- Mer Avr 06, 2016 3:53 pm
#178386
[quote="JulienH"]
"séduire le toutou (?) féminin"
Je voulais écrire tout le "toutim" mais mes doigts ont fourché et ça s'est transformé en "toutou".
[quote="JulienH"]
Pas de perspective/projet => sentiment d'inutilité, de vacuité, de culpabilité même => je ne vaux rien => je ne mérite rien => je m'interdis tout
Quand tu as un projet, tout le reste suit, naturellement. Tu es dans l'action, fixé sur ton truc, détaché du reste, masculin : tu fais ta vie et ça suit.
Par moments, j'en ai eu. Et en effet tout allait bien. Là je sèche et ça dure. Donc je prends la chaîne par l'autre bout et me dis qu'il serait peut être judicieux dans un premier temps, de s'interdire moins de choses. Pas tout, car si je ne sais pas où je vais, je sais d'où je viens - et que je vais y rester (niveau csp). Avec tout ce que cela implique à tous les niveaux
S'interdire moins de choses, déjà, pour avoir au moins des sources de satisfaction / plaisir / ouverture d'esprit au lieu de s'appesantir sur le temps qui passe, sur ce qu'on a raté, sur toutes ces choses pour lesquelles il est trop tard (car il y en a, évidemment).
Aborder une jeune femme qui me plaît, qui vient d'où je viens, normalement et correctement, dans un endroit normal (mais on n'est certes pas obligé de croire en ma sagacité, surtout si on s'est farci les 10 pages précédentes), ça fait partie de ces choses que je ne veux pas, plus, m'interdire. Ca en fait partie, c'est tout. Ca ne consiste pas en ça uniquement.
Je ne veux pas attendre d'être un autre pour simplement aller lui parler. Comme je ne veux pas attendre d'avoir un super taf pour simplement vivre. Je ne dis pas que c'est votre propos, je précise mon état d'esprit.
Prendre la chaîne par l'autre bout est une fausse bonne idée dont la paternité revient à ton manque de réelle volonté ou d'acceptation de la réalité que tu as toi-même dénoncé plus bas.
Je pourrais écrire un roman pour t'expliquer en quoi c'est une fausse bonne idée mais dans ton cas c'est inutile car tu sais déjà ce qu'il faut faire mais comme ta volonté n'est pas assez forte, tu préfères faire ce que tu as envie. Tu dénoncais justement quelques attitudes anti-masculines de ta part notamment ta trop grande dépendance aux états d'âme, à tes envies, je rajouterai. A ce propos, un certain Stéphane Edouard avait dit ceci:
[quote="Stéphane"] Toute journée où vous avez vécu à 100% selon vos désirs est une journée perdue. Une journée de fille.
"séduire le toutou (?) féminin"
Je voulais écrire tout le "toutim" mais mes doigts ont fourché et ça s'est transformé en "toutou".
[quote="JulienH"]
Pas de perspective/projet => sentiment d'inutilité, de vacuité, de culpabilité même => je ne vaux rien => je ne mérite rien => je m'interdis tout
Quand tu as un projet, tout le reste suit, naturellement. Tu es dans l'action, fixé sur ton truc, détaché du reste, masculin : tu fais ta vie et ça suit.
Par moments, j'en ai eu. Et en effet tout allait bien. Là je sèche et ça dure. Donc je prends la chaîne par l'autre bout et me dis qu'il serait peut être judicieux dans un premier temps, de s'interdire moins de choses. Pas tout, car si je ne sais pas où je vais, je sais d'où je viens - et que je vais y rester (niveau csp). Avec tout ce que cela implique à tous les niveaux
S'interdire moins de choses, déjà, pour avoir au moins des sources de satisfaction / plaisir / ouverture d'esprit au lieu de s'appesantir sur le temps qui passe, sur ce qu'on a raté, sur toutes ces choses pour lesquelles il est trop tard (car il y en a, évidemment).
Aborder une jeune femme qui me plaît, qui vient d'où je viens, normalement et correctement, dans un endroit normal (mais on n'est certes pas obligé de croire en ma sagacité, surtout si on s'est farci les 10 pages précédentes), ça fait partie de ces choses que je ne veux pas, plus, m'interdire. Ca en fait partie, c'est tout. Ca ne consiste pas en ça uniquement.
Je ne veux pas attendre d'être un autre pour simplement aller lui parler. Comme je ne veux pas attendre d'avoir un super taf pour simplement vivre. Je ne dis pas que c'est votre propos, je précise mon état d'esprit.
Prendre la chaîne par l'autre bout est une fausse bonne idée dont la paternité revient à ton manque de réelle volonté ou d'acceptation de la réalité que tu as toi-même dénoncé plus bas.
Je pourrais écrire un roman pour t'expliquer en quoi c'est une fausse bonne idée mais dans ton cas c'est inutile car tu sais déjà ce qu'il faut faire mais comme ta volonté n'est pas assez forte, tu préfères faire ce que tu as envie. Tu dénoncais justement quelques attitudes anti-masculines de ta part notamment ta trop grande dépendance aux états d'âme, à tes envies, je rajouterai. A ce propos, un certain Stéphane Edouard avait dit ceci:
[quote="Stéphane"] Toute journée où vous avez vécu à 100% selon vos désirs est une journée perdue. Une journée de fille.