- Ven Fév 20, 2015 1:32 pm
#165219
Ne pas vouloir être quelqu’un d’autres mais s’accepter tel que l’on est. Tellement facile à dire, à vrai dire je ne sais même pas qui je suis, ou du moins j’avais dernièrement perdu de vue cette personne en essayant de masquer la vérité a l’aide de « pots de peinture ».
Quand je fais le bilan de ma vie j’ai vraiment de quoi en être fier, alors pourquoi je ne le suis pas ? Pourquoi se flageller comme ça … inconsciemment.
Manque de confiance et un mauvais terme mais manque de fierté est tellement révélateur. Sans être fier comment ne pas défaillir fasse au premier écueil social (face à des hommes ou des femmes) comment ne pas rechercher chez autrui la validation qu’on est incapable de se donner.
La dernière fois au cours d’une discussion avec un pote, on se rend compte qu’on est tous les deux dans une démarche spirituelle. Viens un anodin « c’est quand la dernière fois ou tu t’es senti libre ? »
Il était incapable de répondre de son coté, pour moi la réponse est apparue de suite.
Fin 2010 je viens de « passer pro » au poker, je prends ma vieille Seat, arrive sur l’autoroute qui doit me mener vers un gros tournois en Belgique, le soleil d’automne et l’odeur qui l’accompagne sont grisants, c’est la musique des Lostprohets qui résonne (oui j’ai toujours bien aimé les groupes de gonzesses) je me dis à ce moment-là que je suis le plus heureux des hommes.
Pourquoi ?
Je pense simplement que c’est la première fois de ma vie que je réalisais quelque chose dont je rêvais. Quelque chose sans me soucier des autres, pour moi, avec les risques que ça comportait. J’allais faire quelque chose que j’aime, dont j’avais envie qui me plaisait réellement, totalement plongé dans le moment présent.
Bordel la recette n’est quand même pas compliquée.
Je pars souvent dans tous les sens, enfant gâté et impatient, comme j’ai dit j’ai oublié qui j’étais (si je l’ai vraiment su un jour) en tous cas j’ai l’impression de le voir la bas au fond, ce n’est pas encore très clair, il se cache un peu, mais il se rapproche, pour enfin oser apparaitre au grand jour.
Quand je fais le bilan de ma vie j’ai vraiment de quoi en être fier, alors pourquoi je ne le suis pas ? Pourquoi se flageller comme ça … inconsciemment.
Manque de confiance et un mauvais terme mais manque de fierté est tellement révélateur. Sans être fier comment ne pas défaillir fasse au premier écueil social (face à des hommes ou des femmes) comment ne pas rechercher chez autrui la validation qu’on est incapable de se donner.
La dernière fois au cours d’une discussion avec un pote, on se rend compte qu’on est tous les deux dans une démarche spirituelle. Viens un anodin « c’est quand la dernière fois ou tu t’es senti libre ? »
Il était incapable de répondre de son coté, pour moi la réponse est apparue de suite.
Fin 2010 je viens de « passer pro » au poker, je prends ma vieille Seat, arrive sur l’autoroute qui doit me mener vers un gros tournois en Belgique, le soleil d’automne et l’odeur qui l’accompagne sont grisants, c’est la musique des Lostprohets qui résonne (oui j’ai toujours bien aimé les groupes de gonzesses) je me dis à ce moment-là que je suis le plus heureux des hommes.
Pourquoi ?
Je pense simplement que c’est la première fois de ma vie que je réalisais quelque chose dont je rêvais. Quelque chose sans me soucier des autres, pour moi, avec les risques que ça comportait. J’allais faire quelque chose que j’aime, dont j’avais envie qui me plaisait réellement, totalement plongé dans le moment présent.
Bordel la recette n’est quand même pas compliquée.
Je pars souvent dans tous les sens, enfant gâté et impatient, comme j’ai dit j’ai oublié qui j’étais (si je l’ai vraiment su un jour) en tous cas j’ai l’impression de le voir la bas au fond, ce n’est pas encore très clair, il se cache un peu, mais il se rapproche, pour enfin oser apparaitre au grand jour.