Parce qu'il est impossible d'être heureux en faisant ce qu'on n'aime pas

Modérateurs: animal, Léo

By Scaff
#116897 [quote="wu-weï"]En même temps, il n'y a pas besoin de lire 350 livres pour comprendre ce qu'il y a à comprendre de la vie. :wink:

Je pense que là, ça dépend beaucoup de ta conception de la compréhension de la vie. Mais je te rejoins sur le fait que certains bouquins sont incontournables et que ceux-ci ne sont pas légions. Après, il faut en avoir la liste, et quand on n'est pas guidé, c'est pas évident.

[quote="wu-weï"]
Et pour répondre à "le seul argent qu'on gagne, c'est celui qu'on ne dépense pas" (négation, limitation), tu peux aussi faire en sorte de gagner plus voire beaucoup plus (pas des % en + , des X fois +). :idea:
Si tu as une solution efficace pour ça, je suis t'écoute (en PM s'il le faut :D) !
By archie
#116899 Wu Weï
[quote]En même temps, il n'y a pas besoin de lire 350 livres pour comprendre ce qu'il y a à comprendre de la vie.
+1, Arthur S. en avait une bonne à ce sujet
[code]« En ce qui concerne la lecture, l’art de ne pas lire est extrêmement important. […] Une des conditions de la lecture du bon, c’est de ne pas lire le mauvais. Car la vie est courte, le temps et l’énergie sont limités. »
[/code]

Wu Weï
[quote]Et pour répondre à "le seul argent qu'on gagne, c'est celui qu'on ne dépense pas" (négation, limitation), tu peux aussi faire en sorte de gagner plus voire beaucoup plus (pas des % en + , des X fois +).
Tes posts sur le changement de vision, voir grand et penser comme un entrepreneur et non comme un salarié sont très pertinents.
Je travaille à changer ma vision depuis un moment mais je dois mal m'y prendre puisque cela n'a pas encore porté ses fruits.
Malgré une bonne expérience par rapport à mon âge, soit on me dit que je suis trop jeune pour le poste auquel je postule où alors on me reproche d'être trop spécialisé (trop technicien) pour prendre en charge des projets.
En somme, on me reproche tantôt une expertise qu'on ne veut pas rémunérer en conséquence lorsqu'elle est admise :/

Certes, tout cela est dans le cadre du salariat par lequel il m'est nécessaire de passer dans un premier temps pour mettre de côté.
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By wu-weï
#116901 Alors il faut que tu comprennes ce qu'ils te disent derrière ces mots :

- trop jeune : inexpérimenté, matûrité, relationnel humain, recul, tempérence, gestion, management.
- compétence pas rémunérée : tu ne les as pas convaincu, compétence mal vendue, mal portée, "polluée" par un discours "limité" au moins en partie sur d'autres aspects de ta personnalité professionnelle.

J'ai eu un mal fou à gagner 15% de plus uaprès de mon employeur et devenir un des mieux payés dans mon métier.
L'autre jour, on a reçu un employeur qui va suivre le même chemin de restructuration que le miens : ils m'ont proposé un contrat.

Des fois, faut changer d'interlocuteur.
Parfois, ce sont eux qui ont des limites et des croyances limitantes que tu subis.

Ca fait trois ans que je cherche "ma voie" pour sortir du salariat. Je pars en formation début 2012 et je démarre doucement mon activité en février. Tripler mon actuel salaire me semble un objectif réalisable et raisonnable.

Un jours, dans mon vieux journal, j'étais arrivé à la conclusion que "les gens" se demandent ce qu'ils peuvent faire dans leur budget et qu'il vaudrait mieux se demander quel budget il faut pour vivre comme on le souhaite.

Pas dépenser l'argent qu'on gagne, c'est juste se limiter.
A quantité de travail égal, faire ce qui rapporte le plus, là où il y a de l'argent. Un vendeur de Twingo et de Ferrari font le même job. Mieux vaut vendre des Ferraris : la commission est plus grande.

