- Mar Oct 18, 2011 3:02 pm
#114163
[size=150]Sex on the beach[/size]
Le lundi soir suivant, j'avais rendez-vous avec Valérie pour aller boire un verre au bord de la plage de Buggiba. Elle m'avait grandement facilité la tâche, avait insisté pour venir me chercher en voiture et était même arrivée en avance. Il eût été difficile pour moi, dans ces conditions, d'être plus confiant.
Arrivés au bord de la plage, la nuit était déjà tombée sur malte. Nous entamâmes tout d'abord une courte marche nocturne pour repérer un petit bar accueillant, ce qui me permit d'amorcer un léger rapprochement physique, de réinstaurer le confort de la soirée de vendredi. Une fois installés en terrasse, une Piña Colada à la main, je me suis laissé entraîné malgré moi dans une discussion totalement platonique et donc rasoir. Malgré toute la confiance que j'avais lors de ce rendez-vous, j'ai purement et simplement manqué d'audace. Pour cette fois, je rejetterai la faute sur la barrière de la langue qui, même si mon anglais n'est pas si mauvais par rapport à la moyenne des autres français, ne permet pas autant de fantaisies que dans ma langue natale.
Alors que nous avions presque épuisé tous les sujets de discussion usuels, le temps commençait à se faire long, il nous fallait vite bouger avant de sombrer dans l'ennui. Je proposai donc à Valérie une balade le long de la plage. Une fois levés et la marche entamée, je passai tout naturellement mon bras dans son dos, posai ma main dans le creux de sa taille et l'attirai contre moi, me comportant, en quelque sorte, comme si nous avions déjà couché ensemble. A défaut de sexuer maladroitement une discussion, agir de manière sexuée est bien plus facile et paraît plus normal. Cette attitude, je l'avais eu pour la première fois à Varsovie, avec Ewa. Alors qu'elle m'avait raccompagné à mon hôtel après une soirée passée en sa compagnie, j'ai tout naturellement continué mon chemin en montant dans ma chambre, elle à mon bras, entretenant notre discussion du moment sans mettre de mot sur ce qui était en train de se passer.
Jeu de dupes ou signes de timidité, j'aime à pencher pour la première hypothèse.
[img]http://img853.imageshack.us/img853/2593/onthebeach1.jpg[/img]
Arrivés près d'une barrière, nous nous arrêtâmes pour observer une étrange fontaine flottante ballottée par la méditerranée. Le coupure de rythme produite par l'arrêt de la marche ainsi que l'arrivée d'un blanc dans la discussion me firent ressentir que, même si il n'y pas de moment idéal, celui-ci n'était pas des plus mal choisit. Alors que j'étais adossé à la barrière et faisais face à Valérie, je m'approchai lentement d'elle en la regardant dans les yeux, la saisis par la taille et l'embrassai. Après quelques minutes d'échange de baisés doux et sensuels, je l'invitai à descendre sur la plage.
Ne nous retrouvâmes donc quelques minutes plus tard, côte à côte, assis sur un rocher. Les mains étaient maintenant de la partie, je pouvais enfin satisfaire mon irrésistible envie de caresser ses seins à travers son haut moulant qui arborait un décolleté indécent. Rapidement, elle ouvrit le 3e bouton de ma chemise et y glissa une main tandis qu'elle caressait, de l'autre, l'intérieur de ma cuisse. Lorsque le bouton de son jean avait capitulé et que ma main se frayait un chemin vers son entrejambe sans rencontrer de résistance, je réalisai alors que nous étions sur le point de partager plus que quelques caresses coquines. Lui sussurant à l'oreille, je lui demandai alors si elle avait déjà fait l'amour sur la plage. Elle me répondit que non. Moi non plus. Lui tenant la main pour l'aider à franchir quelques rochers scabreux, je la guidais alors dans un coin isolé de la plage, à l'abris des regards indiscrets.
A moitié cachés par deux gros rochers, nous avions repris nos caresses et son haut moulant à présent remonté au niveau des aisselles avait libéré ses deux seins lourds et si parfait à la lueur des réverbères de la plage. Quelques minutes de caresses plus tard, j'étais allongé sur un rocher à peu près plat, Valerie sur moi se laissait pénétrer tout en caressant mon torse de ses mains chaleureuses. Mes mouvements étaient limités par la rugosité du rocher qui semblait prendre un malin plaisir à me griffer le dos. Mais qu'importe, c'est bercé par le bruit des vagues s'écrasant sur les rochers et les yeux admirant les seins de Valerie devant un ciel étoilé que, après des ébats qui me semblèrent hors du temps, je finis par laisser exploser en elle mon désire contenu.
Sur le chemin du retour, elle m'affirma qu'en temps normal elle ne fait jamais ce genre de choses, probablement comme beaucoup d'autres femmes le disent à beaucoup d'autres hommes.
Le lundi soir suivant, j'avais rendez-vous avec Valérie pour aller boire un verre au bord de la plage de Buggiba. Elle m'avait grandement facilité la tâche, avait insisté pour venir me chercher en voiture et était même arrivée en avance. Il eût été difficile pour moi, dans ces conditions, d'être plus confiant.
Arrivés au bord de la plage, la nuit était déjà tombée sur malte. Nous entamâmes tout d'abord une courte marche nocturne pour repérer un petit bar accueillant, ce qui me permit d'amorcer un léger rapprochement physique, de réinstaurer le confort de la soirée de vendredi. Une fois installés en terrasse, une Piña Colada à la main, je me suis laissé entraîné malgré moi dans une discussion totalement platonique et donc rasoir. Malgré toute la confiance que j'avais lors de ce rendez-vous, j'ai purement et simplement manqué d'audace. Pour cette fois, je rejetterai la faute sur la barrière de la langue qui, même si mon anglais n'est pas si mauvais par rapport à la moyenne des autres français, ne permet pas autant de fantaisies que dans ma langue natale.
Alors que nous avions presque épuisé tous les sujets de discussion usuels, le temps commençait à se faire long, il nous fallait vite bouger avant de sombrer dans l'ennui. Je proposai donc à Valérie une balade le long de la plage. Une fois levés et la marche entamée, je passai tout naturellement mon bras dans son dos, posai ma main dans le creux de sa taille et l'attirai contre moi, me comportant, en quelque sorte, comme si nous avions déjà couché ensemble. A défaut de sexuer maladroitement une discussion, agir de manière sexuée est bien plus facile et paraît plus normal. Cette attitude, je l'avais eu pour la première fois à Varsovie, avec Ewa. Alors qu'elle m'avait raccompagné à mon hôtel après une soirée passée en sa compagnie, j'ai tout naturellement continué mon chemin en montant dans ma chambre, elle à mon bras, entretenant notre discussion du moment sans mettre de mot sur ce qui était en train de se passer.
Jeu de dupes ou signes de timidité, j'aime à pencher pour la première hypothèse.
[img]http://img853.imageshack.us/img853/2593/onthebeach1.jpg[/img]
Arrivés près d'une barrière, nous nous arrêtâmes pour observer une étrange fontaine flottante ballottée par la méditerranée. Le coupure de rythme produite par l'arrêt de la marche ainsi que l'arrivée d'un blanc dans la discussion me firent ressentir que, même si il n'y pas de moment idéal, celui-ci n'était pas des plus mal choisit. Alors que j'étais adossé à la barrière et faisais face à Valérie, je m'approchai lentement d'elle en la regardant dans les yeux, la saisis par la taille et l'embrassai. Après quelques minutes d'échange de baisés doux et sensuels, je l'invitai à descendre sur la plage.
Ne nous retrouvâmes donc quelques minutes plus tard, côte à côte, assis sur un rocher. Les mains étaient maintenant de la partie, je pouvais enfin satisfaire mon irrésistible envie de caresser ses seins à travers son haut moulant qui arborait un décolleté indécent. Rapidement, elle ouvrit le 3e bouton de ma chemise et y glissa une main tandis qu'elle caressait, de l'autre, l'intérieur de ma cuisse. Lorsque le bouton de son jean avait capitulé et que ma main se frayait un chemin vers son entrejambe sans rencontrer de résistance, je réalisai alors que nous étions sur le point de partager plus que quelques caresses coquines. Lui sussurant à l'oreille, je lui demandai alors si elle avait déjà fait l'amour sur la plage. Elle me répondit que non. Moi non plus. Lui tenant la main pour l'aider à franchir quelques rochers scabreux, je la guidais alors dans un coin isolé de la plage, à l'abris des regards indiscrets.
A moitié cachés par deux gros rochers, nous avions repris nos caresses et son haut moulant à présent remonté au niveau des aisselles avait libéré ses deux seins lourds et si parfait à la lueur des réverbères de la plage. Quelques minutes de caresses plus tard, j'étais allongé sur un rocher à peu près plat, Valerie sur moi se laissait pénétrer tout en caressant mon torse de ses mains chaleureuses. Mes mouvements étaient limités par la rugosité du rocher qui semblait prendre un malin plaisir à me griffer le dos. Mais qu'importe, c'est bercé par le bruit des vagues s'écrasant sur les rochers et les yeux admirant les seins de Valerie devant un ciel étoilé que, après des ébats qui me semblèrent hors du temps, je finis par laisser exploser en elle mon désire contenu.
Sur le chemin du retour, elle m'affirma qu'en temps normal elle ne fait jamais ce genre de choses, probablement comme beaucoup d'autres femmes le disent à beaucoup d'autres hommes.