je lui décoche mes meilleurs regards. Les résultats sont là très rapidement : Bn, qui ne parle que pour essayer de me faire avouer ce que j'avais prévu initialement, frotte ses jambes contre les miennes.

Puis, à un moment donné, A nous informe qu'elle part fumer.

[quote]Moi : Tu es mignonne. Mais si tu vas fumer, quand tu reviendras tu seras moche, avec une ride juste là [je lui touche le visage pour montrer l'emplacement de la ride future].


Elle décide de ne pas y aller tout de suite finalement :D
Mais quelques minutes plus tard, n'y tenant plus, elle sort, me laissant seul avec Bn.
Je lui parle de son genou qui frotte ma cuisse, lui disant que je trouve ça très agréable (j'aime bien les encourager à me toucher), je la caresse de façon sans équivoque...
Elle semble ravie de retrouver mon attention, et me demande si on pourra remettre la soirée en tête à tête.

Nous restons 2h dans ce bar, la soirée est vraiment très agréable, j'apprends à les connaitre et je ne regrette pas d'avoir accepté A.
Puis c'est au tour de Bn d'aller fumer, puis aux toilettes. Me voilà seul, donc, avec A :

[quote]A : Alors, tu veux sortir avec elle ? Tu peux me le dire, je ne répèterai rien.
Moi : Non, c'est pas sortir avec elle que je veux. En réalité, j'ai énormément de mal à sortir mes poubelles, c'est comme ça. Je cherche quelqu'un pour m'aider ! Au début, j'ai bien essayé avec ma voisine de pallier : à chaque fois qu'elle passait devant ma porte je l'interpellais, pour lui demander si ça ne la dérangeait pas, en passant, de déposer mes poubelles... Mais elle n'est pas très bonne. Alors quand j'ai vu Bn dans la rue la première fois je me suis dit "cette fille là, elle va m'aider à sortir mes poubelles" et je suis allé lui parler.
A : Faut du courage pour aller parler à une fille dans la rue, comme ça ! Moi je pourrais pas.
Moi : C'est normal, toi tu es une fille, ton rôle c'est de te faire aborder et de faire de jolis sourires *imitation de sourire féminin aguicheur*
A : *authentique sourire féminin aguicheur*


Un autre échange que j'ai eu avec A et qui est très intéressant :
[quote]A : J'ai un copain, depuis 4 ans.
Moi : 4 ans ! Wow, la prochaine étape c'est le mariage ! Dans deux ans tu as des enfants, et à 32 ans tu es grand mère !
A : Non ! En fait on est déjà fiancés *me montre sa bague, très belle d'ailleurs*. Mais je vais le quitter. Il a pas d'ambition, c'est moi qui le poussais à continuer ses études mais il y a un moi il a arrêté. Maintenant il a une vie de merde : les parents, le chien, les grands parents et le bistrot du coin. Et puis il n'est pas assez affirmé. Il commence même à devenir jaloux !
Moi : D'un autre côté il y a de quoi :D C'est pour ça que tu vas fumer juste à côté d'un groupe de mecs, tu cherches déjà le remplaçant.
A : Oui :D C'est trop dur de casser après une relation longue, et puis je veux pas me retrouver seule, surtout que les fêtes de noël approchent...
Moi : je te présenterai des collègues célibataires alors ! Tu les aimes comment ?
A : J'aime les grands bruns, aux yeux bleus.
Moi : *lève le sourcil droit* (je suis grand brun aux yeux bleus) Je te présenterai un ami, il s'appelle Mickael. Mais bon il est plus petit que moi et il a les yeux marrons. (:D histoire d'en rajouter une couche... :roll: )
Moi : Être célibataire, il n'y a que ça de vrai :lol: ! Mais bon je vois que dans ta tête, tu es déjà célibataire, c'est très bien !
A : *lève un bras en dansant assise, et lance avec un sourire radieux :* Je suis célibataire ! Célibataire !


[size=150]Dernier Acte :[/size]

Une constante, un grand classique, le fameux : retour à pied car à 00h30 il n'y a plus de métros et puis c'est super sympa de marcher une demie heure sous la pluie dans les rues désertes en parlant de sexe

Tout est dit dans le titre...
Je note certaines phrases intéressantes de mes deux compagnes :

[quote]J'ai eu cinq partenaires sexuels, et je n'ai jamais joui !

