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Modérateurs: animal, Léo

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By la mouche
#158623 [quote="coug"]Qu'est ce qui te fais dire que tu as perdu du temps, que c'était des mauvaises décisions?

C'est pas parce-que tu as changé d'avis que c'est du temps perdu. Inévitablement cela t'as donné une multitude d'expériences diverses, cela t'a ouvert un univers différent et a façonné le Triumph d'aujourd'hui.

It's not about the destination, it's about the journey.

+1
Il est stupide de regarder ton parcours d'hier avec ton regard d'aujourd'hui. En fonctionnant comme ça, tu auras honte de ta première copine, de tes fringues de collège... Les étapes que tu as faite, tu les a faites parce que tu en as eu le besoin. (Et de manière générale, il ne sert à rien de s'en vouloir pour des choses dont on a pas de prise (ou plus) ).
By JulienH
#158634 Ah mais je suis d'accord avec vous. C'est d'ailleurs en comprenant cela que j'ai ouvert ce journal. Clairement, j'assume très facilement toutes mes erreurs, casseroles etc. Aucun problème. Je ne peux cependant pas occulter le fait que j'ai compris, et même appris, beaucoup de choses très tard.

Disons que l'expression "perdre du temps" était mal choisie. Je raisonnais en "temps qui me reste". A l'âge que j'ai, il y a des choses que je ne peux déjà plus faire, et avec le temps qui passe, cette liste aura tendance à s'allonger.

Je ne cherche pas à me faire peur en pensant ainsi, mais à me mettre des petits coups de pied au cul. Sinon je laisse moisir un, deux, trois mois ... C'est à ça que je faisais allusion en parlant de virilité, je n'ai pas cet instinct "bulldozer".
By JulienH
#158656 Parmi ces choses que je ne peux plus envisager, faire carrière dans l'armée.

Je garde d'excellents souvenirs de mon service militaire. Mon chef de peloton m'avait branché sur le sujet; ayant fait quelques études, il m'aurait été possible d'entrer dans une école d'officiers, moyennant une petite remise à niveau. Pas une grande école évidemment, mais quelque chose d'intéressant tout de même.

Représenter une institution, travailler en équipe, voir du pays, aider les populations le cas échéant, cette idée de dévotion à quelque chose, je trouvais que ça avait de la gueule. C'était une vision un peu idyllique, bien sûr. Je le savais, mais cela m'attirait quand même.

Puis j'ai eu un petit souci avec un sous-off qui à quelques semaines de la quille, m'a mis 8 jours de punition. Et à quelques jours d'intervalle, un ami a eu un sérieux accident.

A quoi ça tient ? On pense tellement de choses de travers quand on ne sait pas penser, quand on n'a pas vécu. Ce sont ces deux éléments qui m'ont décidé, en dépit de mes vrais désirs.

- Je me suis dit que je ne supporterais jamais l'autorité. On m'a souvent dit que j'étais incontrôlable et borné, que je n'en faisais qu'à ma tête (un comble, en réalité j'étais soumis). Et ça s'était imprimé dans mon cerveau. Alors qu'en fait pas du tout, l'autorité sensée, calibrée, bref intelligente, ne m'a jamais posé aucun problème ...

- Egalement, que ce genre de carrière m'amènerait à délaisser amis et vie de famille. Or, à l'heure actuelle cet ami a déménagé depuis belle lurette, je ne le vois plus depuis longtemps; et les autres s'éloigneront un jour où l'autre. Quant à la vie de famille, et bien je n'en ai toujours pas et au fond, ne suis pas sûr d'en vouloir.

Mon vieux m'a souvent dit "ah, j'aimerais avoir ton âge et savoir ce que je sais". Oui c'est sûr, tout le monde voudrait cela.

Si je m'étais engagé, je serais devenu quelqu'un d'autre, ou le même, on ne le saura jamais.

