- Dim Juil 17, 2011 8:49 am
#111113
Oui, d'ailleurs pendant l'interaction, en disant que je m'appelais "mon prénom" de France (pour dire que j'étais originaire de France) elles ont pensé que c'était mon nom de famille. J'ai confirmé pour entendre ensuite leur réponse du genre "ouah c'est jooooli". J'avais vraiment l'impression que je pouvais leur faire avaler n'importe quoi (non non, aucune allusion scabreuse ) et que tout ce que j'allais dire allait avoir leur aval ("oui t'as trooooop raison, moi aussi je pense ça !!!!") L'état d'esprit du conquérant qui fait que vous avez l'impression que tout ne peut que vous réussir.
Mais j'ai parfois l'impression, à tort ou à raison, que les titillements, blagues, sexuations foirent qque peu (comme ce soir au boulot), et c'est tjs quand mon état d'esprit est plombé. Ca arrive, même aux cadors.
En tout cas, je commence vraiment à m'amuser
- Lun Juil 18, 2011 7:13 am
#111139
J'ai clairement passé un cap. Tant mieux. J'agis plus. Je réussis plus. L'état d'esprit. Le discernement. Le sens social.
La cliente du bus est passée au magasin ce soir avec une autre copine. Elle va plutôt à la caisse où mon collègue se trouve. Ils se connaissent depuis qque temps, se sont croisés en soirée 2-3 fois. Voyant que c'est elle, je vais donc lui dire bonjour.
E : Bien rentré l'autre jour ?
M : Oui, et toi, ta soirée ?
E : Enorme.
Mon collègue se demande à quoi on fait allusion, et je dis, sourire suggestif aux lèvres en regardant la fille (je ne sais plus si elle avait son sourire en coin...) :
M : On s'est vus récemment....[je voulais laisser planer l'existence d'une date passée mon collègue m'avouera plus tard y avoir cru pendant un bref instant ] puis [désignant la copine présente] Mais la jeune fille ici présente n'était pas là, je crois ?
E : Non, pas elle.
M : En tout cas, tes copines étaient surexcitées.
E : Oui, surtout une, la Marocaine.
M : Oui, j'ai vu ça...
E : J'avais honte.
M : Moi, j'ai bien rigolé xD.
Sa transaction se termine, elle dit à plus tard à mon collègue. Elle sort, mais je la calcule pas plus, yen a qui bossent !
Wu-wei, j'ai pensé à tes remarques sur l'interaction qui a eu lieu, j'avoue avoir douté un peu vu son comportement de ce soir, mais bon, cela doit venir aussi d'un état d'esprit en baisse d'énergie positive depuis hier et ma journée de merde.
Ce qui n'a pas empêché la chose suivante, sous les yeux de mon collègue : deux autres maghrébines clientes, sapées en short ras-la-BIIIIIIP. L'une des deux remet ses lunettes de soleil une fois à la caisse (mon collègue les servait), et je dis d'un ton ironique, sous le regard de l'autre :
M : Ya bcp de soleil dans le magasin, c'est important de les mettre pour payer.
E : Prend le titillement plutôt bien. Justification derrière un argument bidon, mais elle retire ses lunettes et les met sur son front.
E : C'est mieux comme ça ? [Recherche de validation]
M : Tu fais comme tu veux [Echec à la bonnasse]
Ejection.
Fin.
C'est l'éclate, en fait
La cliente du bus est passée au magasin ce soir avec une autre copine. Elle va plutôt à la caisse où mon collègue se trouve. Ils se connaissent depuis qque temps, se sont croisés en soirée 2-3 fois. Voyant que c'est elle, je vais donc lui dire bonjour.
E : Bien rentré l'autre jour ?
M : Oui, et toi, ta soirée ?
E : Enorme.
Mon collègue se demande à quoi on fait allusion, et je dis, sourire suggestif aux lèvres en regardant la fille (je ne sais plus si elle avait son sourire en coin...) :
M : On s'est vus récemment....[je voulais laisser planer l'existence d'une date passée mon collègue m'avouera plus tard y avoir cru pendant un bref instant ] puis [désignant la copine présente] Mais la jeune fille ici présente n'était pas là, je crois ?
E : Non, pas elle.
M : En tout cas, tes copines étaient surexcitées.
E : Oui, surtout une, la Marocaine.
M : Oui, j'ai vu ça...
E : J'avais honte.
M : Moi, j'ai bien rigolé xD.
Sa transaction se termine, elle dit à plus tard à mon collègue. Elle sort, mais je la calcule pas plus, yen a qui bossent !
Wu-wei, j'ai pensé à tes remarques sur l'interaction qui a eu lieu, j'avoue avoir douté un peu vu son comportement de ce soir, mais bon, cela doit venir aussi d'un état d'esprit en baisse d'énergie positive depuis hier et ma journée de merde.
Ce qui n'a pas empêché la chose suivante, sous les yeux de mon collègue : deux autres maghrébines clientes, sapées en short ras-la-BIIIIIIP. L'une des deux remet ses lunettes de soleil une fois à la caisse (mon collègue les servait), et je dis d'un ton ironique, sous le regard de l'autre :
M : Ya bcp de soleil dans le magasin, c'est important de les mettre pour payer.
E : Prend le titillement plutôt bien. Justification derrière un argument bidon, mais elle retire ses lunettes et les met sur son front.
E : C'est mieux comme ça ? [Recherche de validation]
M : Tu fais comme tu veux [Echec à la bonnasse]
Ejection.
Fin.
C'est l'éclate, en fait
- Lun Juil 18, 2011 1:10 pm
#111146
[quote="Transcendental"]La cliente du bus est passée au magasin ce soir avec une autre copine. Elle va plutôt à la caisse où mon collègue se trouve. Ils se connaissent depuis qque temps, se sont croisés en soirée 2-3 fois.
Quand j'ai lu la première phrase, je me suis dit : "ça ne m'étonne pas".
A la deuxième, qu'elle a un comportement de type fuyant.
La somme des deux (+ la scène du bus) : elle est interessée.
L'ensemble : C'est une fille qui a besoin d'un peu de temps et d'escalade (sans heurt) de la tension. Progressivement mais sûrement.
[quote="Transecendental"]M : En tout cas, tes copines étaient surexcitées.
E : Oui, surtout une, la Marocaine.
M : Oui, j'ai vu ça...
E : J'avais honte.
Tu as bien fait d'agir avec du détachement tout en étant social et sans recherche de validation dans le bus.
Vous allez vous revoir.
Soit elle va repasser, soit le "hasard" (qu'elle aura savamment organisé) fera que vous vous recroiserez avec un ami ou relation commune qui servira de pivot.
Ton collègue, par exemple, qu irait à une soirée où elle va, ou bien vers l'heure de sortie ou de déjeuner du magasin où tu travailles...ou plus probablement, elle repassera à ton travail et trouvera un moyen qui paraisse légitime de faire durer un peu plus l'interaction sans "perdre la face".
La porte ouverte sera ténue, mais réelle.
Quand j'ai lu la première phrase, je me suis dit : "ça ne m'étonne pas".
A la deuxième, qu'elle a un comportement de type fuyant.
La somme des deux (+ la scène du bus) : elle est interessée.
L'ensemble : C'est une fille qui a besoin d'un peu de temps et d'escalade (sans heurt) de la tension. Progressivement mais sûrement.
[quote="Transecendental"]M : En tout cas, tes copines étaient surexcitées.
E : Oui, surtout une, la Marocaine.
M : Oui, j'ai vu ça...
E : J'avais honte.
Tu as bien fait d'agir avec du détachement tout en étant social et sans recherche de validation dans le bus.
Vous allez vous revoir.
Soit elle va repasser, soit le "hasard" (qu'elle aura savamment organisé) fera que vous vous recroiserez avec un ami ou relation commune qui servira de pivot.
Ton collègue, par exemple, qu irait à une soirée où elle va, ou bien vers l'heure de sortie ou de déjeuner du magasin où tu travailles...ou plus probablement, elle repassera à ton travail et trouvera un moyen qui paraisse légitime de faire durer un peu plus l'interaction sans "perdre la face".
La porte ouverte sera ténue, mais réelle.
- Jeu Juil 21, 2011 2:59 am
#111260
Après 5 jours de boulot "in a row" pour se coucher à 2 ou 3h du mat', après une baisse du niveau de santé de mon état d'esprit consécutive à ces 5 jours de folie (lassitude mentale), après être retombé dans les travers de l'AFC avec une blonde de mon étage, à dire des choses bidons ou à rester planté sans rien dire, voilà que j'en suis à voir un peu le mal partout, et à douter de l'intérêt de la minette de 18 ans rencontrée la semaine dernière, de l'intérêt de toutes les autres filles de ces derniers mois (des coups foirés), de l'intérêt de la cliente du bus (en fait, c'est mon collègue qui l'intéresse !! si si, dans le bus, elle m'a demandé comment il va ! mdr)...