Il faut dépasser le point du reste à vivre.
Le superflus, tu le splaces, tu le claque, tu fais ensorte qu'il t'apporte financièrement et humainement directement ou indirectement.

Je me pose toujours la question de Mr White à Jessie dans Breaking Bad : Quelle est la valeur ajoutée?
Pas de valeur ajoutée => je fais pas.
De la valeur ajoutée => je fais.

Le seul argent qu'on perd, c'est celui qu'un autre gagne à ta place. :wink:

Think positive, always!
By archie
#116907 Merci beaucoup pour ta réponse, j'ai effectivement des choses à revoir.

[quote="wu-weï "]Un jours, dans mon vieux journal, j'étais arrivé à la conclusion que "les gens" se demandent ce qu'ils peuvent faire dans leur budget et qu'il vaudrait mieux se demander quel budget il faut pour vivre comme on le souhaite.

Pas dépenser l'argent qu'on gagne, c'est juste se limiter.
A quantité de travail égal, faire ce qui rapporte le plus, là où il y a de l'argent. Un vendeur de Twingo et de Ferrari font le même job. Mieux vaut vendre des Ferraris : la commission est plus grande.
Entièrement d'accord.
Tant que je n'ai pas grand chose, je fais attention ; mais ma vraie attitude globale est la recherche du meilleur job avec le meilleur revenu possible que je puisse obtenir, pas de vivre de mieux en mieux avec peu.
Ces derniers temps, j'ai revu mes attentes ; je ne cherche pas tout à fait les mêmes postes, ne réponds plus aux mêmes annonces, ne cherche plus au sein des mêmes structures non plus.

[quote="wu-weï "]Un jours, dans mon vieux journal, j'étais arrivé à la conclusion que "les gens" se demandent ce qu'ils peuvent faire dans leur budget et qu'il vaudrait mieux se demander quel budget il faut pour vivre comme on le souhaite.
Done ! On ne pense pas pareil après, établir sa valeur donne vraiment un bon point de départ.

[quote="wu-weï "]Le seul argent qu'on perd, c'est celui qu'un autre gagne à ta place.
+1000
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By Elan
#116924 C'est quand même à mettre en rapport avec la nature du boulot.
Comme je disais, j'ai divisé mon salaire par deux il y a quelques années (passé d'ingénieur dans le privé à chercheur dans le publique). Toutefois ma qualité de vie n'a aucun rapport, j'adore littéralement mon taf et le jour où je serai lassé je n'aurai aucun mal à changer à nouveau, il y a plein d'autres domaines qui me passionnent (et où je suis à peu près compétent).

Pour les bouquins, rien à voir avec le côté ostentatoire. Certaines personnes ont effectivement une bibliothèque de dingue dont ils n'ont lu qu'une infime partie. Pour rebondir sur la phrase d'Arthur S, il y a suffisamment de bons bouquins pour avoir une bonne bibliothèque intégralement lue et vers laquelle on reviendra avec plaisir, et pas forcément quand il y a du monde autour pour admirer le geste. Woody Allen disait qu'un livre de littérature c'est un livre qu'on aimerait avoir lu mais qu'on n'a pas envie de lire. Ça décrit probablement la façon de penser de bien des gens mais c'est quand même à relativiser, certes comme dans tout art il serait illusoire d'aimer toute la littérature, mais je pense que chacun peut découvrir des textes merveilleux qui lui parleront davantage que d'autres.

Bref, le matérialisme est une chose très mal répartie, difficile de trouver chez l'autre une bonne façon d'aborder la possession matérielle, le niveau de vie ou le plaisir de l'épuré.
ByThe Man Outside
#116946 [quote="wu-weï"]Et pour répondre à "le seul argent qu'on gagne, c'est celui qu'on ne dépense pas" (négation, limitation), tu peux aussi faire en sorte de gagner plus voire beaucoup plus (pas des % en + , des X fois +). :idea:

Là, je ne peux m'empêcher de penser à [url=http://www.spikeseduction.com/forum/l-homme-ideal-en-librairie-vt8696-285.html]ce topic[/url] dans lequel

[quote="wu-weï"]A des moments, mon impression est que la plupart pensent que la méthode Spike Seduction, c'est de rouler en Jaguar ou en Aston, de porter 2500€ de fringues, d'avoir un appart de 200m² et un job à 100 000€/an.