Je n'y suis pas allé et je ne regrette pas, car justement je ne serais peut être pas le même, et celui que je suis me convient - à peu près :wink:
By Piano
#158664 Merci Triumph pour tes réponses (et ton journal en général), je partage certaines interrogations professionnelles et les bonnes idées sont toujours à prendre. J'ai une petite impression - et arrête-moi tout de suite si je me plante complètement - que le côté pro tourne partiellement à l'obsession. Tu cherches "LE" truc pour toi, comme une solution un peu monolithique. Mais qu'est-ce qui garanti qu'en essayant encore un autre métier, même si tu le kiffes 2, 3 ans, tu n'auras pas finalement le même résultat ? A ton avis, les gens qui manquent d'estime d'eux et qui se lancent dans un nouveau métier, ou créent une entreprise ! - tiennent combien de temps comparé à leurs pairs qui n'ont pas le même problème ? Même question pour les gens qui cherchent à vouloir faire quelque chose sans savoir quoi, et les gens qui savent au plus profond d'eux-mêmes ce qu'ils veulent faire ?

C'est évidemment stressant de voir la roue tourner et d'avoir l'impression de ne pas avancer. Il y a du bon stress là-dedans, et du mauvais. Tu peux toujours corriger ton expression suite aux remarques, mais ça c'est rationaliser. Je t'incite à creuser ton ressenti instinctif, les aspects émotionnels et psychiques, ton histoire. Puisque ta situation professionnelle est stable c'est peut-être le moment idéal d'investir sur ce plan. Peut-être que tu peux te mettre en action à ce niveau-là. En action, pas à gamberger tout seul. Tu as déjà la démarche d'en parler sur ton journal, il y a peut-être d'autres actions à mener. Tu as sûrement essayé des choses mais de toute évidence tu n'as pas encore trouvé assez d'angles complémentaires qui marchent pour toi. Pour traquer quelque chose qui semble insaisissable il faut explorer partout, trianguler les directions données par plusieurs mesures. Pour se débarrasser d'un sparadrap secouer la main ne suffit en général pas, on doit utiliser l'autre main et il passe à celle-ci, on finit par utiliser les deux mains, le pied et il se colle à la semelle, et enfin avec un quatrième truc on y parvient :D
By JulienH
#158696 Tout ça aussi, ça me parle.

Oui ça tourne à l'obsession, avec un tel truc en tête il n'y a plus de place pour penser à autre chose. "Solution monolithique", oui, également, je m'y prends comme un bourrin. Le mec qui appuie à fond sur la pédale d'accélérateur, alors que le moteur ne tourne pas.

J'ai un truc à régler, un seul, en priorité. Ca fait longtemps que j'aurais dû m'y attaquer, mais la trouille m'en a empêché. Je m'y étais donc résigné, pensais pouvoir "faire avec", comme j'avais pensé "faire avec" mon ex-future femme, par exemple. Mais les faits sont là, ça fait 15, 20 ans que j'essaie de "faire avec", de ménager la chèvre et le chou, et je m'use. C'est trop handicapant.

Concernant mes relations, j'ai compris. Finies, les relations par défaut. Je définis et choisis ce qui est bon pour moi.

Maintenant il faut que j'applique ce principe au reste. Putain c'est tellement simple, dit comme ça ...

Je pense trop rarement à moi en premier, je pense à quelqu'un d'autre. Oui c'est mauvais, mais c'est un réflexe, un truc pavlovien, j'y pense, ne serait-ce qu'une fraction de seconde. Besoin de validation, le mot est lâché. Non pas que je traque ce besoin partout, tout le temps, mais là ... C'est indispensable.

J'ai beau me dire "allez, on s'en fout", ça ne marche pas. Je ne suis pas libre de mes choix. Je ne trouverai jamais ma voie, ne vivrai jamais ma vie si je ne franchis pas cette barrière, car rien ne sera jamais assez bien. Cette histoire de boulot, c'est un écran de fumée.

Il s'agit de se débarrasser de ce réflexe, de tout simplement grandir. C'est limpide, évident. Mais pour moi, à mon niveau, d'après "mon histoire", car c'est ce qui compte en effet, c'est un défi.