Je divague. En fait, c'est con, mais dans un tel état d'esprit (de merde), je doute qu'autant de belles filles puissent être intéressées par moi. Wu-wei, ne te vexe pas Bref.
Mais quand vous lisez les phrases suivantes :
[quote]
Réfléchissez et vous verrez que vous frôlez plus volontiers ceux que vous aimez. Dans les rencontres, comme au casino, un excès de coincidence est rarement fortuit.
Là, je pense à plusieurs filles croisées bien plus d'une fois ici ou là dans les environs de l'université ou à la résidence où je loge... En même temps, c'est normal de croiser ces gens, s'ils habitent dans ledit quartier et étudie dans ladite université (mode lemalpartout grrr)...
Passons.
Il y a aussi ça :
[quote]
Une personne intéressée en fait toujours un peu trop [...] : un excès de fond de teint (cette belle femme avec qui vous avez rdv n'avait pas l'ombre d'un fard à paupière lorsque vous l'avez rencontrée)
ou encore, les "inévitables"
[quote]
Une personne intéressée relance dans les blancs
[...]
Une personne intéressée ne vous coupe jamais la parole (même quand votre anglais est bancal ! là c'est moi qui parle)
[...]
Une personne intéressée vous pose des questions personnelles
La lecture de ces mots d'un certain Stéphane Edouard m'a donc fait repenser à ces filles croisées, rencontrées, abordées (ou pas...) ces dernières semaines voire ces derniers six mois. J'avoue que cela m'a ému. Je ne sais pas pourquoi.
Enfin si, je sais... un peu. Ces mots m'ont redonné un soupçon de l'état d'esprit de conquérant que j'avais réussi à maintenir plusieurs jours de suite. La séance d'entrainement de ce soir en a fait de même : c'est bien connu, le sport (d'endurance) m'excite... surtout quand je claque des chronos d'une autre planète... enfin à l'échelle d'un gars manquant cruellement de km, et avec un état de forme hautement émoussé par les efforts consentis au travail.
Le fameux état d'esprit de conquérant est de retour. Et la fin du doute avec.
Chaud bouillant !!
Je divague. En fait, c'est con, mais dans un tel état d'esprit (de merde), je doute qu'autant de belles filles puissent être intéressées par moi. Wu-wei, ne te vexe pas Bref.
Mais quand vous lisez les phrases suivantes :
[quote]
Réfléchissez et vous verrez que vous frôlez plus volontiers ceux que vous aimez. Dans les rencontres, comme au casino, un excès de coincidence est rarement fortuit.
Là, je pense à plusieurs filles croisées bien plus d'une fois ici ou là dans les environs de l'université ou à la résidence où je loge... En même temps, c'est normal de croiser ces gens, s'ils habitent dans ledit quartier et étudie dans ladite université (mode lemalpartout grrr)...
Passons.
Il y a aussi ça :
[quote]
Une personne intéressée en fait toujours un peu trop [...] : un excès de fond de teint (cette belle femme avec qui vous avez rdv n'avait pas l'ombre d'un fard à paupière lorsque vous l'avez rencontrée)
ou encore, les "inévitables"
[quote]
Une personne intéressée relance dans les blancs
[...]
Une personne intéressée ne vous coupe jamais la parole (même quand votre anglais est bancal ! là c'est moi qui parle)
[...]
Une personne intéressée vous pose des questions personnelles
La lecture de ces mots d'un certain Stéphane Edouard m'a donc fait repenser à ces filles croisées, rencontrées, abordées (ou pas...) ces dernières semaines voire ces derniers six mois. J'avoue que cela m'a ému. Je ne sais pas pourquoi.
Enfin si, je sais... un peu. Ces mots m'ont redonné un soupçon de l'état d'esprit de conquérant que j'avais réussi à maintenir plusieurs jours de suite. La séance d'entrainement de ce soir en a fait de même : c'est bien connu, le sport (d'endurance) m'excite... surtout quand je claque des chronos d'une autre planète... enfin à l'échelle d'un gars manquant cruellement de km, et avec un état de forme hautement émoussé par les efforts consentis au travail.
Le fameux état d'esprit de conquérant est de retour. Et la fin du doute avec.
Chaud bouillant !!
- Jeu Juil 28, 2011 3:01 am
#111533
Ah, ce Starbucks, c'est vraiment devenu mon repère ! A chaque fois ou presque, je suis amené à rencontrer des gens (filles) qui me correspondent (qui me plaisent).
Hier et aujourd'hui, j'y étais, comme d'hab, pour étudier. Malheureusement, hier, j'étais complètement gazé, et complètement seul au monde sur la terrasse (aucun autre client à l'horizon !), je n'ai pas pu aborder une fille qui passait devant pour aller attendre une copine devant la bouche du métro à trois mètres de là, et qui est repassé une fois dans le sens inverse, et une dernière pour voir sortir sa copine de la bouche (du métro). On va dire qu'elle voulait passer le temps
Auj, j'aborde une fille selon les circonstances. Sa réponse dépasse le monosyllabe, et malheureusement, je cale. Dommage, elle s'était quand même retournée une première fois, alors que j'étais assis derrière, puis avait répondu à mon regard un peu plus tard. Mais au moins, j'ai brisé la glace. La petite voix se fait moins pressante.
C'est la chemise ! Celle achetée avec Stéphane. Auj, mais davantage hier soir, j'avais vraiment l'impression de ne pas laisser indifférent. Hasard ou pas, la première chose que me dit un pote avec qui j'avais rdv dans un bar hier soir, concerne la fameuse : "Belle chemise. Tu la portes jamais. Elle te donne du caractère (plus certain du terme employée)."
Ca doit être aussi l'état d'esprit. En association avec la chemise (ou une tenue qui me sied parfaitement), c'est un cocktail détonnant. Ou alors encore un pur hasard.
D'ailleurs, encore un hasard. Ce soir, à l'entrainement, je sers la main de mon entraineur. Il dit :
L : Wow, t'es en forme ce soir !
M : Ah, excuse, j'ai la main un peu mouillée (j'étais venu en courant).
L : C'est surtout que t'as failli m'écraser les doigts !
L'état d'esprit ?
Quand je mène très bien une interaction avec deux filles chaudes comme la braise, j'ai l'état d'esprit.
Quand je me fais limite brancher par une gamine de 17 ans, j'ai l'état d'esprit.
Quand je prends le numéro de la fille de Vancouver, j'ai l'état d'esprit.
Quand, au travail, mes titillements marchent très bien, j'ai l'état d'esprit. C'est tellement vrai qu'un jour où je ne l'avais pas, je suis tombé sur deux petites pétasses qui m'ont pris de haut et m'ont manqué de respect.
Bref.
L'état d'esprit. Ca ne fait pas tout, je sais qu'il me manque encore qqch pour enchainer. Mais c'est exactement ce que dit Stéphane dans son enseignement. This is it.
Hier et aujourd'hui, j'y étais, comme d'hab, pour étudier. Malheureusement, hier, j'étais complètement gazé, et complètement seul au monde sur la terrasse (aucun autre client à l'horizon !), je n'ai pas pu aborder une fille qui passait devant pour aller attendre une copine devant la bouche du métro à trois mètres de là, et qui est repassé une fois dans le sens inverse, et une dernière pour voir sortir sa copine de la bouche (du métro). On va dire qu'elle voulait passer le temps
Auj, j'aborde une fille selon les circonstances. Sa réponse dépasse le monosyllabe, et malheureusement, je cale. Dommage, elle s'était quand même retournée une première fois, alors que j'étais assis derrière, puis avait répondu à mon regard un peu plus tard. Mais au moins, j'ai brisé la glace. La petite voix se fait moins pressante.
C'est la chemise ! Celle achetée avec Stéphane. Auj, mais davantage hier soir, j'avais vraiment l'impression de ne pas laisser indifférent. Hasard ou pas, la première chose que me dit un pote avec qui j'avais rdv dans un bar hier soir, concerne la fameuse : "Belle chemise. Tu la portes jamais. Elle te donne du caractère (plus certain du terme employée)."
Ca doit être aussi l'état d'esprit. En association avec la chemise (ou une tenue qui me sied parfaitement), c'est un cocktail détonnant. Ou alors encore un pur hasard.
D'ailleurs, encore un hasard. Ce soir, à l'entrainement, je sers la main de mon entraineur. Il dit :
L : Wow, t'es en forme ce soir !
M : Ah, excuse, j'ai la main un peu mouillée (j'étais venu en courant).
L : C'est surtout que t'as failli m'écraser les doigts !
L'état d'esprit ?
