- Sam Jan 24, 2015 1:18 pm
#163370
Ce matin il me semble inévitable d'ouvrir un journal. J'ai réfléchi, est-ce que je vais écrire ce journal sur un cahier et faire une sorte de journal intime ? Ou bien vais-je le faire sur spike séduction ? Finalement, ça sera un journal sur Spike Seduction, ça me semble beaucoup plus constructif de pouvoir avoir un échange.
Le contexte
Le contexte, très rapidement. Je suis étudiant en master de droit, dans note chère capital française. Je suis plutôt content de ma vie et je me lève heureux le matin. Je sais que je vais retrouver des gens que j'apprécie quand j'arrive à la fac ! Je suis quelqu'un de très sociable et plutôt considéré comme un leader, j'organise beaucoup d’événements, sorties...
Pourquoi ouvrir un journal ?
Mais vous vous en doutez, s'il me semble inévitable d'ouvrir un journal, c'est que tout n'est pas si rose. Si j'ai une vie sociale riche, sur le plan de la séduction j'ai une sorte de "blocage". C'est toujours la même situation qui se répète, il y a cette fille, je sais que je lui plais. Elle me montre une foison de signes d'intérêts. Des signes tellement fort, que même depuis la lune on pourrait les voir. D'ailleurs ces signes, je les vois. J'en suis même flatté et alors en général cette fille, elle m'intéresse. Je vais faire monter la pression de plus en fort avec cette fille, faire chauffer le fer. Seulement, comme le dit l'expression "il faut battre le fer quand il est chaud". C'est là tout mon problème, je sais faire chauffer le faire, mais je ne sais pas le battre. Alors même que la fille se colle à moi, son visage est à 5 cm du miens, je suis comme paralysé. Je n'arrive pas à battre le fer...
Je n'arrive pas bien à comprendre ce blocage, c'est fou l'effet que peuvent me faire ces filles pourtant avec leurs signes d'intérêt et en même temps je n'arrive pas à franchir l'étape, confirmer l'intérêt. Hier soir encore cette situation, mais tout a débuté il y a 3 semaines...
Pauline, une histoire sur 3 semaines
En effet il y a 3 semaines, Pauline me montrait des signes d'intérêts énormes. La première fois, j'avais organisé une petite sortie entre amis dans un restaurant pour qu'on décompresse après un partiel. Ce soir là, je trouve Pauline inhabituellement proche de moi, elle reste à mes cotés, me complimente "tu es parfait", et chose exceptionnelle rigole même à mes blagues les plus nulles (je peux vous dire qu'elles étaient sacrément nulle). Je prends note de l'intérêt, je suis plutôt flatté, je dois avouer, je n'aurai jamais imaginer que Pauline ait un jour de l'intérêt pour moi. La soirée se fini tôt, c'était le but, nous sommes en partiels tout est sur pause.
Une semaine plus tard, c'est la fin des partiels. Nous nous retrouvons dans une soirée. Elle est formidablement belle, il faut dire que je lui avais un peu mis la pression "ce soir je veux que tu m'impressionnes, que tu sortes ton plus bel apprêtement". Au cours de cette soirée, je lui dit qu'elle est très belle, puis je papillonne à droite et à gauche. Finalement, je ne vais pas vraiment faire attention à elle, je ne me l'explique pas, est-ce une sorte de lâcheté ? A un moment de la soirée, elle va quand même réussir à m'arrêter, me demander un câlin... C'est très agréable, mais voilà je deviens paralysé. Je ne sais plus quoi dire, quoi faire. Alors qu'au final elle s'offre à moi, ce câlin c'est une invitation a tellement plus. Je n'ai pas saisi l'opportunité. Le matin, je rentre chez moi et je me déteste. Je ne comprends pas pourquoi je n'ai pas saisi cette opportunité. Qu'est ce qui cloche chez moi ? Je n'arrivais pas à dormir, j'étais bien conscient qu'on a qu'une seule chance par fille.