Alors que la méthode, c'est tout l'inverse : c'est apprendre à être drôle, léger, avoir de la conversation et une conversation intéressante, donner du plaisir aux gens et en prendre.

C'est pas une question de portefeuille, ça.

Paradoxe ?

Sinon wu-weï, je te rejoins sur le fait qu'il n'y a pas 350 livres à lire pour comprendre la vie. :wink:

ignomo : je approuve à 100% ce que tu dis sur ta bibliothèque.

Beaucoup de gens se définissent par leurs possessions. Effectivement, j'ai revendu certains de mes livres tandis que d'autres sont encore dans les cartons (je suis en transition lente) et les filles qui viennent chez moi ne voient que la partie émergée de l'iceberg bibliophilique. Idem pour la musique, puisque mes 800 CD sont dans un placard et intégralement numérisés dans mon disque dur externe.

Oui, une belle bibliothèque c'est beau et ça vaut toutes les babioles ikea du monde. Oui, des choix judicieux en matière de livres (et de musique dans une moindre mesure, l'objet disque étant considéré comme moins noble que l'objet livre) communiquent une valeur aux yeux de nos visiteurs. Néanmoins comme l'a dit Bakounine (j'ai un doute, merci de corriger si je me trompe d'auteur) "la jouissance est supérieure à la propriété". Les livres que j'ai digéré sont en moi, même s'ils sont invisibles aux yeux de mes hôtes, et leur faire écouter mes 50 disques préférés prendra plusieurs années. Malgré le soin que ce forum nous pousse à prendre soin de ce que nous communiquons aux autres, il y a toujours une [url=http://www.youtube.com/watch?v=UTzM9_Rh1Zg]ultime frontière[/url] (ok, je :arrow: :lol: ) celle de notre for intérieur.

Se définir par des objets, même d'excellente qualité, c'est toujours se définir par quelque chose qui nous est extérieur.

J'ajoute que le principe de collection/accumulation matérielle est fortement teinté d'obsessionnalité, et que la névrose obsessionnelle - pas forcément portée à un niveau pathologique - est une récurrence des personnalités dites "AFC".
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By wu-weï
#116952 Paradoxe?

Non.
Deux idées concomitantes, sans lien entre elles. Si il y avait un lien, il serait de condition. L'une condionne l'autre.

Hier soir, j'ai regardé Les femmes du sixièmes étage avec Fabrice Lucchini, Sandrine Kimberlain et une floppée d'actrices espagnoles formidables.

C'est l'histoire d'un banquier qui a matériellement tout pour être heureux et qui ne se pose même pas la question de son ennui, son renoncement, son fatalisme en 1962.
Au sixième étage, résident dans de petites chambres, les bonnes des appartements bourgeois de l'immeuble (dont le sien).
Elles n'ont matériellement rien. Elles sont pourtant pleines de vie.

Les bonnes sont plus heureuses que cet homme qui, à leur contact, va se découvrir.
D'ailleurs, Maria, une bonne espagnole est 50 fois plus séduisante que Sandrine Kimberlain dans son rôle de bourgeoise ennuyeuse et "morte-vivante".
La séduction n'a rien à voir avec le train de vie.
Elle a à voir avec ce qu'on est, ce qu'on donne et qu'on est capable de donner.

Maintenant, quand te tu poses la question de tes moyens financiers, plutôt que de se demander ce qu'on peut s'offrir dans un budget limité, je pense qu'il vaut mieux se demander ce qu'on aime et ce dont on a besoin financièrement pour le vivre.
Le personnage de Lucchini suit ce cheminement pour avoir ce qu'il aime mais je ne vous spoilie pas le film. :wink:
La démarche est complétement inverse de la nôtre qui sommes "des pauvres" :mrgreen: (par rapport à lui).

Ce qui ferait un paradoxe de ces deux idées concomitantes, ce serait de les lier : séduction = ce qu'on est = ses moyens financiers.
Vous remarquerez que dans cette "équation", il n'y a jamais "ce qu'on aime".

Si ce qu'on aime, c'est de séduire pour avoir (je fais exprès d'écrire avoir plutôt que être avec ou vivre avec) des femmes et que les moyens financiers sont une condition sine qua none de la séduction, alors il y a une erreur dans cette équation.
On ne fait pas ce qu'on aime. On fait pour s'aimer soi dans le regard des autres.
L'estime de soi et ce qu'on est passe par une condition et l'estime de soi est conditionnelle = epic fail.
Ca marche un temps en se mentant à soi-même mais au bout de la ligne droite, au freinage avant le virage, c'est bac à gravier, direct, crash en flammes quand la supercherie est démasquée.

Relisez l'article de Juan "détectez les failles dans votre self-esteem". :wink:
By archie
#130560 Il y a peu je suis parvenu à enfin mettre les mots justes sur un constat que j'ai pu faire autour de moi : les gens aisés que je peux fréquenter ne dépensent pas d'argent pour ce dont ils peuvent se passer. (A côté de ça ils ne lésinent pas quand ils se font plaisir, mais ça c'est le débat des priorités, blabla.)

A l'inverse, ceux qui n'ont pas beaucoup d'argent, ont malheureusement l'habitude merdique de dépenser des sous pour du futile, des babioles, des choses qu'ils ont parfois déjà et sont très enclins aux achats compulsifs.
==> la base du consumérisme et pourquoi souvent, ça touche plus "les pauvres" (oui on peut avoir beaucoup d'argent et être consumériste...)

Pendant que les riches pensent à la nécessité et à la valeur, les pauvres écoutent leurs envies, leur humeur et réfléchissent (pas assez longtemps) au prix.

Ce qui m'intrigue c'est le rapport à la consommation dans l'habitude, le comportement. Pas la gestion des priorités (que chacun juge ç sa façon, etc.)
Faites vous ce même constat ?
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By coug
#130562 En Allemand il y a un dicton bien connu:

"Wer den Rappen nicht ehrt, ist den Franken nicht wert"

"Celui qui n'honore pas le centime, n'est pas digne du franc" (forcément en français et en €, ca rends moins bien).

J'ai un pote qui se plains tout le temps qu'il n'a pas d'argent. Je lui ai fait le décompte sous ses yeux, de ce que lui coutaient à l'année deux de ses facheuses habitudes:
- 1 paquet de clope par jour
- 1 ou 2 red bulls par jour, achetés au prix de 4€ à un bar

On arrive à plusieurs milliers d'€. En faite, une dépense de 7€ par jour = >2'500€ à l'année. Et il fait ca depuis plusieurs années.

Et bin il continuera à s'intoxiquer la santé et de rouler en peugeot, plutôt que d'être en forme et se payer la harley de ses rêves.
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By Stan
#130563 Quand on se plaint de pas avoir assez de pognon — ou pas assez —, on se trouve un boulot.

Ces gens-là m'énervent. Parfois, il faut regarder ce qu'on dépense et ce qu'on reçoit et agir en conséquence. Depuis 1 an, je me suis rendu compte que mon mode de vie devenait incompatible avec mes revenus. Soirées, vêtements, vacances qui coûtent un bras, un verre/restau par-ci par là, et on se dit merde, je peux pas continuer comme ça.

Alors plutôt que de glander le samedi dans Paris, je me suis dit qu'il fallait que je me trouve un job, ce qui évite les arbitrages pénibles à faire du style « ah oui mais si je sors samedi je pourrais pas aller au restau ».