Quand je mène très bien une interaction avec deux filles chaudes comme la braise, j'ai l'état d'esprit.
Quand je me fais limite brancher par une gamine de 17 ans, j'ai l'état d'esprit.
Quand je prends le numéro de la fille de Vancouver, j'ai l'état d'esprit.
Quand, au travail, mes titillements marchent très bien, j'ai l'état d'esprit. C'est tellement vrai qu'un jour où je ne l'avais pas, je suis tombé sur deux petites pétasses qui m'ont pris de haut et m'ont manqué de respect.
Bref.
L'état d'esprit. Ca ne fait pas tout, je sais qu'il me manque encore qqch pour enchainer. Mais c'est exactement ce que dit Stéphane dans son enseignement. This is it.
- Sam Juil 30, 2011 3:48 pm
#111603
Ok guys, je suis ultra "chargé" : la formation de mon nouveau job a commencé, le resto ouvre mardi, et je suis impatient, stressé, excité à l'idée de commencer. Aucune raison que ça ne marche pas, c'est un resto à franchise à succèes (aux US), je vais donner le max de moi-même pour être le meilleur possible (et accessoirement faire du pourboire) !! Je suis ultra motivé.
Je vois bien que les efforts presque surhumains que je fournis depuis tant de mois portent leurs fruits. Mais c'est pas assez.
Je me sens bien, tout simplement.
Et il y a une fille à ce job.
Globalement, elle ne refuse pas son regard, et même me sourit bcp. Ce qui est arrivé le premier jour où je l'ai vue, puis vendredi (j'étais à l'autre bout de la salle, et un mec était à côté de moi !), et hier... Mais elle ne vient pas vraiment d'elle-même me parler, ou me poser des questions perso, alors qu'elle n'a aucun mal à aller parler à d'autres mecs, avec questions perso à la clé. Ce qui m'a fait relativisé ses regards/sourires. Mais je sens systématiquement qqch d'anormal quand je suis en train de lui parler, à la différence des autres filles avec qui j'ai échangé qques mots.
Quand je m'entraine à porter un plateau et que je la touche avec l'objet pour manquer de le faire tomber, elle me regarde avec un drôle de regard, celui du comédien qui joue mal (ou de la personne qui plaisante sans être réellement naturelle), et me dit "t'es viré !!". Ce à quoi j'ai répondu "ok, au revoir alors" Elle ira le répéter à un autre mec (qu'elle m'a viré)... Et je répondrai : "elle est très autoritaire". Ca la fait rire.
Quand je lui dis qu'hier j'ai pris mes notes sur mon portable, elle me répond en gros "Oui, je te voyais, je me demandais si tu "textais" d'ailleurs, mais comme tu écoutais, et tu revenais à ton telephone, je me suis dit "ok il prend des notes"".... Elle m'espionne en plus
Sinon, elle ne se place pas nécessairement et systématiquement près de moi. Hier, il m'est arrivé de longues minutes de ne pas l'apercevoir. Et elle est partie bien avant tout le monde.
J'ai cela dit bien veillé à ne pas avoir systématiquement les yeux posés sur elle, à ne pas trop calculé en somme.
Wu-wei, j'ai encore une fois pensé à ce que tu m'avais dit dans tes derniers posts sur la fille du bus... qques similitudes, on dirait.
Mais la priorité, c'est quand même d'assurer dans ce job, et pas de draguer une nana qui daigne me sourire deux fois ou trois...
A côté de ça, je poursuis mon processus d'ouverture, je me suis surpris auj à engager un début de conversation avec des gens, juste une phrase, sans aller plus loin, l'objectif étant de briser la glace et d'éradiquer la petite voix. Ca progresse. Il faut dire, encore une fois, que l'état d'esprit, l'excitation change bcp les choses. Je veille néanmoins à ne pas m'enflammer, à calmer le jeu (comme lors de mon voyage retour en bus), pour éviter déceptions et autres maladresses. Encore bcp de travail. C'est long, mais c'est ainsi.
Et puis, cette chemise... elle me va trop bien, en fait ! Voilà seulement que ça me saute autant à la figure. Les autres fringues achetées tout seul me semblent si fades depuis.... Vivement mon prochain relooking !!
Je vois bien que les efforts presque surhumains que je fournis depuis tant de mois portent leurs fruits. Mais c'est pas assez.
Je me sens bien, tout simplement.
Et il y a une fille à ce job.
Globalement, elle ne refuse pas son regard, et même me sourit bcp. Ce qui est arrivé le premier jour où je l'ai vue, puis vendredi (j'étais à l'autre bout de la salle, et un mec était à côté de moi !), et hier... Mais elle ne vient pas vraiment d'elle-même me parler, ou me poser des questions perso, alors qu'elle n'a aucun mal à aller parler à d'autres mecs, avec questions perso à la clé. Ce qui m'a fait relativisé ses regards/sourires. Mais je sens systématiquement qqch d'anormal quand je suis en train de lui parler, à la différence des autres filles avec qui j'ai échangé qques mots.
Quand je m'entraine à porter un plateau et que je la touche avec l'objet pour manquer de le faire tomber, elle me regarde avec un drôle de regard, celui du comédien qui joue mal (ou de la personne qui plaisante sans être réellement naturelle), et me dit "t'es viré !!". Ce à quoi j'ai répondu "ok, au revoir alors" Elle ira le répéter à un autre mec (qu'elle m'a viré)... Et je répondrai : "elle est très autoritaire". Ca la fait rire.
Quand je lui dis qu'hier j'ai pris mes notes sur mon portable, elle me répond en gros "Oui, je te voyais, je me demandais si tu "textais" d'ailleurs, mais comme tu écoutais, et tu revenais à ton telephone, je me suis dit "ok il prend des notes"".... Elle m'espionne en plus
Sinon, elle ne se place pas nécessairement et systématiquement près de moi. Hier, il m'est arrivé de longues minutes de ne pas l'apercevoir. Et elle est partie bien avant tout le monde.
J'ai cela dit bien veillé à ne pas avoir systématiquement les yeux posés sur elle, à ne pas trop calculé en somme.
Wu-wei, j'ai encore une fois pensé à ce que tu m'avais dit dans tes derniers posts sur la fille du bus... qques similitudes, on dirait.
Mais la priorité, c'est quand même d'assurer dans ce job, et pas de draguer une nana qui daigne me sourire deux fois ou trois...
A côté de ça, je poursuis mon processus d'ouverture, je me suis surpris auj à engager un début de conversation avec des gens, juste une phrase, sans aller plus loin, l'objectif étant de briser la glace et d'éradiquer la petite voix. Ca progresse. Il faut dire, encore une fois, que l'état d'esprit, l'excitation change bcp les choses. Je veille néanmoins à ne pas m'enflammer, à calmer le jeu (comme lors de mon voyage retour en bus), pour éviter déceptions et autres maladresses. Encore bcp de travail. C'est long, mais c'est ainsi.
Et puis, cette chemise... elle me va trop bien, en fait ! Voilà seulement que ça me saute autant à la figure. Les autres fringues achetées tout seul me semblent si fades depuis.... Vivement mon prochain relooking !!
- Sam Juil 30, 2011 4:15 pm
#111605
Je ne sais pas pourquoi, mais cette fin de juillet ressemble à une période de sérénité pour la plupart d'entre nous ^^
Content de voir ta progression en tout cas
Content de voir ta progression en tout cas
Si tu peux être amant sans être fou d'amour,
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre
[...]
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi ;
[...]
Tu seras un Homme, mon fils.
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre
[...]
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi ;
[...]
Tu seras un Homme, mon fils.
- Lun Aoû 01, 2011 8:26 am
#111670
Je voulais ne pas poster ce soir, mais il est 2h de demi du mat', j'arrive pas à dormir, et je viens d'ouvrir une bière...
A vrai dire, je suis très excité. Le nouveau job. C'était soirée porte ouverte au resto, on offrait un repas aux gens qui voulaient bien venir. Premier grand test pour tout le monde, et première expérience en tant que serveur, pour ma part.
Et sans me la raconter, c'est comme si j'avais fait ça toute ma vie ! Porter un plateau, marcher vite avec le plateau à la main, rien ne m'a fait peur. Et surtout pas les qques belles nanas que j'ai servies.
Une table avec trois filles, un mec, dont deux filles très causantes (mais l'une bosse ici), et surtout l'autre qui n'arrêtait pas de me taquiner, ce que j'ai pris avec le plus grand sourire qui soit. Sans parler de la troisième, plutôt effacée, muette, qui, à la première vue, me rappelait qqn ; je l'ai reconnue ensuite en me souvenant que c'était une caissière de la boutique de sport où j'achète régulièrement mon matos de course (et qui m'avait servie ya 1 semaine...). Les 4 laissent un bon pourboire, avec compliments à la clé. Ca c'est fait.
