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Modérateurs: animal, Léo

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By Elan
#98438 Juste un truc : remettre à plus tard, ou ne pas choisir, ce sont aussi des choix qui sont faits et ont leurs propres raisons.

"Choisir c'est mourir un peu" : je me demande d'où sort cette phrase. On meurt toujours un peu, au fur et à mesure, qu'on choisisse ou pas.
By mwu
#98480 [quote="Gentleman"]99.9% de notre génome est identique pour chaque être humain.
"C'est pas de ma faute, c'est la génétique" n'est pas une excuse, mais une belle connerie.

Nah c'est un poil plus complique :wink:

[url]http://evoandproud.blogspot.com/2007/12/999-truism.html[/url]

Pour faire simple

1) Ca ne represente pas le nombre de gene identique, mais le nombre de nucleotides identiques. Un gene c'est une longue chaine de nucleotides, une seule petite variation peut modifier l'expression du gene

2) Second, the 99.9% estimate doesn’t capture higher-level nucleotide variation: his higher-level variation has caused geneticist Craig Venter (of the Human Genome Project) to revise the 99.9% figure downward, to 99%

3) : 98.9% des sequences de nucleotides sont les memes entre les humains et ... les chimpanzes


Ensuite la genetique a une grande influence sur notre comportement qu'on le veuille ou non. Oui beaucoup de gens se trouvent des excuses, mais celle la n'est pas fausse (dans l'absolue).


Par ailleurs j'aime beaucoup ton journal
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By Pier-Yves
#98994 Psychotage de base.

Ceux qui fond, ou on fait un peu de travail psychologique savent de quoi je parle, pour les autres, ça va leur passer au-dessus de la tête.
Il y a des choses que l’on sait d’un point de vue rationnel, mais que l’on n’a pas encore intégrées au point de vue émotionnel. C’est une sorte de déphasage. Pour ce remettre en phase, je pense qu’il n’y a pas grand-chose à faire à part peut être attendre que ça fasse son chemin.

Je ne vais pas parler de ce que j’ai vécu, mais uniquement de ce qui se passe maintenant.

J’étais sûr de ne pas avoir raison, mais mon égo démesuré m’a empêché jusqu’à maintenant d’admettre que j’avais tort. Je me suis trompé radicalement sur la personne que j’avais en face de moi et j’ai refusé de l’admettre. Je ne souhaite en aucun cas d’avoir toujours raison (mon dieu, ce serait d’un ennuyant), mais j’ai toujours souhaité ne jamais avoir tort, ne jamais me tromper sur toute la ligne.

Ce fait de ne pas admettre que j’avais tord sur un point (assez gros ce point), m’a en plus bloqué pour tout un tas d’autre chose. C’est fini tout ça. Ça fait du bien de se réveiller avec le sentiment d’avancer.
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By Pier-Yves
#99819 Si seulement j'avais eu l'intelligence de ne pas écouter en cours, mais de lire les livres que nos profs nous donnaient en bibliographie.
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By Pier-Yves
#100135 On m'a demandé d'approfondir un peu la dernière remarque que j'ai écrit dans mon journal, je comptais le faire, mais j'ai dériver sur autre chose. La réponse suivra.

Voilà un peu le topo.
J'ai passé 5 ans en école d'ingé, et j'ai bêtement appris ce que l'on m’a dit d'appendre. L'intérêt ? Avoir une carte de visite.
Il faut voir que maintenant que j'ai un joli diplôme (en mousse), je me rends compte que ça ne sert pas à grand-chose. Quand on se demande entre camarades de promo ce que nos heures passées en cours nous ont apporté, ou si on utilise ce que l'on a appris, on s'interroge souvent sur les raisons qui nous ont poussés à faire cette formation.