Le lendemain de cette soirée, nous avions prévu d'aller au musée ensemble avec des amis. Une façon d’atterrir doucement après une soirée. Je suis mort de fatigue, je n'ai pas réussir à dormir. Je me demande comme sera Pauline lors de cette visite au musée ? Je suis agréablement surpris, elle me montre encore une multitude de signes d'intérêt, veut prendre des photos avec moi, "c'est toi et moi, cette statue" me dit-elle en me montrant un Gorille qui porte une femme. Moi je suis véritablement un mort vivant, je n'ai plus d'énergie, il y aurait fallu que je dorme. Au final ça se déroule plutôt mal, je ne suis franchement pas capable d'assurer. Elle me plait c'est certains et j'ai peur de dire des choses inintéressantes, je me bloque petit à petit et je deviens sérieux et chiant...
Une fois encore je rentre chez moi déçu et triste, on a une seule chance par fille, et cette chance m'avait été prolongée. J'ai l'impression d'avoir insultée les dieux en ne la saisissant pas cette fois encore.
Le lendemain de la visite au musée, c'est dimanche. Elle propose qu'on se revoit l'après midi, pour se balader. Profiter de notre compagnie mutuelle. Elle m'invite avec 4 autres amies. Je prends en charge l'organisation et je fais une galette des rois ! Cette fois, je suis très en forme, j'ai moins la pression, je considère la situation comme pratiquement déjà perdue donc... Je lui montre qu'elle me plaît, chose surprenante, je l'intéresse toujours malgré toute ma lenteur. Nous sommes entre amis, rien n'ira au delà d'une après midi très sympa entre amis.
Puis viens la semaine à la fac, nous nous tournons autour. Mais le chat (moi) joue avec la souris sans l’attraper. Mercredi, c'est la journée du câlin et j'ai le droit au miens quand j'arrive le matin.
Jeudi, un ami nous invite à aller voir une pièce de théâtre. J'y vais et elle aussi. La pièce parle de sujets difficiles, la vieillesse. Elle s'assoit à coté de moi et je la sens tout contre moi, mais je dois avouer je ne peux pas me montrer sensuel alors que devant de moi se joue une pièce où un vieille homme perd la tête. Mais même dans d'autres conditions d'ailleurs, saurais-je me montrer sensuel ?
Vendredi une journée capitale
Vendredi arrive, j'ai rarement vu une fille qui me fait des signes d'intérêts aussi gros. L'après midi j'invite toute notre bande d'amis à aller boire du thé chez moi. Dans le métro, Pauline se colle à moi. Je suis un peu gêné. Elle me complimente beaucoup au cours de cette après midi. Dans ma tête, il y a cette petite voix qui me dit, "écoutes, tu ne peux plus continuer comme ça, il faut que tu passes à l'étape supérieure. Elle te plait, tu lui plais. Qu'est-ce que tu attends ?". Oui qu'est que j'attends ? Je ne le sais pas moi même, pourquoi je n'arrive pas à passer à l'action. Pourquoi je ne peux pas simplement la prendre dans mes bras et l'embrasser ? Pourquoi je n'y arrive pas.
Le soir, une copine nous a invité à une soirée masquée. Une fois là bas, Pauline m'a gardé une place à coté d'elle. Mais je suis complètement mort, la semaine a été fatigante et je suis malade, c’est un véritable supplice d'avaler ma salive ! Mais il me reste quelque réserve, je vais chercher un verre et je vais parler à tous les groupes. Petit à petit je me sens bien, on plaisante, cette soirée est un véritable plaisir. Mon niveau d'énergie était au plus bas et il monte puis atteint un pic, je n'avais pas imaginé avoir de telles réserves. Les filles de la soirée ont formées un cercle, je vais m'installer au milieu. Elles sont plutôt réceptives. Décidément je passe une très bonne soirée. Seulement j'oublis complètement Pauline, mais est-ce réellement un oublis ? N'est pas plutôt une peur de me confronter à elle ?