[quote]plutôt que d'être en forme et se payer la harley de ses rêves.

Inversement, tu pourrais aussi lui faire la morale en lui expliquant que sa Harley consomme tant de litres, soit, au bout de l'année une somme qui pourrait te permettre de (choisissez une idée)

Un de mes meilleurs amis utilise tout le temps sa bagnole. Pour aller à la fac, pour aller au ciné, et dépense ainsi 70€ pour son plein toutes les 2-3 semaines. Il ne veut pas — et c'est pas faute d'essayer de le convaincre — prendre les transports. Chacun met son pognon là où il lui semble le mieux placé, même si ça peut paraître insensé à d'autres.

Quant à ses clopes, si elles lui procurent un réel plaisir et qu'il n'est pas près à y renoncer, c'est que ça fait partie de ses frais fixes, c'est-à-dire forcément décompté chaque mois de son budget. Chacun à les siens...
By James ex S
#130717 Un très bon livre qui traite du sujet : "L'art de la simplicité" de Dominique Loreau.
Apprendre à vivre avec moins et à vivre mieux.

J'ai jamais été autant heureux que pendant un voyage d'un mois et demi en Asie avec pour seul affaires dans mon sac à dos quelques t-shirt, un short, un pull, une paire de chaussure de marche et une trousse de toilette.
Quand on se rend compte qu'on vit très bien avec si peu je peux vous dire qu'une fois de retour on trie tout le bordel qui encombre notre appartement.

Pour ce qui est des dépenses il faut te faire un budgets avec tes frais fixes que tu dois obligatoirement sortir tous les mois et tes frais variables. Si tu vis au dessus de tes moyens regarde ou tu peux économiser. Par contre il faut faire des économies intelligentes. Ne vas pas économiser sur la nourriture pour t'acheter des clopes, ça n'aurait aucun sens.
Personnellement en tant qu'étudiant, à la place de dépenser 12 francs tous les jours pour manger à midi je prépare mes repas à l'avance. Ca demande un peu d'organisation mais c'est tout à fait possible. Si tu fais le calcul tu économises une grosse somme sur un mois.

Ensuite il faut mettre le prix là où c'est nécessaire, dans les choses qui vont durer plusieurs années.

Pour la plupart des gens de mon âge je vis comme un pacha. Mais si on réfléchit une minute acheter de la qualité c'est économiser à long terme. Si tu as besoin d'un nouveau canapé pour ton appart à la place d'acheter un truc "en attendant" économise encore quelques mois et achète toi le canapé de tes rêves. Pareil pour les vêtements. A la place de dépenser 150 francs tous les ans pour un manteau H&M à moité synthétique, je préfère mettre 400 francs dans un beau manteau qui me durera des années.
Quand on achète de la qualité on réfléchit plus (entre autre à cause du prix) et on a donc moins tendance à faire des achats compulsifs.
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By johnnylajoie
#130727 Oui enfin après chacun voit midi à sa porte, et effectivement, ce qui semble important pour l'un sera superflu pour l'autre.

Mon constat concernant l'argent que l'on gagne est beaucoup plus simple. Les gens qui gagnent le mieux leur vie sont ceux qui ont les meilleurs boulots, et ceux qui ont les meilleurs boulots sont ceux qui ont les meilleurs diplômes.
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By Dje
#130733 [quote="johnnylajoie"]ceux qui ont les meilleurs boulots sont ceux qui ont les meilleurs diplômes.
Aïe.
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By Stéphane
#130735 Je suis toujours stupéfait de la façon dont les gens répètent ce qu'ils ont entendu de le part de la pensée dominante sans jamais comparer à la réalité qui s'étale pourtant devant leurs yeux.

Un peu comme ces types qui pensent avoir le goût sûr en matière de femmes alors qu'ils ne font que synthétiser une parfaite moyenne de la mode du moment, sans aucun envie de rompre ne serait-ce qu'un instant avec ce qui leur est imposé par le goût des autres.