Évidemment, dire que l'on n'a rien appris serait un peu énorme. Par le biais de différents procédés (cours magistraux, TD, stage...), ils nous ont "formaté" pour nous faire rentrer dans une norme, formater pour nous faire rentrer dans des critères. Ce qu'ils font assez bien d'ailleurs.
Au départ il y a une demande du marché. Nous aurions besoin de telles compétences pour répondre à tel problème; les écoles répondent donc en proposant une formation adéquate. L’acquisition d'un savoir, d'un savoir-faire, encadré par un diplôme permet aux entreprises d'avoir la certitude que l'incertitude entre leur problème et la solution que l'on va leur proposer est réduite au minimum.

La perversion arrive au moment précis où le diplôme est mis en place pour répondre à la demande. On passe de travailler pour acquérir un savoir, à travailler pour acquérir un diplôme. La réussite est donc facteur de la capacité que l'on à répondre aux normes, pas à acquérir un savoir. Dans l'absolu ça pourrait être la même chose, mais en pratique, le système d'apprentissage et de notations est tellement biaisé qu'il est très facile de le contourner. De façon toute théorique si vous êtes capable d'avoir un 15/20 a un examen un jour J, vous devriez être capable d'avoir (au moins) cette note n'importe quel jour de votre vie qui suit... n'est-il pas ? ... Pourquoi je sens un gros malaise dans l'audience? On a tous des techniques plus ou moins développés pour bachoter à un examen. On ne parle pas ici de capacité intellectuelle, mais de capacité à restituer en fonction de ce que l'on vous demande.
L'école a un certain nombre de capteurs en amont pour détecter ceux qui n'ont pas les capacités intellectuelles (je parle ici en études sup, les autres institutions ayant fait correctement leur travail).

Entre le major de promo très doué intellectuellement (mais nul socialement), ceux limité, mais qui savent vendre du rêve, ou qui ont compris les normes culturelles et desiderata dans lesquels ils évoluent, et ceux qui doivent travailler d'arrache-pied pour s'en sortir, la différence de points peut être importante au niveau du diplôme (dans l'ordre grosse tête inadaptée, travailleur acharné et vendeur de rêves), mais le classement s'inverse une fois la porte de sortie passée. Notre major de promo est parti faire de la recherche à deux minutes de chez papa maman, car c'est le seul choix qu'elle n'avait pas peur de faire, nos travailleurs acharnés fondent exactement ce qu'on leur demande de faire, et les vendeurs de rêves s'adaptent, comme d'habitude.

La donné ici n'est pas d'être capable d'avoir un savoir, ou la capacité de trouver ce savoir, mais la capacité que l'on peut avoir à ressortir le bon savoir au bon moment.

Alors que reste-t-il après que l'on a tout oublié ? Pas grand-chose sauf une façon de penser, une mentalité qui est gage de votre passage dans l'école gage que vous allez faire le travail demandé, enfin presque...

On nous a enseigné que, dans le cas d'une entreprise, lorsque l'on ne sait pas faire, ou que ce n'est pas d'une grande valeur ajoutée, il fallait faire faire par quelqu'un de plus compétent, une entreprise qui sait faire et dont la valeur ajoutée et réelle. J'ai donc appliqué ce que l'on m’a appris. J'ai fait faire pas mal de mon boulot par les autres, et au final je ne m’en suis pas trop mal sorti. Par contre, tout le monde m a regardé avec de grands yeux quand je leur ai dit que je ne bossais quasiment pas, que tout mon travail était hors-norme. Je bossais surtout pour récupérer les ds des années précédentes, les fiches resucées des cours, ou je passais des heures à lire des livres au lieu de bosser mes cours.