Une autre table avec 4 filles, 2 vraiment belles, une Asiatique et une Maghrébine, ou dans le genre (brune et peau bronzée...). J'offre encore mon plus beau sourire, deux trois blagues pourries, et hop, emballées c'est pesé , question perso de la Magrhébine ("vous venez de quelle région ?"), mais je réponds vite fait, trop occupé à maitriser l'iPad qui nous sert à prendre les commandes. Pourboire intéressant, et surtout, les 4 demandes à voir le manager. Elles complimentent la bouffe, et surtout le serveur qui les a servies (Bibi). Evidemment, vous imaginez l'état dans lequel j'ai pu être (content mais serein), surtout après les félicitations reçus du manager. La prochaine fois, entre deux services, j'emmènerai la Magrhébine faire un tour de manège dans les toilettes ^^
Une autre table, avec deux mecs, une fille. Même attitude, état d'esprit, énergie, et je sens la fille pas indifférente. De là à dire intéressée, il y a un pas que je ne franchirai pas, bien que je sois parvenu à capter son regard sans vraiment vouloir le trouver.
Pour le fun, j'ai fait deux-trois boulettes, comme balancer à la poubelle fourchettes et couteaux qui se trouvaient dans les paniers-assiettes, juste avant de devoir fouiller dedans comme un clodo pour récupérer le matos ^^ ou encore récupérer du mini-lavabo des glaçons déjà utilisés pour d'autres clients (je croyais vraiment que les glaçons étaient là pour être utilisés... le mec, il plane grave lol)
Ah, et puis il y a un collègue, un Sénégalais. J'ai pas d'affinités avec lui, mais ce mec, il est juste mythique, avec ses bégaiements et son accent ultra typé, qu'il parle anglais, français ou serbo-croate ^^
J'ai reçu à nouveau les félicitations du boss à la fin de la soirée, avec deux autres filles (dont celle que j'évoque dans mon précédent post) qui ont aussi reçu un certain nombre de remarques positives de clients.
D'ailleurs, de cette fille, parlons-en. Je débarassais la table où se trouvait un de ses potes (on est une équipe, on s'entreaide). Elle était à côté. Le hasard veut que le mec me demande si elle bosse bien. L'occasion, vous pensez, était trop belle. Je fais mine de réfléchir, et réponds "un peu". Je la regarde, toujours le fameux sourire aux lèvres. La fille répond "il sait pas de quoi il parle". Je voulais renchérir, mais la conversation était déjà trop vite partie entre elle et le mec que j'ai mis les voiles.
J'ai commencé le contact physique, juste une main sur l'épaule, car elle bouchait le passage, et il fallait que je passe. Plus tard, je crois avoir senti une main se poser au-dessus de ma hanche, au niveau des côtes, et je crois qu'elle arrivait par derrière, et m'a signalé qu'elle devait passer. Je ne suis pas certain que ce fût elle, mais bon... Son attitude ne me semble pas vraiment avoir changé par rapport aux autres jours.
J'ai l'impression qu'elle me fait un peu des appels de phare. Je verrai.
En gros, une excellente soirée. Evidemment, tout reste à faire, c'est surtout pas le moment de se relâcher. Qui plus est, je sais pertinemment que c'est pas ça qui fera que je séduirai telle ou telle fille. Mais au moins, ça rajoute à l'état d'esprit, et je me rends compte que je suis bel et bien un homme d'action : j'aime et surtout j'ai besoin d'être dans le mouvement afin de donner et montrer aux autres mon plus beau visage. La base même pour être séduisant.
A vrai dire, je suis très excité. Le nouveau job. C'était soirée porte ouverte au resto, on offrait un repas aux gens qui voulaient bien venir. Premier grand test pour tout le monde, et première expérience en tant que serveur, pour ma part.
Et sans me la raconter, c'est comme si j'avais fait ça toute ma vie ! Porter un plateau, marcher vite avec le plateau à la main, rien ne m'a fait peur. Et surtout pas les qques belles nanas que j'ai servies.
Une table avec trois filles, un mec, dont deux filles très causantes (mais l'une bosse ici), et surtout l'autre qui n'arrêtait pas de me taquiner, ce que j'ai pris avec le plus grand sourire qui soit. Sans parler de la troisième, plutôt effacée, muette, qui, à la première vue, me rappelait qqn ; je l'ai reconnue ensuite en me souvenant que c'était une caissière de la boutique de sport où j'achète régulièrement mon matos de course (et qui m'avait servie ya 1 semaine...). Les 4 laissent un bon pourboire, avec compliments à la clé. Ca c'est fait.
Une autre table avec 4 filles, 2 vraiment belles, une Asiatique et une Maghrébine, ou dans le genre (brune et peau bronzée...). J'offre encore mon plus beau sourire, deux trois blagues pourries, et hop, emballées c'est pesé , question perso de la Magrhébine ("vous venez de quelle région ?"), mais je réponds vite fait, trop occupé à maitriser l'iPad qui nous sert à prendre les commandes. Pourboire intéressant, et surtout, les 4 demandes à voir le manager. Elles complimentent la bouffe, et surtout le serveur qui les a servies (Bibi). Evidemment, vous imaginez l'état dans lequel j'ai pu être (content mais serein), surtout après les félicitations reçus du manager. La prochaine fois, entre deux services, j'emmènerai la Magrhébine faire un tour de manège dans les toilettes ^^
Une autre table, avec deux mecs, une fille. Même attitude, état d'esprit, énergie, et je sens la fille pas indifférente. De là à dire intéressée, il y a un pas que je ne franchirai pas, bien que je sois parvenu à capter son regard sans vraiment vouloir le trouver.
Pour le fun, j'ai fait deux-trois boulettes, comme balancer à la poubelle fourchettes et couteaux qui se trouvaient dans les paniers-assiettes, juste avant de devoir fouiller dedans comme un clodo pour récupérer le matos ^^ ou encore récupérer du mini-lavabo des glaçons déjà utilisés pour d'autres clients (je croyais vraiment que les glaçons étaient là pour être utilisés... le mec, il plane grave lol)
Ah, et puis il y a un collègue, un Sénégalais. J'ai pas d'affinités avec lui, mais ce mec, il est juste mythique, avec ses bégaiements et son accent ultra typé, qu'il parle anglais, français ou serbo-croate ^^
J'ai reçu à nouveau les félicitations du boss à la fin de la soirée, avec deux autres filles (dont celle que j'évoque dans mon précédent post) qui ont aussi reçu un certain nombre de remarques positives de clients.
D'ailleurs, de cette fille, parlons-en. Je débarassais la table où se trouvait un de ses potes (on est une équipe, on s'entreaide). Elle était à côté. Le hasard veut que le mec me demande si elle bosse bien. L'occasion, vous pensez, était trop belle. Je fais mine de réfléchir, et réponds "un peu". Je la regarde, toujours le fameux sourire aux lèvres. La fille répond "il sait pas de quoi il parle". Je voulais renchérir, mais la conversation était déjà trop vite partie entre elle et le mec que j'ai mis les voiles.
J'ai commencé le contact physique, juste une main sur l'épaule, car elle bouchait le passage, et il fallait que je passe. Plus tard, je crois avoir senti une main se poser au-dessus de ma hanche, au niveau des côtes, et je crois qu'elle arrivait par derrière, et m'a signalé qu'elle devait passer. Je ne suis pas certain que ce fût elle, mais bon... Son attitude ne me semble pas vraiment avoir changé par rapport aux autres jours.
J'ai l'impression qu'elle me fait un peu des appels de phare. Je verrai.
En gros, une excellente soirée. Evidemment, tout reste à faire, c'est surtout pas le moment de se relâcher. Qui plus est, je sais pertinemment que c'est pas ça qui fera que je séduirai telle ou telle fille. Mais au moins, ça rajoute à l'état d'esprit, et je me rends compte que je suis bel et bien un homme d'action : j'aime et surtout j'ai besoin d'être dans le mouvement afin de donner et montrer aux autres mon plus beau visage. La base même pour être séduisant.
- Lun Aoû 08, 2011 3:42 am
#111926
Je viens de passer un petit dimanche, je devais travailler, mais le boss m'appelle pour me dire que le resto fermera plus tôt ce soir, car il paraît qu'il y a pas foule. C'est pas plus mal, j'ai pu me permettre de tourner un peu au ralenti, de temps en temps, il le faut, surtout après avoir bosser du lundi au samedi à raison de 6-7h/jour minimum !
Ma semaine s'est bien passée, j'ai fait bcp de choses intéressantes qui révèlent que j'ai bien acquis de nouvelles capacités, et il faut dire que ce nouveau job arrive à point nommé et qu'il va me permettre de passer au stade supérieur de ma progression. Je constate même que bouger, courir, servir comme le requiert ce job, ne me fatiguet pas plus que rester debout à attendre que les clients défilent. C'est même tout le contraire, et cela cultive à outrance mon état d'esprit. Ce job me plaît donc bcp, je veux me faire ma place au soleil dans le métier, je sais qu'il y a moyen, on va donc se donner à bloc. Attention cepedant à ce que ma volonté de gagner un peu plus ne devienne pas une obsession. Je dois calmer le jeu, tant en terme d'agacement (je n'hésite pas à (trop souvent ?) dire ce qui me déplaît) que d'excitation (positive).
Mais c'est correct. Le resto étant ouvert depuis mardi, un collègue et moi-même sommes allés distribuer mardi et mercredi des menus aux passants du centre-ville. Ce fut un excellent exercice pour s'entrainer à aller vers les gens et à briser la glace. Les premiers abordages ont pas été terribles, pas mal de gens perdus dans leurs pensées qui nous envoient dans les roses. Mais en trouvant qques bonnes phrases d'accroche prononcées avec le sourire et de l'énergie, les choses se passent bcp mieux. Evidemment avec notre accoutrement, on est repérés à 10 mètres, et je suis même reconnu par une cliente du magasin où j'ai mon autre job (j'avoue que son visage ne me rappelait personne...).
Plus tard, une collègue qui devait s'occuper des tables sur la terrasse du trottoir se trouve à l'entrée, pendant que je distribuais les menus avec toute la bonne énergie. Cette collègue était du genre à baisser les yeux quand mon regard croisait le sien, rien de bien positif a priori... Mais cet exercie, dans le genre "social proof", c'est pas mal, d'autant qu'elle me plaît pas mal cette petite. La même chose devant une autre collègue (moins belle) qui fumait sa clope... Tout bon.
Je sais pas si ça a joué, mais un peu plus tard, la collègue n'est pas très loin de moi pendant que nous rangions la salle. On a parlé normalement, mais elle a fait une relance dans les blancs pour qualifier d'"un peu bête" une chanson de Claude François qui passait dans la salle et qui évoquait une fille amoureuse d'un garçon (ou l'inverse). J'ai pas enchainé sur le sujet, dommage, c'était une belle porte ouverte pour sexuer, mais qu'importe.
L'autre collègue dont je soupçonne qu'elle me fait des appels de phare, je ne l'ai pas revue avant vendredi apm, mais je bossais le midi, et elle le soir. Je la vois arriver, rien de spécial, elle était ailleurs, ou je sais pas quoi. Mais, plus tard je la croise de près dans le resto, et alors que j'étais moi-même un peu ailleurs, elle me dit bonjour avec le grand sourire, ce à quoi je réponds de la même manière en appuyant un peu mon sourire. On ne sait jamais Donc c'est pas mal, elle ne souffle pas le chaud et le froid. Reste à moi de tenter l'escalade et on verra sa réaction.
J'ai pas mal parlé avec une autre collègue, une Africaine, mais pas du tout mon genre, et puis trop vieille pour moi mais elle m'a envoyé ce qui s'apparente à des signes d'intérêt : elle rit à mes blagues pourries, elle me touche...
Je me rappelle aussi cette gamine (dans les 18 ans, pardonnez-moi ) qui attendait au resto sa commande, et que j'ai grillé en train de me regarder car elle avait détourné les yeux dès que les miens se sont posés sur elle. Plus tard, elle répondra à un sourire que je lui lancerai (et devant une collègue en plus !).
J'ai également changé qqch de mon naturel (merci à mon collègue de 40 ans du magasin !), à savoir le contact physique, du genre main sur l'épaule. Force est de constater que ça marche pas mal, tout de suite ça approche les gens de soi, et je dois avouer que j'ai pas mal sympathiser avec un gars grâce en partie à ça. Même un autre collègue qui s'était montré timide avec moi au début, s'est un peu libéré depuis peu... Je fais la même chose avec les filles, ça montre que t'es tranquille, que t'as de l'assurance, donc, à moins de mettre une main à des endroits intimes, c'est du tout bon encore.
Voilà, je n'en suis pas encore à enchainer les actes de séduction, mais je vois que je progresse, et c'est tout ce qui compte. Je vais par étape, et désarmorce avec succès toute tentative de rationalisation ou de questions superflues qui pouvaient encore me parcourir il y 2 ou 3 mois.
J'ai l'impression que l'image que je projette depuis peu fait de moi qqn de bcp plus attirant. Bon, je m'emballe pas, il y a certainement des sourires de politesse dans ceux que m'adressent les nanas, mais au moins, cela montre que mon travail surhumain est payant.
La suite bientôt.
Ma semaine s'est bien passée, j'ai fait bcp de choses intéressantes qui révèlent que j'ai bien acquis de nouvelles capacités, et il faut dire que ce nouveau job arrive à point nommé et qu'il va me permettre de passer au stade supérieur de ma progression. Je constate même que bouger, courir, servir comme le requiert ce job, ne me fatiguet pas plus que rester debout à attendre que les clients défilent. C'est même tout le contraire, et cela cultive à outrance mon état d'esprit. Ce job me plaît donc bcp, je veux me faire ma place au soleil dans le métier, je sais qu'il y a moyen, on va donc se donner à bloc. Attention cepedant à ce que ma volonté de gagner un peu plus ne devienne pas une obsession. Je dois calmer le jeu, tant en terme d'agacement (je n'hésite pas à (trop souvent ?) dire ce qui me déplaît) que d'excitation (positive).
Mais c'est correct. Le resto étant ouvert depuis mardi, un collègue et moi-même sommes allés distribuer mardi et mercredi des menus aux passants du centre-ville. Ce fut un excellent exercice pour s'entrainer à aller vers les gens et à briser la glace. Les premiers abordages ont pas été terribles, pas mal de gens perdus dans leurs pensées qui nous envoient dans les roses. Mais en trouvant qques bonnes phrases d'accroche prononcées avec le sourire et de l'énergie, les choses se passent bcp mieux. Evidemment avec notre accoutrement, on est repérés à 10 mètres, et je suis même reconnu par une cliente du magasin où j'ai mon autre job (j'avoue que son visage ne me rappelait personne...).
Plus tard, une collègue qui devait s'occuper des tables sur la terrasse du trottoir se trouve à l'entrée, pendant que je distribuais les menus avec toute la bonne énergie. Cette collègue était du genre à baisser les yeux quand mon regard croisait le sien, rien de bien positif a priori... Mais cet exercie, dans le genre "social proof", c'est pas mal, d'autant qu'elle me plaît pas mal cette petite. La même chose devant une autre collègue (moins belle) qui fumait sa clope... Tout bon.
Je sais pas si ça a joué, mais un peu plus tard, la collègue n'est pas très loin de moi pendant que nous rangions la salle. On a parlé normalement, mais elle a fait une relance dans les blancs pour qualifier d'"un peu bête" une chanson de Claude François qui passait dans la salle et qui évoquait une fille amoureuse d'un garçon (ou l'inverse). J'ai pas enchainé sur le sujet, dommage, c'était une belle porte ouverte pour sexuer, mais qu'importe.
L'autre collègue dont je soupçonne qu'elle me fait des appels de phare, je ne l'ai pas revue avant vendredi apm, mais je bossais le midi, et elle le soir. Je la vois arriver, rien de spécial, elle était ailleurs, ou je sais pas quoi. Mais, plus tard je la croise de près dans le resto, et alors que j'étais moi-même un peu ailleurs, elle me dit bonjour avec le grand sourire, ce à quoi je réponds de la même manière en appuyant un peu mon sourire. On ne sait jamais Donc c'est pas mal, elle ne souffle pas le chaud et le froid. Reste à moi de tenter l'escalade et on verra sa réaction.
J'ai pas mal parlé avec une autre collègue, une Africaine, mais pas du tout mon genre, et puis trop vieille pour moi mais elle m'a envoyé ce qui s'apparente à des signes d'intérêt : elle rit à mes blagues pourries, elle me touche...
Je me rappelle aussi cette gamine (dans les 18 ans, pardonnez-moi ) qui attendait au resto sa commande, et que j'ai grillé en train de me regarder car elle avait détourné les yeux dès que les miens se sont posés sur elle. Plus tard, elle répondra à un sourire que je lui lancerai (et devant une collègue en plus !).
J'ai également changé qqch de mon naturel (merci à mon collègue de 40 ans du magasin !), à savoir le contact physique, du genre main sur l'épaule. Force est de constater que ça marche pas mal, tout de suite ça approche les gens de soi, et je dois avouer que j'ai pas mal sympathiser avec un gars grâce en partie à ça. Même un autre collègue qui s'était montré timide avec moi au début, s'est un peu libéré depuis peu... Je fais la même chose avec les filles, ça montre que t'es tranquille, que t'as de l'assurance, donc, à moins de mettre une main à des endroits intimes, c'est du tout bon encore.
Voilà, je n'en suis pas encore à enchainer les actes de séduction, mais je vois que je progresse, et c'est tout ce qui compte. Je vais par étape, et désarmorce avec succès toute tentative de rationalisation ou de questions superflues qui pouvaient encore me parcourir il y 2 ou 3 mois.
J'ai l'impression que l'image que je projette depuis peu fait de moi qqn de bcp plus attirant. Bon, je m'emballe pas, il y a certainement des sourires de politesse dans ceux que m'adressent les nanas, mais au moins, cela montre que mon travail surhumain est payant.
La suite bientôt.
- Dim Aoû 21, 2011 4:52 am
#112334
A la terrasse de mon Starbucks, je suis avec un pote et une fille que ce dernier avait rencontrée mardi. En tant qu'amateur de belle voiture, je tourne la tête au passage d'un BMW X3 (les connaisseurs situeront ) Ses roues de 20 pouces ont retenu mon attention. Ca m'arrive souvent ^^
Tout à coup, j'entends des cris, gloussements, rires, ou je sais pas quoi, qui à coup sûr venaient d'un groupe de nanas. Je vois alors deux filles me faire coucou. Pendant un long moment, je reste sans réaction et me demande qui pouvaient bien être ces gonzesses au volant d'une voiture d'un tel standing. La fille sur le siège passager avant éclate de rire. Et là, ça fait tilt.
Les deux filles qui m'ont fait coucou sont la chaude Marocaine et la cliente du magasin. Je me suis retourné une dernière fois pour constater qu'elles étaient bien seules dans une BM.
Si ça, c'est pas une (des ?) fille(s?) intéressée(s), c'est quoi alors ?
La suite bientôt.
Tout à coup, j'entends des cris, gloussements, rires, ou je sais pas quoi, qui à coup sûr venaient d'un groupe de nanas. Je vois alors deux filles me faire coucou. Pendant un long moment, je reste sans réaction et me demande qui pouvaient bien être ces gonzesses au volant d'une voiture d'un tel standing. La fille sur le siège passager avant éclate de rire. Et là, ça fait tilt.
Les deux filles qui m'ont fait coucou sont la chaude Marocaine et la cliente du magasin. Je me suis retourné une dernière fois pour constater qu'elles étaient bien seules dans une BM.
Si ça, c'est pas une (des ?) fille(s?) intéressée(s), c'est quoi alors ?
La suite bientôt.
- Ven Aoû 26, 2011 6:10 am
#112469
La rentrée approche, mon quartier commence à revivre, et bizarrement aujourd'hui me voilà avec un petit coup de cafard. La fin de l'été qui approche, sans doute.
Il s'est passé pas mal de choses depuis 1 mois, des trucs bien relous, mais c'est ainsi. Je rentrerai pas dans le détail.
J'ai quand même montré de belles choses depuis peu, et notamment cette semaine.
Mais aujourd'hui, je sais, je n'ai plus de mal à socialiser. Ca, c'est fait.
Les filles me sourient régulièrement aussi... une par jour quand je suis dans la rue, au Starbucks, c'est pas si rare... parfois, je me dis que c'est trop, qu'il doit y avoir aiguille sous la roche... croyance limitante... ça m'a bloqué hier au Starbucks, je suis resté collé à ma chaise... une fille ne fait jamais rien par hasard, surtout à un inconnu.
Bref.
J'ai revu des photos de moi de l'hiver 2010... Mon Dieu ! La différence avec celles de ces dernières semaines, et notamment avec celle qui va se trouver sur une carte perso, est assez flagrante : teint bcp moins pâle (merci aux crèmes hydratantes et... aux carottes quotidiennes !!), expression du visage bcp plus enjouée, fun, avenante, whatever, barbe de trois jours, coupe de cheveux qui donne un côté négligé (même si certains pourront dire que ça part dans tous les sens )... Tout cela coincide avec mon passage de cap accompli au début de l'été...
Maintenant, le plus dur : enchainer, enchainer, enchainer.
La suite bientôt.
Il s'est passé pas mal de choses depuis 1 mois, des trucs bien relous, mais c'est ainsi. Je rentrerai pas dans le détail.
J'ai quand même montré de belles choses depuis peu, et notamment cette semaine.
Mais aujourd'hui, je sais, je n'ai plus de mal à socialiser. Ca, c'est fait.
Les filles me sourient régulièrement aussi... une par jour quand je suis dans la rue, au Starbucks, c'est pas si rare... parfois, je me dis que c'est trop, qu'il doit y avoir aiguille sous la roche... croyance limitante... ça m'a bloqué hier au Starbucks, je suis resté collé à ma chaise... une fille ne fait jamais rien par hasard, surtout à un inconnu.
Bref.
J'ai revu des photos de moi de l'hiver 2010... Mon Dieu ! La différence avec celles de ces dernières semaines, et notamment avec celle qui va se trouver sur une carte perso, est assez flagrante : teint bcp moins pâle (merci aux crèmes hydratantes et... aux carottes quotidiennes !!), expression du visage bcp plus enjouée, fun, avenante, whatever, barbe de trois jours, coupe de cheveux qui donne un côté négligé (même si certains pourront dire que ça part dans tous les sens )... Tout cela coincide avec mon passage de cap accompli au début de l'été...
Maintenant, le plus dur : enchainer, enchainer, enchainer.
La suite bientôt.
- Ven Sep 02, 2011 6:54 am
#112687
Petit récit d'une tentative aujourd'hui.
C'est une fille rencontrée dans un magasin bio près de celui où je travaille. Elle y est caissière. Très jeune, 18 ans, selon toute vraisemblance.
1. Les deux premières fois où j'y vais, elle me sert, et je la titille. Sourires, retours positifs.
2. Plus tard, elle m'aperçoit et m'interpelle en me disant qqch en référence à mes titillements. Sur le coup, je me demande qui c'était, et c'était elle. Je viens la voir ensuite, mais comme l'échange allait à sens unique, je me suis vite éjecté.
3. Qques jours plus tard, je passe avec mon pote collègue, pour lui montrer le magasin. Je la vois, lui dis bonjour, ce à quoi elle répond avec un beau sourire, mais je décide de ne pas trop la calculer, et mon pote et moi parlons avec ce qui semblait être la boss du magasin. Social proof. Je sentais la fille regarder, mais elle n'est jamais intervenue.
4. Quatre jours passent, et voilà ce qui s'est passé auj. Le hasard (!!) veut qu'elle monte dans le même bus que moi. Elle m'aperçoit, nous nous échangeons un sourire, mais elle ne vient pas me parler, et reste à l'avant du bus. Plus tard, mon regard croisera à nouveau le sien. Je suis pas un monstre, le terminus approchant, je vais la voir. Echange bidon, et je la quitte en concluant par un "on se revoit". Elle répondra : "Surement".
A ce moment, je me dis que j'aurais pu prendre le numéro. Qu'à cela ne tienne. Car elle m'avait dit qu'elle travaillait ce soir dans un stand non loin de mon lieu de travail, et non au magasin. Devais-je y aller ?
J'avais deux possibilités : soit j'y vais, et je montre que j'ai des couilles. Soit j'y vais pas, et je suis une tarlouze... Après une longue hésitation, j'y vais, mais avec un prétexte en tête, celui d'aller à ma banque non loin de là. Elle n'était pas au stand en question.
Ok, je me décide de retourner au magasin où elle travaille, mais absolument pas dans l'espoir de l'y trouver, mais plutôt de me prendre un café et d'acheter deux trois bricoles. Et là, qui je vois.... la fille en train de parler avec une autre caissière.
J'arrive à la caisse, et elle fait mine de s'étonner : "Encore toi ! Tu me suis ou quoi ?" Je sais plus ce que j'ai répondu, en gros "Non, c'est toi qui me suis, je suis connu ici". Un peu bidon comme réponse. Je réagis pas plus à ce qu'une autre client dira qualifiant la fille comme "ayant du succès" (ou dans cette idée). Je paye, salue la caissière, mais l'autre fille prend mes articles, fait mine de les cacher, puis me les tend et les retient quand je tente de les lui prendre.
Fin de l'affaire, je sors, et comme par hasard, elle me suit. Allez, on va dire qu'elle avait fini son échange avec sa collègue...
M : "Ah, mais c'est toi qui me suit !!"
E : "C'est même pas vrai en plus"
M : "Petite menteuse "
J'enchaine sur une question sur sa soirée, puis je lui propose d'aller boire un café, et là elle me balance un non sans concession :
E "Je bois pas de café".
M :"De l'eau alors... du jus d'orange "
E : "Je bois pas bcp, je suis qqn d'extraordinaire".
On arrivait au carrefour où l'on devait se séparer.
M : "Pas si extraordinaire, en fait"
E: "On va se revoir".
Je m'éloigne et lui dis qqch, je ne me rappelle pas. Elle devait mal entrendre, elle se rapproche un peu vers moi, et là :
M : "Regarde ce que tu fais, tu me suis !"
Je trace mon chemin.
Si l'on résume : ses signes d'intérêt sont sourires, rires, regard... quand elle m'interpelle... mais pas de questions perso...
Et vous savez quoi ce que je pense de ce "non" ? Je m'en tape ! J'en tire même une satisfaction : celle d'y être allé, et d'avoir eu les couilles de le faire. J'ai montré une bonne image de moi, en étant sociable, en ayant de l'humour...
Vos conseils, vos diagnostics, tjs très éclairés sont, cela dit, les bienvenus
C'est une fille rencontrée dans un magasin bio près de celui où je travaille. Elle y est caissière. Très jeune, 18 ans, selon toute vraisemblance.
1. Les deux premières fois où j'y vais, elle me sert, et je la titille. Sourires, retours positifs.
2. Plus tard, elle m'aperçoit et m'interpelle en me disant qqch en référence à mes titillements. Sur le coup, je me demande qui c'était, et c'était elle. Je viens la voir ensuite, mais comme l'échange allait à sens unique, je me suis vite éjecté.
3. Qques jours plus tard, je passe avec mon pote collègue, pour lui montrer le magasin. Je la vois, lui dis bonjour, ce à quoi elle répond avec un beau sourire, mais je décide de ne pas trop la calculer, et mon pote et moi parlons avec ce qui semblait être la boss du magasin. Social proof. Je sentais la fille regarder, mais elle n'est jamais intervenue.
4. Quatre jours passent, et voilà ce qui s'est passé auj. Le hasard (!!) veut qu'elle monte dans le même bus que moi. Elle m'aperçoit, nous nous échangeons un sourire, mais elle ne vient pas me parler, et reste à l'avant du bus. Plus tard, mon regard croisera à nouveau le sien. Je suis pas un monstre, le terminus approchant, je vais la voir. Echange bidon, et je la quitte en concluant par un "on se revoit". Elle répondra : "Surement".
A ce moment, je me dis que j'aurais pu prendre le numéro. Qu'à cela ne tienne. Car elle m'avait dit qu'elle travaillait ce soir dans un stand non loin de mon lieu de travail, et non au magasin. Devais-je y aller ?
J'avais deux possibilités : soit j'y vais, et je montre que j'ai des couilles. Soit j'y vais pas, et je suis une tarlouze... Après une longue hésitation, j'y vais, mais avec un prétexte en tête, celui d'aller à ma banque non loin de là. Elle n'était pas au stand en question.
Ok, je me décide de retourner au magasin où elle travaille, mais absolument pas dans l'espoir de l'y trouver, mais plutôt de me prendre un café et d'acheter deux trois bricoles. Et là, qui je vois.... la fille en train de parler avec une autre caissière.
J'arrive à la caisse, et elle fait mine de s'étonner : "Encore toi ! Tu me suis ou quoi ?" Je sais plus ce que j'ai répondu, en gros "Non, c'est toi qui me suis, je suis connu ici". Un peu bidon comme réponse. Je réagis pas plus à ce qu'une autre client dira qualifiant la fille comme "ayant du succès" (ou dans cette idée). Je paye, salue la caissière, mais l'autre fille prend mes articles, fait mine de les cacher, puis me les tend et les retient quand je tente de les lui prendre.
Fin de l'affaire, je sors, et comme par hasard, elle me suit. Allez, on va dire qu'elle avait fini son échange avec sa collègue...
M : "Ah, mais c'est toi qui me suit !!"
E : "C'est même pas vrai en plus"
M : "Petite menteuse "
J'enchaine sur une question sur sa soirée, puis je lui propose d'aller boire un café, et là elle me balance un non sans concession :
E "Je bois pas de café".
M :"De l'eau alors... du jus d'orange "
E : "Je bois pas bcp, je suis qqn d'extraordinaire".
On arrivait au carrefour où l'on devait se séparer.
M : "Pas si extraordinaire, en fait"
E: "On va se revoir".
Je m'éloigne et lui dis qqch, je ne me rappelle pas. Elle devait mal entrendre, elle se rapproche un peu vers moi, et là :
M : "Regarde ce que tu fais, tu me suis !"
Je trace mon chemin.
Si l'on résume : ses signes d'intérêt sont sourires, rires, regard... quand elle m'interpelle... mais pas de questions perso...
Et vous savez quoi ce que je pense de ce "non" ? Je m'en tape ! J'en tire même une satisfaction : celle d'y être allé, et d'avoir eu les couilles de le faire. J'ai montré une bonne image de moi, en étant sociable, en ayant de l'humour...
Vos conseils, vos diagnostics, tjs très éclairés sont, cela dit, les bienvenus
- Ven Sep 09, 2011 5:59 pm
#112905
Je me pose une question... oh, rien qui ne m'empêche de dormir...
J'observe une récurrence dans le comportement des autres jeunes mecs (20-30ans) à mon égard : ils sont mal à l'aise. Pourtant, je suis certain que pour certains, ils n'ont pas forcément de pb pour séduire une fille. Certains sont très beaux, sans doute plus que moi... Mais ce malaise se lit dans leurs yeux... ils regardent même par terre. Alors je veux bien que parfois que je manque d'énergie, d'état d'esprit... mais ça arrive même quand j'ai le fameux état d'esprit, quand je suis souriant et que je fais des blagues...
Je sais cependant que pareille attitude de l'autre me met parfois mal à l'aise à mon tour... du coup, ça tourne au rond, aucun ne prenant l'échange en main. En revanche, face à qqn qui se montre décontracté, tout de suite, je n'ai aucun mal à enchainer dans son sillage.
C'est comme si c'est moi qui devait faire tous les efforts pour mettre à l'aise l'autre... d'ailleurs, durant mon passage au resto fin août, par mes gestes, et autres mains sur l'épaule, je suis parvenu à dépasser cette attitude de l'autre, et à créer un lien avec lui...
Serais-je si intimidant que ça ? charismatique ? ( ) Il est vrai que je suis de nature solitaire, mais pas asocial, comme je l'ai prouvé récemment.
On m'a déjà dit il y a 2 ans que je faisais homme (et pourtant il y a 2 ans, je n'avais pas entrepris mon changement)... mon collègue pote m'a confirmé la chose il y a qques temps, et que face aux gars de 20 piges, ca pouvait créer un décalage, d'autant que j'ai pas l'air bcp plus vieux...
Enfin, voilà, j'en saurai plus bientôt.
J'observe une récurrence dans le comportement des autres jeunes mecs (20-30ans) à mon égard : ils sont mal à l'aise. Pourtant, je suis certain que pour certains, ils n'ont pas forcément de pb pour séduire une fille. Certains sont très beaux, sans doute plus que moi... Mais ce malaise se lit dans leurs yeux... ils regardent même par terre. Alors je veux bien que parfois que je manque d'énergie, d'état d'esprit... mais ça arrive même quand j'ai le fameux état d'esprit, quand je suis souriant et que je fais des blagues...
Je sais cependant que pareille attitude de l'autre me met parfois mal à l'aise à mon tour... du coup, ça tourne au rond, aucun ne prenant l'échange en main. En revanche, face à qqn qui se montre décontracté, tout de suite, je n'ai aucun mal à enchainer dans son sillage.
C'est comme si c'est moi qui devait faire tous les efforts pour mettre à l'aise l'autre... d'ailleurs, durant mon passage au resto fin août, par mes gestes, et autres mains sur l'épaule, je suis parvenu à dépasser cette attitude de l'autre, et à créer un lien avec lui...
Serais-je si intimidant que ça ? charismatique ? ( ) Il est vrai que je suis de nature solitaire, mais pas asocial, comme je l'ai prouvé récemment.
On m'a déjà dit il y a 2 ans que je faisais homme (et pourtant il y a 2 ans, je n'avais pas entrepris mon changement)... mon collègue pote m'a confirmé la chose il y a qques temps, et que face aux gars de 20 piges, ca pouvait créer un décalage, d'autant que j'ai pas l'air bcp plus vieux...
Enfin, voilà, j'en saurai plus bientôt.
- Ven Sep 09, 2011 7:56 pm
#112909
J'ai un peu de mal à comprendre où tu veux en venir sur la fin...