La soirée se déroule j'ai un niveau d'énergie tellement élevé, puis petit à petit ça redescend. C'est toujours comme ça, une sorte de pic, mais au bout d'un moment ça retombe. En l’occurrence, ça redescend vers 1H, je n'en peux plus, certaines personnes ont commencés à partir. Mais il y a encore Pauline et je me rappelle que j'ai pas eu les couilles de m'occuper d'elle pour le moment. Dualité dans ma tête, véritablement je n'en peux plus, je ne suis plus bon à rien. Est-ce que je devrais rester pour essayer une dernière fois avec Pauline ? Ou est-ce que je devrais rentrer me coucher ?
J'ai choisi la première solution et c'était la mauvaise il me semble. J'étais tellement crevé que j'étais bien incapable d'avoir une discussion intéressante avec Pauline. L'autre point ce que le comportement de Pauline a changé, je dois affronté la réalité désormais. Je me suis montré lâche. Pauline ne pouvait clairement pas faire plus pour que je m'intéresse à elle, et j'ai eu peur, j'étais paralysé, toute la soirée je l'ai évité de manière plus ou moins inconsciente. Je n'ai saisi aucune opportunités, alors qu'elles étaient innombrables.
Je le vois désormais elle m'en veux. Sur la fin de la soirée je n'aurai pas droit à un seul regard de sa part, elle ne m'adressera plus la parole, elle m'évitera sur le trottoir et ne me dira pas aurevoir. Mon meilleur pote, est venu me voir et m'a demandé, "pourquoi tu as fait ça?". Je ne me l'explique pas vraiment, je ne crois que c'est seulement un question de peur, je ne sais plus vraiment où j'en suis. Mais je ne veux plus que ça se reproduise. Ça fait déjà trop longtemps que ce schéma se reproduit...
Je suis rentré chez moi et nous sommes le lendemain de ce fiasco. Je m'en veux. On avait prévu avec Pauline de voir un film en tête à tête chez elle dimanche soir. C'est compromis.
Le contexte
Le contexte, très rapidement. Je suis étudiant en master de droit, dans note chère capital française. Je suis plutôt content de ma vie et je me lève heureux le matin. Je sais que je vais retrouver des gens que j'apprécie quand j'arrive à la fac ! Je suis quelqu'un de très sociable et plutôt considéré comme un leader, j'organise beaucoup d’événements, sorties...
Pourquoi ouvrir un journal ?
Mais vous vous en doutez, s'il me semble inévitable d'ouvrir un journal, c'est que tout n'est pas si rose. Si j'ai une vie sociale riche, sur le plan de la séduction j'ai une sorte de "blocage". C'est toujours la même situation qui se répète, il y a cette fille, je sais que je lui plais. Elle me montre une foison de signes d'intérêts. Des signes tellement fort, que même depuis la lune on pourrait les voir. D'ailleurs ces signes, je les vois. J'en suis même flatté et alors en général cette fille, elle m'intéresse. Je vais faire monter la pression de plus en fort avec cette fille, faire chauffer le fer. Seulement, comme le dit l'expression "il faut battre le fer quand il est chaud". C'est là tout mon problème, je sais faire chauffer le faire, mais je ne sais pas le battre. Alors même que la fille se colle à moi, son visage est à 5 cm du miens, je suis comme paralysé. Je n'arrive pas à battre le fer...
Je n'arrive pas bien à comprendre ce blocage, c'est fou l'effet que peuvent me faire ces filles pourtant avec leurs signes d'intérêt et en même temps je n'arrive pas à franchir l'étape, confirmer l'intérêt. Hier soir encore cette situation, mais tout a débuté il y a 3 semaines...