Je suis ingénieur, mais à l'inverse mes camarades, je ne le suis pas que d'un point de vue professionnel. Eux n'ont pas la moindre idée de ce que peut signifier réfléchir en dehors d'un contexte professionnel. Là où ils vont être très inventifs pour résoudre un problème dans un contexte professionnel, ils ne vont pas l'être dans leur vie personnelle. Leur esprit est comme cloisonné, et les liens logiques qu'ils font au travail sont absents le reste du temps. Là où" il y a toujours une solution " du milieu professionnel va se transformer en " certaines choses, tu vois, elles sont comme ça, tu ne peux pas les changer" dans la vie personnelle. Paradoxalement, ils ont la méthodologie ingénieur, la rationalité qui les pousses à tout expliquer sans avoir la moindre once d'irrationalité, autant ils n'ont pas l'esprit ingénieur, la pensée scientifique pour s'interroger. Le "pourquoi" originel (j'écrirais un autre bout de texte là dessus) qui pousse à aller un peu plus loin que ce que l'on pense être vrai est absent chez eux.
Pourquoi ? Fichtre, si je savais... Je pense beaucoup en ce moment à pourquoi certaine personne réfléchisse et d'autre pas... Si je découvre la réponse...

Tout ça étant dit, je peux en venir au sujet de départ, qui est de savoir pourquoi il est préférable de lire en cours plutôt que d'écouter. On verra ça demain.
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By Léo
#100141 Très pertinent, vraiment. En lisant ces lignes, on s'aperçoit à quel point les exemples que tu cites nous viennent rapidement à l'esprit, on pense notamment, à tous ces gens très intelligent , qui résolvent les problèmes de Madame le professeur avec tant de facilité, mais pour affronter les problèmes du coeur, et de leur vie sentimentale de tout les jours, c'est nettement plus difficile.

Mais, si justement il faut avoir :

[quote] l'intelligence de ne pas écouter en cours, mais de lire les livres que nos profs nous donnaient en bibliographie.

Tu penses à des livres en particulier ? Ou les livres en général ?
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By Pier-Yves
#100611 Les profs ayant un peu de bon sens professionnel citent les références des informations qu'ils ont. 2-3 livres servent souvent à comprendre tout un semestre de cours ( pour une matière j'entends).
Ensuite, à l'élève de savoir ce que le prof attend de lui, quel genre d'exam tombe, et quel genre de réponse ils attendent.

En fait quand vous prenez deux heures de cours, ce ne sont jamais 2 heures de cours effectives, on tend plus vers du 1 h 15 -1h30, le reste est du temps perdu en tout et n'importe quoi ( pour les cours magistraux, pas les TD).

Si tu apprends à lire relativement vite, c'est à dire aux alentours de 400 mots minute, tu pourras utiliser ces 2 heures pour acquérir plus d'information que lorsqu'un prof parle.
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By Pier-Yves
#100613 Stéphane vient de soulever un point assez intéressant et qui est vrai pour beaucoup d'autre chose.

En substance, il m'a dit que je n'étais pas du tout fait pour être manager, et qu'au font, je n'en avais même pas envie. Ce qui est absolument vrai. On m'a mis cette idée dans la tête et je l'ai bêtement accepté en tant qu'idéal de réussite.

Ignomo, après le dernier séminaire m'a demandé au détour d'une conversation dans quel genre d'endroit je me sentais bien... la vérité, c'est que je n'en sais (presque) rien.
Je suis capable de dire ce que je n'aime pas, mais pas ce que j'aime - j'aime par défaut donc.
En matière de gout pour les femmes, de même, je ne vais pas savoir vous dire de par quel genre de physique, mentalitée ... je suis attiré, même si je peux dire si une fille me plait ou pas.
En matière de musique, de même. Il y a une grosse base de métal, mais il n'y a qu'un petit nombre de groupe que j'aime dans tous les styles musicaux. En ce moment dans les chansons que j'écoute, il y à Moby, Satriani, Rob Dougan, Stone sour, Rhapsody, St-Germain et James Brown.

Je suis un peu comme un bateau qui navigue sans boussole ni carte, je vais, mais je ne sais pas où.

Bon, qu'est ce que j'aime ?
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By Pier-Yves
#102182 Je commence une nouvelle vie ? Non, ce n'est pas possible, je ne suis pas mario brandissant son 1up !