Pour ce qui est du manque d'initiative des gens que tu rencontres, et sans nier aucunement ton charisme , je crois que ça a majoritairement à voir avec leur caractère initiateur ou suiveur. Comme toi, lorsque je suis en terrain connu, je n'ai aucun souci pour accrocher les gens et les amener à participer. Mais pour peu que je sois dans un mauvais jour, je m'ennuie pour une raison qui m'est inconnue... ou plutôt, elle m'était inconnue jusqu'à ce que je prenne deux minutes pour y réfléchir.
Je me permets de partager une pensée que j'ai mise par écrit fin mai, et qui me semble correspondre à la réflexion qui t'occupe l'esprit à présent :
[quote][size=90]Une fois encore, j’ai dernièrement pris conscience d’une chose. Je me croyais initiateur, et j’avais tort.
Un jour, j’ai rencontré une jeune fille à la Poste. Tu n’es pas sans ignorer la règle d’or à la Poste : le nombre de guichet ouverts est directement lié à la loi de Murphy, aussi connue sous le nom de la loi de l’emmerdement maximum. Bref, il y avait du monde, je m’ennuyais, je jouais donc au Rubiks Cube sur mon iPhone sur un fond de System of a Down.
Je crois qu’il est opportun de remercier Dieu de nous avoir doté d’une vision périphérique, et c’est grâce à celle-ci que je n’ai pas manqué de repérer que cette petite brune aux yeux noisette lorgnait depuis quelques minutes déjà sur mon mobile. Je lui propose alors de lui apprendre à le résoudre.
Avance rapide jusqu’au mercredi suivant, à la fin de notre premier rendez-vous .
Alors que je m’éloignais vers la station Vélib’ la plus proche, je dressais mentalement le bilan de cette heure et demie passée en sa compagnie : « C’est pas possible comme je me suis emmerdé. J’comprends pas, elle avait l’air rigolote cette fille ». Il est inutile de préciser que ma route et celle de Sandra ne se sont pour le moment pas recroisées.
Être perdu dans ses pensées, perché sur un deux roues à Paris, c’est dangereux. J’arrivai néanmoins entier à Montrouge, et je délaissai distraitement mon moyen de transport, faisant le point sur les quelques courses que je m’apprêtais à faire. D’une main sûre et d’un pas décidé, j’attrape une boîte de Corn Flakes, de la confiture de fraises, des pommes, et du lait. C’est alors que je prends sur le coin de la gueule, non pas une enclume de dix tonnes parachutée des studios Warner, mais une idée.
« Si je me suis fait chier, c’est à 50% ma faute non ? Même plus, vu que c’est moi qui l’invite. Et plus encore, puisque je suis censé être celui des deux qui donne le ton. »
En fin de compte, je n’étais pas initiateur, j’étais suiveur.
J’ai alors repensé à toutes les fois où je me suis poliment ennuyé avec les gens, et aussi toutes les fois où je m’étais tiré sur les côtes à en avoir mal jusqu’au lendemain. Pour chacun des exemples heureux qui me venaient, j’étais capable de dire grâce à qui je m’étais amusé. Je me retrouvais, là, sur ma banquette de café ou dans la file d’attente d’une attraction. Je sentais ce sourire monter jusqu’à mes oreilles, et je contemplais les singeries de ceux et celles qui avaient illuminé ma journée. La prochaine question qui allait me venir découlait de la plus grande des évidences.
Et moi, suis-je un singe ? Je me regarde, m’inspecte, lève un bras puis l’autre, j’examine le blanc de mon oeil droit, je manipule mes jambes, je tousse, deux fois, et je contracte quelques muscles, certains visibles, d’autres non. Moui, à première vue, je fais un singe tout-à-fait respectable. Alors que me manque-t-il le reste du temps ? C’est pourtant on ne peut plus clair.
Ce qu’il me manquait, c’était la certitude que les gens qui m’entourent aiment s’amuser, et ce au moins autant que moi. Alors oui j’ai le droit d’asticoter mes amis. J’ai le droit de faire l’imbécile au lieu d’attendre qu’on me donne le feu vert. J’ai le droit de lancer l’escalade sans attendre que quelqu’un d’autre l’initie. En somme, j’ai le permis de donner du plaisir en premier. Et si je veux que mes amis me quittent avec ce sourire en coin, et cet espoir de me revoir bientôt, j’en fais même un devoir.
Lorsqu’on a la prétention d’être un individu de qualité, on doit accepter d’être responsable à 51% au moins du volume d’ennui d’une soirée.[/size]
Pour ce qui est du manque d'initiative des gens que tu rencontres, et sans nier aucunement ton charisme , je crois que ça a majoritairement à voir avec leur caractère initiateur ou suiveur. Comme toi, lorsque je suis en terrain connu, je n'ai aucun souci pour accrocher les gens et les amener à participer. Mais pour peu que je sois dans un mauvais jour, je m'ennuie pour une raison qui m'est inconnue... ou plutôt, elle m'était inconnue jusqu'à ce que je prenne deux minutes pour y réfléchir.
Je me permets de partager une pensée que j'ai mise par écrit fin mai, et qui me semble correspondre à la réflexion qui t'occupe l'esprit à présent :
[quote][size=90]Une fois encore, j’ai dernièrement pris conscience d’une chose. Je me croyais initiateur, et j’avais tort.
Un jour, j’ai rencontré une jeune fille à la Poste. Tu n’es pas sans ignorer la règle d’or à la Poste : le nombre de guichet ouverts est directement lié à la loi de Murphy, aussi connue sous le nom de la loi de l’emmerdement maximum. Bref, il y avait du monde, je m’ennuyais, je jouais donc au Rubiks Cube sur mon iPhone sur un fond de System of a Down.
Je crois qu’il est opportun de remercier Dieu de nous avoir doté d’une vision périphérique, et c’est grâce à celle-ci que je n’ai pas manqué de repérer que cette petite brune aux yeux noisette lorgnait depuis quelques minutes déjà sur mon mobile. Je lui propose alors de lui apprendre à le résoudre.
Avance rapide jusqu’au mercredi suivant, à la fin de notre premier rendez-vous .
Alors que je m’éloignais vers la station Vélib’ la plus proche, je dressais mentalement le bilan de cette heure et demie passée en sa compagnie : « C’est pas possible comme je me suis emmerdé. J’comprends pas, elle avait l’air rigolote cette fille ». Il est inutile de préciser que ma route et celle de Sandra ne se sont pour le moment pas recroisées.
Être perdu dans ses pensées, perché sur un deux roues à Paris, c’est dangereux. J’arrivai néanmoins entier à Montrouge, et je délaissai distraitement mon moyen de transport, faisant le point sur les quelques courses que je m’apprêtais à faire. D’une main sûre et d’un pas décidé, j’attrape une boîte de Corn Flakes, de la confiture de fraises, des pommes, et du lait. C’est alors que je prends sur le coin de la gueule, non pas une enclume de dix tonnes parachutée des studios Warner, mais une idée.
« Si je me suis fait chier, c’est à 50% ma faute non ? Même plus, vu que c’est moi qui l’invite. Et plus encore, puisque je suis censé être celui des deux qui donne le ton. »
En fin de compte, je n’étais pas initiateur, j’étais suiveur.
J’ai alors repensé à toutes les fois où je me suis poliment ennuyé avec les gens, et aussi toutes les fois où je m’étais tiré sur les côtes à en avoir mal jusqu’au lendemain. Pour chacun des exemples heureux qui me venaient, j’étais capable de dire grâce à qui je m’étais amusé. Je me retrouvais, là, sur ma banquette de café ou dans la file d’attente d’une attraction. Je sentais ce sourire monter jusqu’à mes oreilles, et je contemplais les singeries de ceux et celles qui avaient illuminé ma journée. La prochaine question qui allait me venir découlait de la plus grande des évidences.
Et moi, suis-je un singe ? Je me regarde, m’inspecte, lève un bras puis l’autre, j’examine le blanc de mon oeil droit, je manipule mes jambes, je tousse, deux fois, et je contracte quelques muscles, certains visibles, d’autres non. Moui, à première vue, je fais un singe tout-à-fait respectable. Alors que me manque-t-il le reste du temps ? C’est pourtant on ne peut plus clair.
Ce qu’il me manquait, c’était la certitude que les gens qui m’entourent aiment s’amuser, et ce au moins autant que moi. Alors oui j’ai le droit d’asticoter mes amis. J’ai le droit de faire l’imbécile au lieu d’attendre qu’on me donne le feu vert. J’ai le droit de lancer l’escalade sans attendre que quelqu’un d’autre l’initie. En somme, j’ai le permis de donner du plaisir en premier. Et si je veux que mes amis me quittent avec ce sourire en coin, et cet espoir de me revoir bientôt, j’en fais même un devoir.
Lorsqu’on a la prétention d’être un individu de qualité, on doit accepter d’être responsable à 51% au moins du volume d’ennui d’une soirée.[/size]