Cette remarque est intéressante : en parlant de nos expériences respectives, j'ai appris que toutes deux, qui sont vraiment séduisantes, n'ont eu quasiment aucune expérience sexuelle vraiment satisfaisante : soit le mec est précoce, soit il n'a pas une érection efficace, dans tous les cas il est stressé, il ne se "lâche" jamais... (Je rappelle qu'elles ont 20 ans)
C'était un festival :

[quote]Me faire violer moi je veux bien, si c'est par un beau mec !

[quote]Tout ce que je veux, c'est un mec, un vrai !

[quote]J'ai envie de faire l'amour sous le pluie !

Bon il faut noter qu'elles étaient passablement alcoolisées et dans un état émotionnel intense.

Je vais les revoir très bientôt : nous nous entendons très bien, et avec une escorte pareille je pourrai entrer gratuitement dans pas mal de boites de nuit. Elles sont déjà invitées pour la soirée privée que j'organise jeudi prochain.
Modifié en dernier par Sobre n' Soft le Lun Oct 26, 2009 12:31 am, modifié 1 fois.
By Sobre n' Soft
#84655 [size=150]Abus d'alcool et glissement vers le discrédit[/size]

Tout a commencé il y a plusieurs semaines, alors que j'observais effaré un personnage que jusque là je considérais comme un modèle d'excellence. Effaré car il déambulait mollement sur la piste de danse, le regard niais et les gestes dégoulinant la maladresse alcoolique. Zombifié, ridicule. Discrédité, affligeant.
Hier soir c'était au tour de mon meilleur ami. Des collègues et moi-même devions passer le prendre en voiture avant de nous rendre dans une discothèque réputée des Hautes Alpes. C'est l'ombre de lui-même que nous avons découvert.
Je n'arrive plus à le voir comme avant. Et de mon côté j'espère vraiment ne jamais offrir un spectacle aussi dégradant à des gens que je respecte.

Il y a aussi ces alcooliques chroniques croisés au détour d'un service hospitalier, ces SDF en delirium tremens, cette amie battue durant son enfance par un père mort il y a quatre mois une dernière bouteille à la main...

L'ébriété légère et euphorique qui nous rend délicieusement affable lors d'une soirée est une expérience agréable, mais ces derniers temps j'ai tendance à ne plus banaliser l'alcool.

_______________________________________________________________________
[size=150]Ce que veulent les femmes / Ce que voulait cette jeune femme[/size]

Hier soir je comptais parmi mes camarades de virée nocturne en boite un jeune homme (JH) que je qualifierai en 4 points :
- riche (voiture de luxe, budget de soirée illimité...)
- influent (à peine était-il entré dans la boite que je m'étonnais de le voir se faire saluer par la moitié du staff)
- très à l'aise socialement (habitude de convaincre et persuader, du fait de son métier)
- soigné et habillé de façon très classe.

Lui (24 ans), un ami commun (28 ans) et moi étions en train de discuter au bar, lorsque JH fit entrer dans la conversation une très jolie brune aux yeux gris. Instantanément il la touche, lui parle beaucoup et bien. Pour ma part je fais connaissance en douceur avec la demoiselle. Je parle peu, mais contrairement à mes deux comparses qui sont parfaitement immobiles, j'ai l'habitude de danser en permanence, assis, debout, couché... J'ai l'avantage d'être très à l'aise dans mes mouvements.

[quote]Demoiselle à JH : il est très stylé ton ami (moi)
JH à moi : tu es très stylé :D
Moi : :D *danse*