Trop de respect mal calibré, trop de morale mal placée, peur de décevoir, de blesser. Des peurs de petit garçon.

On va le décoller, ce sparadrap.

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Je vais mettre ce journal en sommeil quelques temps.

Merci, ça fait du bien de lire des mecs qui en ont dans le sac.
By Piano
#158747 Do it 8)
- tu en as peur, le courage c'est de dépasser ses peurs - le courage c'est viril
- ça prendra peut-être du temps - la patience est une qualité qu'un homme doit avoir
- tu te mets en action - l'action, dans laquelle un homme doit être

Continue aussi à t'intéresser aux sphères boulot et relationnelles : non seulement elles procurent des portes d'entrées concrètes vers ce que tu dois régler, mais surtout ce sont des domaines fondamentaux en soi.

Petite question par curiosité, si tu repasses par là, quelle est la personne la plus importante dans ta vie ?
By JulienH
#158862 Si par "importante", on entend "qui prend beaucoup de place", c'est mon père et de très loin. J'irais même jusqu'à dire qu'il est le seul.

On a déconné, y a rien entre nous sinon un mur de non-dits. J'ai renoncé à le franchir, tant pis, on n'échangera jamais vraiment, y en a d'autres dans ce cas. Etre adulte c'est déjà arrêter d'attendre des autres ce qu'ils ne peuvent nous donner. On ne peut pas rester un enfant en attente d'un bonbon parce qu'il a tout bien fait ce qu'on lui a dit de faire ...

Encore une fois, j'applique ça avec les filles et les potes, il s'agit juste de faire pareil avec lui. Très simple, sur le principe. Or je ne l'avais même pas envisagé.

Je pourrais écrire 50 pages sur ce sujet, peut être même 100. Mais d'autres esprits plus brillants que le mien l'ont déjà fait par le passé, et ce forum n'est pas l'endroit adéquat.


A plus tard.
By JulienH
#164315 [quote]la personne la plus importante de ta vie, c'est TOI
Je me suis répété cette phrase un nombre incalculable de fois ces dernières semaines.

Vous m'avez dit des choses précieuses, de mon côté j'ai un peu vidé mon sac. Je n'en avais pas fini. Tout ce qui se conçoit bien s'énonce clairement, dit-on. Et finalement j'ai pu mettre des mots clairs et précis sur ce qui me bloque. Ca aide beaucoup.

Tout ça n'a rien à voir avec cette pseudo-immaturité ou cette pseudo-indolence dont on a pu m'affubler, non, tout ce que je dois faire, c'est arrêter de culpabiliser sans arrêt. Tout est dans ce mot.

Arrêter de me dire que je ne réponds pas à certaines attentes, donc que je ne suis pas à la hauteur, donc que je mérite pas d'être né sous une si bonne étoile, donc que je prends la place d'un autre. Pourquoi ai-je ça dans le crâne ? Peu importe je ne veux surtout pas rajouter l'aigreur à ce sentiment d'inutilité, de vacuité même; il est déjà bien assez usant.

Il est vital de rompre la spirale, d'en finir avec cette logique de merde. Vital au sens strict du terme. Parce qu'à la fin, au bout du bout de cette logique, on finit par se dire que cette place qui n'est pas la nôtre, on doit la laisser libre. On doit dégager. Je ne sais pas si je suis dépressif, mais je sais que depuis 20 ans, j'alterne entre périodes d'euphorie, et d'autres où je me sens dans l'impasse. Ca n'est pas bon signe. Et 20 ans, c'est long.

Du coup cette place que je n'ose pas me faire, je demande aux autres de me l'attribuer. Tout se recoupe. J'ai trouvé des exemples par dizaines, j'en trouve chaque jour même dans des détails. Je ne vis que par les autres, à travers eux.

