- Ven Mar 07, 2014 11:15 am
#148070
Petit éclairage au vu d'événements récents expliqués dans mon journal:
- écris ce qui te tracasse dans un journal, tu n'auras plus l'impression de ne surtout devoir rien oublier, et par conséquent tu arrêteras d'y penser.
- délègue la gestion de ce problème à une personne compétente.
- les menaces et les ultimatums sont une arme de faible qui a déjà perdu. Dans la vie, en cas de conflit, on parle ou on agit, rarement les deux...
- le mepris est la réaction la moins évidente, alors que, concernant un "ami" qui espère sans doute une réaction, c'est la plus violente. Tu te focalises sur "lui faire mal" parce que c'est la manière dont tu es sur qu'il souffre, mais suite à l'histoire dont j'ai déjà parlé plus haut, j'ai appris quelques mois plus tard que ce qui avait été le plus dur à digérer pour ce naze, c'est qu'à un moment, j'ai cessé de répondre, donc de lui accorder de l'importance, ce qui est sa recherche numéro 1 (je ne peux pas le prouver, mais j'ai récemment eu un flot d'insulte sous un faux nom qui ne peut venir que de lui). Si tu t'en tapes, que tu l'ignores et que tu ne lui accordes pas d'importance, c'est là que tu fais mal à ce genre de personnes.
Un ami très bagarreur m'a expliqué un jour qu'avant d'attaquer, il observait le mec en face pour jauger de ses points faibles et les viser (par exemple, si les jambes sont fines, il va frapper aux genoux, etc.). Si tu as une seule action à faire par rapport à ce type, c'est de comprendre à qui tu as affaire, et quelles sont ses motivations. Si tu es amené à frapper, ça te permettra de le faire efficacement et là où ça fait mal le moment venu.
- écris ce qui te tracasse dans un journal, tu n'auras plus l'impression de ne surtout devoir rien oublier, et par conséquent tu arrêteras d'y penser.
- délègue la gestion de ce problème à une personne compétente.
- les menaces et les ultimatums sont une arme de faible qui a déjà perdu. Dans la vie, en cas de conflit, on parle ou on agit, rarement les deux...
- le mepris est la réaction la moins évidente, alors que, concernant un "ami" qui espère sans doute une réaction, c'est la plus violente. Tu te focalises sur "lui faire mal" parce que c'est la manière dont tu es sur qu'il souffre, mais suite à l'histoire dont j'ai déjà parlé plus haut, j'ai appris quelques mois plus tard que ce qui avait été le plus dur à digérer pour ce naze, c'est qu'à un moment, j'ai cessé de répondre, donc de lui accorder de l'importance, ce qui est sa recherche numéro 1 (je ne peux pas le prouver, mais j'ai récemment eu un flot d'insulte sous un faux nom qui ne peut venir que de lui). Si tu t'en tapes, que tu l'ignores et que tu ne lui accordes pas d'importance, c'est là que tu fais mal à ce genre de personnes.
Un ami très bagarreur m'a expliqué un jour qu'avant d'attaquer, il observait le mec en face pour jauger de ses points faibles et les viser (par exemple, si les jambes sont fines, il va frapper aux genoux, etc.). Si tu as une seule action à faire par rapport à ce type, c'est de comprendre à qui tu as affaire, et quelles sont ses motivations. Si tu es amené à frapper, ça te permettra de le faire efficacement et là où ça fait mal le moment venu.