Durant toute la nuit, JH est resté avec la demoiselle. Il ne s'est jamais levé pour aller rendre visite à des connaissances ou pour danser, lui dédiant toute son attention, lui offrant verres sur verres...
De mon côté, n'ayant pas pour ambition de livrer un combat de coqs, je ne faisais que passer leur rendre visite lorsque je ne dansais pas dans une autre salle. De plus je n'accordais quasiment aucun intérêt à la demoiselle, lui laissant le soin d'initier la conversation avec moi.
Pour introduire un contact physique en boite, j'ai une méthode très (très) simpliste : lorsqu'elle me parlait, je faisais mine de ne pas entendre du fait du volume sonore (cela étant le plus souvent un mensonge éhonté), afin qu'elle se rapproche au contact.
J'ai pris également soin de marquer clairement que c'était moi qui était en position de force dans mon interaction avec JH.
J'ai ainsi reçu quelques signes d'intérêt, que je ne relevais pas, laissant la jeune femme avec son prétendant pour m'en retourner danser, très confiant. Pour une raison inconnue, alors même qu'elle m'intéressait vraiment, je ne craignais absolument pas que JH arrive à ses fins, car j'avais l'impression qu'elle le faisait courir après son ombre.
Et je ne me trompais pas : petit à petit, JH a perdu le fil de l'interaction, se retrouvant tantôt face à son joli dos pendant qu'elle discutait avec d'autres.
Puis vint le moment où, sous mes yeux, il a coupé la discussion qu'elle avait avec une connaissance pour lui proposer d'aller lui montrer sa superbe voiture. Sous mes yeux toujours, elle a accepté.
Moins de cinq minutes plus tard, elle revenait vers moi seule et souriante.
Dix minutes plus tard :
[quote]Elle : Je vais partir. On se fait un câlin ?
Je me rapproche d'elle en souriant. Elle me prend par la taille et se frotte contre moi. Puis soudain elle me tend la joue. Je la lui embrasse à pleines lèvres, puis c'est elle qui me rend cette bise particulière sur l'autre joue.
Et elle s'en va.

La seule initiative que j'ai prise avec cette demoiselle est de ne pas faire une simple bise. Je n'ai pas voulu toucher à ses lèvres.
By Sobre n' Soft
#84693 [size=150]Rencontre dans les transports en commun[/size]

Ces derniers temps, j'utilise très régulièrement les transports en commun. Cela est en partie du à une décision prise il y a deux ans, un "pacte" que j'avais fait avec moi-même, et dont voici les termes :

Contexte moral :
- Je veux être totalement indépendant financièrement avant d'avoir 24 ans,
- Je veux par la suite devenir très riche.

Donc, concernant mon mode de locomotion :
- Je n'accepterai d'avoir une voiture que le jour où je pourrai me la payer seul, avec des fonds que je ne devrais qu'à moi-même,
- Je n'accepterai d'avoir une voiture que lorsque je serai capable de couvrir seul tous les frais que cela implique.

_____________________________________________________________________
[size=150]Radja, 19 ans, 9/10[/size]

Sans surprise c'est donc dans un car que ce matin, après un week end enjoué, j'ai eu la chance de voir le siège adjacent au mien occupé par une très jolie brune, typée arabe aux traits gracieux et au corps parfait. Ajoutez à cela des vêtements sombres, classes et distingués, et une voix grave et sensuelle à vous en faire frissonner...

Je l'avais déjà remarquée car lors de mes voyages précédents il n'était pas rare qu'elle en soit aussi. Cependant, elle n'était encore jamais venue s'assoir à côté de moi, préférant souvent se mettre juste devant. Aujourd'hui cependant, le car étant bondé, il lui a fallu choisir un compère de voyage, et ce fut moi.

Première interaction : banale

[quote]Moi : *Faisant semblant de ne pas l'avoir remarquée, regardant par la fenêtre*
Elle : Excuse moi, est-ce que je peux m'assoir ?
Moi : *Sans la regarder, ne me demandez pas pourquoi* Oui oui.

Deuxième interaction : pas vraiment originale

[quote]Moi, après avoir fouillé consciencieusement dans chacune de mes poches : Tu aurais un mouchoir, s'il te plait ?
Elle : Oui bien sûr. *fouille dans son sac à main* Un seul ?
Moi : Oui.
Elle : *me tend un mouchoir*
Moi : Merci *combo : regard de grand brun ténébreux + sourire*
Je me mouche, puis :
Moi : Euh tu comprendras que je ne te le rende pas...
Elle : *rires*

Troisième interaction :

Voyant qu'elle s'endormait et que, n'étant pas du côté fenêtre, sa tête balançait au grès des virages, j'ai décidé d'intervenir :

[quote]Moi : *lui caresse doucement l'épaule pour la réveiller*
Elle : *se réveille et me regarde, les yeux écarquillés*
Moi : *sourire* Tu veux ma veste pour te caler la tête ? Parce que là elle valse de droite à gauche, j'ai peur que tu te casses le cou.
Elle : *rires* Non c'est bon, merci.
(j'ai peur de l'avoir vexée, personne n'aime être observé dans une situation d'inconscience où l'on ne contrôle rien)

Quatrième interaction :

Je voulais amener une discussion simple et naturelle de façon très souple, douce et sans accrocs. Je ne voulais pas d'un "alors tu fais quoi à marseille" direct, ne voulant pas me faire assimiler au "dragueur un peu lourd". Mais avec le recul, je me demande si être plus direct n'aurait pas été aussi efficace.

[quote]Moi, après avoir regardé l'horloge digitale du car : Oula nous sommes très en retard, non ?
Elle, après avoir regardé sa montre : oui nous sommes en retard, il est 10h05.
Moi, désignant l'horloge digitale du car qui indique 11h05 : Ah tu me rassures, c'est juste qu'ils ont oublié de faire le changement d'heures... *rires*
Elle : oui *rires*
Moi : Il me semble que nous devons arriver à marseille à Xh, c'est bien ça ?
Elle : Hum oui, il me semble.
Moi : et tu fais quoi, sur marseille ?
(enfin ! mais je voulais d'abord créer un contexte dans lequel j'aurais déjà prononcé "marseille", chose faite)
Elle : Je suis en médecine.
Moi, enchanté : hey moi aussi !
Nous : bla bla bla.


Nous avons discuté tout au long du trajet. Elle a une façon craquante de sourire avec les yeux quand elle me parle, j'adore sa voix chaude et bien timbrée, et elle regardait souvent mes lèvres. Petit bémol : ses yeux sont marrons. Je n'ai pas vraiment sexué la conversation de façon verbale, mais régulièrement je me tournais de façon à être totalement face à elle et la regarder intensément, prenant pour prétexte des éléments de conversation.

Nous nous revoyons la semaine prochaine.
Modifié en dernier par Sobre n' Soft le Mer Fév 03, 2010 4:20 pm, modifié 1 fois.
By Sobre n' Soft
#84702 [size=150]La Bataille de Pouces[/size]

Il y a un domaine dans lequel je suis vraiment excellent. Il s'agit de la bataille de pouces. Je gagne à tous les coups, évinçant mes adversaires comme autant de moucherons broyés sur le pare brise sale d'une ford Mustang au fin fond du Texas.
Il y a quelques jours, j'ai décidé de faire de cette capacité extraordinaire une force dans la vie courante. Car, c'est indéniable même si peu de gens encore n'en ont conscience : la Bataille de Pouces (BdP pour les experts) n'est pas assez pratiquée de nos jours.

C'est pourquoi, depuis vendredi, la BdP est devenu un accessoire fondamental de mon éventail de moyens d'interaction sociale.

C'est un festival :

[quote]Fille : Excuse-moi, tu as du feu ?
Moi : Bien sûr. Mais j'aurais mauvaise conscience si par ma faute tu devenais moche (oui parce que fumer rend moche). Cependant, si tu réussis, ô challenge improbable, à me battre à la Bataille de Pouces, alors oui, j'allumerai ta cigarette.

Ou encore :

[quote]Fille : *me bouscule par inadvertance*
Moi : Hey tu m'as blessé ! Je réclame vengeance ! Je te défie à la Bataille de Pouces !

Et même pour initier la conversation avec une inconnue :

[quote]Moi : Wow, j'adore vos pouces, ils ont l'air fermes et bien musclés ! Vous devez être une déesse à la Bataille de Pouces, vous, non ?


Une BdP permet non seulement d'introduire le contact physique de façon fun et inhabituelle, mais aussi de passer un moment très agréable, de beaucoup rire, et de se muscler les pouces. De plus, il est ensuite très facile d'enchainer sur un thème permettant de prolonger ce contact, comme les bagues :

[quote]Moi : Hey mais tu triches ! Tes bagues sont piégées, c'est ça ton secret ? *Lui prend la main et examine ses bagues à la recherche d'un dispositif supra technologique caché*

Plus qu'une simple révélation, c'est une révolution.
By Steve79
#84705 Comme tu as pu le remarquer on ne note pas les demoiselles ici, merci.
Avatar de l’utilisateur
By Chocolate
#84706 Merci d'intervenir Steevy du 79
[img]http://www.crepegeorgette.com/wp-content/uploads/2008/10/steevy.jpg[/img]

La bataille de pouce peut-être aussi utilisé pour les hommes, hein. Montrer en public qu'on est ouvert et sociable est toujours bon a prendre.
Entamer une conversation aussi bien avec les filles que les hommes enlève l'étiquette du dragueur pour laisser place à celle du mec sympa (je dis ça au cas ou... car tu ne parle ici que de fille :D ).