Aux autres, je serais prêt à beaucoup donner. Et j'ai donné, à ma façon. Maladroitement, vainement, mais j'ai donné. Alors qu'à moi-même, je ne donne rien, je ne me fais que des reproches. Pas des petits reproches à la con. De vrais reproches, du genre de ceux qui vous aspirent vers le fond.

Voilà, je m'attache à en finir avec tout ça. Il a été assez dur de tout bien poser à plat, et l'encaisser n'a pas été simple non plus. Je n'ai pas trouvé d'actions concrètes à mener pour accélérer le processus. Chaque jour se suffit à lui-même, ça se fait, petit à petit. J'ai repris l'idée du "voyage", à ma façon là encore.
By JulienH
#164868 En essayant d'analyser ma relation à mon père j'ai relevé deux ou trois trucs.

"Analyser" oui, carrément, parce que ça m'intéresse vraiment, ça me concerne, j'ai envie de comprendre le mécanisme. Sans pour autant me farcir des bouquins sans aucune image à l'intérieur.

Ce que j'en ai conclu pour le moment c'est que c'est une histoire de trouille, et aussi un peu, d'égo. La trouille mon ami, la trouille. C'est un poison, l'origine de 99% des maux de 99% des gens. Source ? Je n'en ai pas, c'est juste pour forcer le trait.

Normalement, quand on te pose une question dont tu ne connais pas la réponse, tu le reconnais et tu le dis, "ah désolé je ne sais pas". A l'autre de se débrouiller pour trouver la solution tout seul, ou auprès d'autres gens.

Dans mon éducation ça ne s'est pas passé comme ça, c'était plutôt une espèce de matraquage, "fais ceci, pense cela, fais comme moi il n'y a pas d'autre solution".

Un exemple idiot mais tout simple : imaginez que vous demandiez à un gars "où se trouve le restaurant Marco Polo ?" et qu'il ne le sache pas. Il va vous dire "je ne sais pas". Mon père lui ça serait un truc du genre "faut vraiment être un drôle de type pour aimer la cuisine italienne, c'est dégueulasse". Il ne sait pas où c'est, ça l'emmerde de le reconnaître, de passer pour un ignorant. Donc il te tourne le truc de façon à t'imposer son avis, te rappeler que c'est lui le patron.

Je force le trait, toujours. Mais le fond est là. Ego démesuré. Et trouille, car finalement, laisser son fils se débrouiller à chercher ailleurs, ça revient à 1) le perdre et 2) à lui faire prendre des risques. Des risques à son échelle, ceux que peut prendre un gosse de 10-12 ans quoi, bref.

En quatre mots, égo + trouille = mur d'incommunicabilité. L'incommunicabilité, fléau de l'humanité.

10-12 ans, puis 12-14, etc etc, immanquablement le gosse se retrouve en permanence demandeur de l'avis du père. Puis il ne pose même plus de questions car ce sont toujours les 4 ou 5 mêmes trucs qui reviennent (c'est nul, c'est inutile, etc). Et comme la trouille est contagieuse, à la fin du bout du terme, il est complètement incapable de prendre une décision.

Il n'y a rien d'étonnant à ce que le gosse passe sa vie à se demander si ce qu'il fait est juste. Je ne dis pas que c'est inéluctable, 50% des pères doivent ressembler à ça, et tous les fils n'ont pas mon parcours. Donc c'est pas inéluctable. Mais c'est vraiment pas étonnant.

Ceci dit moi aussi j'ai des peurs et l'avantage de piger que tout le monde a peur de quelque chose, c'est que tu n'en veux à personne, tu sais ce que c'est, donc tu comprends. En fait j'ai une grosse peur, et quelques petites. J'ai voulu commencer par elles, c'était pas la bonne méthode. La grosse je l'ai ignorée, là je me suis attaqué à elle, c'est long mais ça se fait, bon bref j'en ai déjà parlé.

J'ai vu qu'un séminaire était programmé à ce sujet, "vaincre vos peurs" je crois, en Mars. Autant dire que j'ai hâte d'en connaître le contenu.