Par contre, je continue ma vie dans de nouvelles conditions.
-Nouvelle ville -Nouveau travail -Nouvelle environnement -Bientôt nouveaux cercles sociaux

De plus, il se passe plein de (petites) choses qui font que le Karma est bon en ce moment. Ça va de sortir d'un parking payant sans avoir à payer, trouver une place pour se garer juste au pied de ma destination alors que la rue est bondée, se faire proposer de l'aide d'une personne que je connais à peine, se faire offrir un PC portable le premier jour du boulot...

Les mauvaises nouvelles, en ce moment, je ne connais pas; c'est vraiment agréable
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By Pier-Yves
#102309 Étant petit mon cartable me faisait ressembler à une tortue, au fil du temps, le sac est devenu de plus en plus mince, pour ne contenir qu'un crayon et une feuille en fin de parcours. Aujourd'hui, je vais au travail les mains dans les poches. Le savoir est une belle invention.
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By Pier-Yves
#104808 [size=150]Le respect,[/size]

C’est un mot que je n'ai jamais compris jusqu'à hier.

J'ai toujours entendu dire "je vous respecte alors respectez moi ", "nous devons nous montrer du respect les uns envers les autres " "je veux être respecté en tant que tel !"
Je ne comprenais pas ce qu'ils voulaient dire.

Hier, stage de Taekwondo avec mon ancien Maitre de Rouen. Pour l'histoire, il est utile de préciser que Maitre Kim est 9e dan ( le 10e étant décerné uniquement à titre posthume), est le directeur technique fédéral français, juge et arbitre internationale, juge olympique, il établit les règles des passages de grades ceintures noires ...l'un des hauts dirigeants du taekwondo mondial en somme.

On se retrouve donc à Sartrouville pour le stage avec 5 membres de mon nouveau club, on se change dans les vestiaires, on dit bonjour aux personnes présentes. À l'entrée dans le gymnase, je vois pas mal de personnes, je n'en connais aucune, normale, je viens d'arriver dans la région.
Je m'avance donc vers la personne que je vois pour aller la saluer, je lui tends la main ... On ne me rend pas la pareille. On me dévisage de haut en bas sans rien dire. Je me dis simplement qu'il n'est pas très poli. Je m'avance alors vers un groupe de ceinture noir, je vais pour leur dire bonjour, c'est alors que j'entends une voix d'un petit bout de femme assez rondelettre, ceinture noire, me dire " on ne dit pas bonjour ici, on essaye de garder une certaine forme de respect ". L'un des ceintures noires du groupe me dit alors " par contre quand un plus gradé que toi vient te saluer, tu dois répondre. On ne se dit pas bonjour dans le gymnase, mais dans les vestiaires, c'est OK "
J'étais sur le cul.
Ce prologue terminé on discute simplement.
Du coin de l'oeil, je guette Maitre Kim, histoire d'aller lui parler, et de lui dire que je continue bien le Taekwondo malgré mon déménagement.
Quand il m'aperçoit, je vais vers lui, je lui tends la main, lui dit bonjour, le salue, on discute.

Je l'ai eu comme professeur pendant 8 mois, dès qu'on arrivait au club, on devait allé le saluer.
J'ai fait plusieurs autres clubs, et j'ai eu d'autres maitres, d'autre 9e Dan de fédération différente.
Là aussi la règle est de venir saluer les maitres en premier.

Cette histoire m'a au moins fait comprendre le respect.

Le respect, c'est de se comporter à Rome comme les Romains.
Lorsque les règles ne sont pas écrites, comme très souvent, il faut être assez bon socialement pour comprendre ses règles, avant de faire une grosse boulette.
Le respect est propre à chaque endroit, ou chaque personne. Un problème réside toute foi dans le fait que certaines personnes n'ont pas la moindre idée de ce qu'elles veulent pour être respectée. Là, ce n’est pas de la tarte.
ByEquus
#104810 Si je puis me permettre, ce n'est pas ce que j'appelle le respect stricto sensu. Il s'agit là d'un code social basé sur l'autorité. T'obliger à répondre au salut d'une ceinture noire alors que tu ne peux pas prendre l'initiative de les saluer, ça n'est pas leur marquer un quelconque respect, c'est juste répondre à une règle qu'ils ont édictée (et qui n'a aucun rapport avec le respect, car d'un certaine manière ça te positionne comme étant "inférieur" à eux).

Le respect c'est autre chose.

Par exemple, imagine que ces ceintures noires te fouettent avec leur ceinture à chaque cours parce que c'est ce qui a été décidé dans leurs règles et que les débutants doivent se soumettre à ce traitement. C'est caricatural... Mais est-ce que tu trouverais ça normal ?

Le respect c'est ça. La respect n'a aucune frontière, il s'applique de manière égale à toute les classes sociales et classes d'âge. C'est le fondement même de la loi (celle qu'on connaît, qui par exemple interdit de tuer ou de violer une personne quelle qu'elle soit).

C'est avant tout le respect de soi, de sa vie, de son corps, en prendre soin, faire les bons choix pour s'épanouir. Et c'est aussi le respect de l'autre, le traiter comme un individu à part entière, ne pas l'agresser physiquement ou le juger de sa personne. Et le respect de son environnement, sans lequel on ne peut vivre.

Le reste, les croyances, la politesse, ce ne sont que des codes, des règles sociales dont souvent la plupart des gens ont oublié ou n'ont jamais su le sens et l'histoire, et qu'ils appliquent bêtement.
Et oui effectivement, ces règles là dépendent des endroits, des personnes ou des cercles sociaux.

Mais le respect, c'est beaucoup plus fondamental et universel.
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By Orphée
#104811 J'ai déjà eu le cas "On ne se serre pas la main dans la salle ou sur le tatami", sous-entendu "c'est un manque de respect".

Envers qui, envers quoi ? Je ne saurais jamais. Ces personnes recrachent souvent bêtement ce qu'elles ont entendu. Heureusement, mon professeur n'est pas comme ça, on se fait la bise et on discute, ça change des balais dans le cul :)
By Synchronn
#104813 C'est comme le principe de ne pas péter à table... on le sait mais on ne sait pas d'où vient cette tradition/politesse/respect.

Quand aux arts martiaux, le principe de saluer les plus gradés est une forme de respect, tout comme le principe que ça soit le plus jeune qui salue le plus ancien.(politesse et respect qui se perdent dans nos contrées) La différence entre le récit de Gentleman et d'Orphée est au niveau du contexte. Différence entre le rassemblement de clubs et la vie au sein du club, c'est comme comparer son attitude à table dans sa cuisine et celle au restaurant.


La vision du respect de Gentleman est assez identique à la mienne surtout depuis que j'ai trainé au japon, pays surement le plus codé que j'ai eu l'occasion de voir :

Tu picores pas dans l'assiette de ta voisine
Tu passes pas de la bouffe de baguettes à baguettes
Tu peux faire du bruit en mangeant, aspirer tes nouilles avec slurpppp
Tu ne manges pas en marchant, boire c'est pareil.
Tu te ballades avec tes poubelles à la main pendant des heures, peu de poubelle et les mettre parterre c'est pas cool c'est tellement propre.
Tu ne sers pas la main ou pètes la bise.
Tu te sers de tes deux mains pour récupérer la monnaie
Tu attends que le bonhomme piéton passe au vert même si la rue est désertique...


A Nikko, un moine japonais (ouais il m'avait fait flipper j'avoue) m'a expliqué que ce que je venais de faire aurait été sanctionné parde la taule ou pire il y a quelques décennies.

Je m'étais assis sur les marches du temple , dos au sanctuaire du Shogun en buvant de l'eau.
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By Elan
#104820 [quote="Synchronn"]Quand aux arts martiaux, le principe de saluer les plus gradés est une forme de respect, tout comme le principe que ça soit le plus jeune qui salue le plus ancien.Pour info c'est pareil dans l'armée. Le plus gradé peut snober le moins gradé, mais pas l'inverse. La contrepartie étant que si le moins gradé salue, l'autre doit y répondre sous peine de passer pour un tocard.