Pauline, une histoire sur 3 semaines
En effet il y a 3 semaines, Pauline me montrait des signes d'intérêts énormes. La première fois, j'avais organisé une petite sortie entre amis dans un restaurant pour qu'on décompresse après un partiel. Ce soir là, je trouve Pauline inhabituellement proche de moi, elle reste à mes cotés, me complimente "tu es parfait", et chose exceptionnelle rigole même à mes blagues les plus nulles (je peux vous dire qu'elles étaient sacrément nulle). Je prends note de l'intérêt, je suis plutôt flatté, je dois avouer, je n'aurai jamais imaginer que Pauline ait un jour de l'intérêt pour moi. La soirée se fini tôt, c'était le but, nous sommes en partiels tout est sur pause.
Une semaine plus tard, c'est la fin des partiels. Nous nous retrouvons dans une soirée. Elle est formidablement belle, il faut dire que je lui avais un peu mis la pression "ce soir je veux que tu m'impressionnes, que tu sortes ton plus bel apprêtement". Au cours de cette soirée, je lui dit qu'elle est très belle, puis je papillonne à droite et à gauche. Finalement, je ne vais pas vraiment faire attention à elle, je ne me l'explique pas, est-ce une sorte de lâcheté ? A un moment de la soirée, elle va quand même réussir à m'arrêter, me demander un câlin... C'est très agréable, mais voilà je deviens paralysé. Je ne sais plus quoi dire, quoi faire. Alors qu'au final elle s'offre à moi, ce câlin c'est une invitation a tellement plus. Je n'ai pas saisi l'opportunité. Le matin, je rentre chez moi et je me déteste. Je ne comprends pas pourquoi je n'ai pas saisi cette opportunité. Qu'est ce qui cloche chez moi ? Je n'arrivais pas à dormir, j'étais bien conscient qu'on a qu'une seule chance par fille.
Le lendemain de cette soirée, nous avions prévu d'aller au musée ensemble avec des amis. Une façon d’atterrir doucement après une soirée. Je suis mort de fatigue, je n'ai pas réussir à dormir. Je me demande comme sera Pauline lors de cette visite au musée ? Je suis agréablement surpris, elle me montre encore une multitude de signes d'intérêt, veut prendre des photos avec moi, "c'est toi et moi, cette statue" me dit-elle en me montrant un Gorille qui porte une femme. Moi je suis véritablement un mort vivant, je n'ai plus d'énergie, il y aurait fallu que je dorme. Au final ça se déroule plutôt mal, je ne suis franchement pas capable d'assurer. Elle me plait c'est certains et j'ai peur de dire des choses inintéressantes, je me bloque petit à petit et je deviens sérieux et chiant...
Une fois encore je rentre chez moi déçu et triste, on a une seule chance par fille, et cette chance m'avait été prolongée. J'ai l'impression d'avoir insultée les dieux en ne la saisissant pas cette fois encore.
Le lendemain de la visite au musée, c'est dimanche. Elle propose qu'on se revoit l'après midi, pour se balader. Profiter de notre compagnie mutuelle. Elle m'invite avec 4 autres amies. Je prends en charge l'organisation et je fais une galette des rois ! Cette fois, je suis très en forme, j'ai moins la pression, je considère la situation comme pratiquement déjà perdue donc... Je lui montre qu'elle me plaît, chose surprenante, je l'intéresse toujours malgré toute ma lenteur. Nous sommes entre amis, rien n'ira au delà d'une après midi très sympa entre amis.
Puis viens la semaine à la fac, nous nous tournons autour. Mais le chat (moi) joue avec la souris sans l’attraper. Mercredi, c'est la journée du câlin et j'ai le droit au miens quand j'arrive le matin.
Jeudi, un ami nous invite à aller voir une pièce de théâtre. J'y vais et elle aussi. La pièce parle de sujets difficiles, la vieillesse. Elle s'assoit à coté de moi et je la sens tout contre moi, mais je dois avouer je ne peux pas me montrer sensuel alors que devant de moi se joue une pièce où un vieille homme perd la tête. Mais même dans d'autres conditions d'ailleurs, saurais-je me montrer sensuel ?
Vendredi une journée capitale
Vendredi arrive, j'ai rarement vu une fille qui me fait des signes d'intérêts aussi gros. L'après midi j'invite toute notre bande d'amis à aller boire du thé chez moi. Dans le métro, Pauline se colle à moi. Je suis un peu gêné. Elle me complimente beaucoup au cours de cette après midi. Dans ma tête, il y a cette petite voix qui me dit, "écoutes, tu ne peux plus continuer comme ça, il faut que tu passes à l'étape supérieure. Elle te plait, tu lui plais. Qu'est-ce que tu attends ?". Oui qu'est que j'attends ? Je ne le sais pas moi même, pourquoi je n'arrive pas à passer à l'action. Pourquoi je ne peux pas simplement la prendre dans mes bras et l'embrasser ? Pourquoi je n'y arrive pas.
Le soir, une copine nous a invité à une soirée masquée. Une fois là bas, Pauline m'a gardé une place à coté d'elle. Mais je suis complètement mort, la semaine a été fatigante et je suis malade, c’est un véritable supplice d'avaler ma salive ! Mais il me reste quelque réserve, je vais chercher un verre et je vais parler à tous les groupes. Petit à petit je me sens bien, on plaisante, cette soirée est un véritable plaisir. Mon niveau d'énergie était au plus bas et il monte puis atteint un pic, je n'avais pas imaginé avoir de telles réserves. Les filles de la soirée ont formées un cercle, je vais m'installer au milieu. Elles sont plutôt réceptives. Décidément je passe une très bonne soirée. Seulement j'oublis complètement Pauline, mais est-ce réellement un oublis ? N'est pas plutôt une peur de me confronter à elle ?
La soirée se déroule j'ai un niveau d'énergie tellement élevé, puis petit à petit ça redescend. C'est toujours comme ça, une sorte de pic, mais au bout d'un moment ça retombe. En l’occurrence, ça redescend vers 1H, je n'en peux plus, certaines personnes ont commencés à partir. Mais il y a encore Pauline et je me rappelle que j'ai pas eu les couilles de m'occuper d'elle pour le moment. Dualité dans ma tête, véritablement je n'en peux plus, je ne suis plus bon à rien. Est-ce que je devrais rester pour essayer une dernière fois avec Pauline ? Ou est-ce que je devrais rentrer me coucher ?
J'ai choisi la première solution et c'était la mauvaise il me semble. J'étais tellement crevé que j'étais bien incapable d'avoir une discussion intéressante avec Pauline. L'autre point ce que le comportement de Pauline a changé, je dois affronté la réalité désormais. Je me suis montré lâche. Pauline ne pouvait clairement pas faire plus pour que je m'intéresse à elle, et j'ai eu peur, j'étais paralysé, toute la soirée je l'ai évité de manière plus ou moins inconsciente. Je n'ai saisi aucune opportunités, alors qu'elles étaient innombrables.
Je le vois désormais elle m'en veux. Sur la fin de la soirée je n'aurai pas droit à un seul regard de sa part, elle ne m'adressera plus la parole, elle m'évitera sur le trottoir et ne me dira pas aurevoir. Mon meilleur pote, est venu me voir et m'a demandé, "pourquoi tu as fait ça?". Je ne me l'explique pas vraiment, je ne crois que c'est seulement un question de peur, je ne sais plus vraiment où j'en suis. Mais je ne veux plus que ça se reproduise. Ça fait déjà trop longtemps que ce schéma se reproduit...
Je suis rentré chez moi et nous sommes le lendemain de ce fiasco. Je m'en veux. On avait prévu avec Pauline de voir un film en tête à tête chez elle dimanche soir. C'est compromis.