L'égo je n'en ai pas, ou très peu. Et je m'en félicite. J'ai aucune envie d'écraser celui ou celle à qui je devrai transmettre. D'ailleurs je pense que je vais essayer de ne rien transmettre, j'aiderai et c'est tout, je m'effacerai plutôt que chercher à me "voir dedans" si je puis dire. Je ne veux pas être un modèle et encore moins une icône. J'en suis pas là, mais j'y pense et ça m'aide dans mes rapports aux autres. Se sentir puissant c'est bien, se sentir peu de choses, je commence à me demander si c'est pas mieux.

Oui le top du "développement personnel" ce serait de se dire, ou plutôt de se rendre compte, qu'on est que dalle. Là encore je force le trait mais l'idée n'est pas loin de ça. Détachement maximum, un truc comme "je sais ce que je vaux mais j'en fais pas un sac, je fais juste ce que j'ai à faire". Dans développement personnel, après tout, il y a "personnel", ce qui sous-entend qu'on a chacun le nôtre alors que pourtant les mecs qui s'y intéressent font et pensent à 90%, les mêmes trucs (toujours pas de source, non).

Bon je n'arrive pas à bien exprimer tout ça, peu importe. Je me comprends à peu près.
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By pantin
#164871 [quote="Triumph"]J'ai aucune envie d'écraser celui ou celle à qui je devrai transmettre

Très touchant Triumph.

J'ai eu la chance d'avoir un Bon père (à mes yeux, sur certains plans exceptionnel même) et ça facilite les choses.
Quelqu'un qui était dans la grandeur, mais qui étonnamment n'avait pas besoin d'écraser l'autre pour exister.
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By la mouche
#164874 [quote="Triumph"]Se sentir puissant c'est bien, se sentir peu de choses, je commence à me demander si c'est pas mieux.

[video]http://www.dailymotion.com/video/x7cpu1_kersauson-zemmour-et-naulleau-onpc_news[/video]
A partir de 10min (mais ça vaut le coup de tout écouter), lorsqu'il parle de l'impuissance, ça m'a fait penser à ça. Pourtant, c'est loin d'être n'importe qui.
By JulienH
#164885 Merci La Mouche, en effet ça vaut le coup de tout écouter. L'anecdote sur les colons Français et Anglais vaudrait à elle seule le détour :lol:

C'est marrant parce que j'avais écrit avant d'éditer (mon message est déjà bien assez long) qu'en fait, après m'être bien pris la tête, finalement ce que je cherchais c'était la paix. Mais pas pour autant une vie tranquille-pépère sans contraintes, non, juste la paix.

Sa définition de la liberté me plaît. "Avoir conscience de ce qu'on est, de notre impuissance", ça peut prendre tellement de sens, il y a pas mal de degrés de profondeur possible. Lui a atteint un niveau, je ne suis pas au sien, donc je ne peux pas dire que lui et moi pensons la même chose, mais ça me plaît.

Pas de posture idéologique débile, mais de l'humain, du vécu, des tripes. Et bien sûr des couilles.
By JulienH
#165055 J'ai visionné aussi la fameuse interview de Brel. Extraordinaire.

On imagine sans problème une femme tomber sous le charme. A part la gourdasse du coin, qui pourrait rester insensible à tant de profondeur ? Oh et puis de toutes façons qu'est-ce qu'on en a à foutre, ce que les femmes pourraient penser de Brel. C'est même pas la question.

Rien que son regard, quelle intensité.

On la trouve sûrement ailleurs sur le forum, mais je la mets ici au cas où quelqu'un passe par là. Faut voir ça, c'est indispensable ! Oui je suis soufflé.

[video]https://www.youtube.com/watch?v=BB4mQF1GQV0[/video]

Ce n'est pas lui qui m'empêche de dormir, mais ça pourrait.
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By -Jules-
#165213 Merci pour ton journal et l'angle que tu lui pretes, tu donnes des pistes tres interessantes, à un moment ou je pensais peut etre me tromper de combat :wink: