- Mer Oct 22, 2014 12:19 am
#159014
En vrac... Les mots et les phrases ne s’enchaînent parfois pas très bien.
Un poignet cassé
La "grande nouvelle" de ce mois d'octobre c'est que je me suis cassé le poignet au foot (j'suis gardien). Et ca bouleverse tout mes projets. Je n'ai pas un an d'ancienneté dans ma boite donc je n'ai le droit qu'à 800€ par la sécu par mois pendant ces 2 mois d'arrêt. Quand on gagne 2500€ net d'habitude, imaginez le manque à gagner. Je préparais un 10km depuis 3 mois. Je me suis cassé le poignet 3 jours avant la course finale...
Une thérapie terminée
Je vais donc couper sévèrement dans les dépenses. J'en profite pour arrêter la thérapie qui commençait à tourner en rond. Je reste convaincu qu'une thérapie peut être bénéfique mais le retour sur investissement est faiblard. Je préfère garder de l'argent pour compléter mes séminaires SS.
Des projets en stand-by
Je voulais m'acheter un chouette canapé, changer de manteau, et faire quelques modifs dans mon appart.
Tout ça tombe à l'eau. Ce sera pas avant 2015.
Et moi, et moi et moi
Que faire quand on est bloqué chez soi pendant 2 mois avec un bras dans le plâtre? J'ai au moins une bonne excuse pour ne pas sortir de ma zone de confort. Car effectivement, en dehors de cette période de convalescence, je n'y arrive pas. Je ne sors pas de chez moi. Je ne crois pas en moi, en la possibilité de rencontrer des gens n'importe où. J'idéalise les rencontres en me disant qu'elles ne se font qu'en soirée ou à la fac, où dans un club de truc ou de machin. C'est vrai quoi, mes seuls liens se sont noués dans ces types de lieux. Je devrais peut être me consacrer un budget mensuel pour prendre un café ou manger dehors. Même seul. Même si je flippe à l'idée d'y penser. Et puis j'me dis : les plus belles choses qui me sont arrivées, j'ai été les chercher. La vie doit surement se jouer au mérite, on ne nous doit rien. Alors oui, je vais serrer les dents. J'y arriverai.
"Life is 10% of what happens to me and 90% of how I react to it."
Un poignet cassé
La "grande nouvelle" de ce mois d'octobre c'est que je me suis cassé le poignet au foot (j'suis gardien). Et ca bouleverse tout mes projets. Je n'ai pas un an d'ancienneté dans ma boite donc je n'ai le droit qu'à 800€ par la sécu par mois pendant ces 2 mois d'arrêt. Quand on gagne 2500€ net d'habitude, imaginez le manque à gagner. Je préparais un 10km depuis 3 mois. Je me suis cassé le poignet 3 jours avant la course finale...
Une thérapie terminée
Je vais donc couper sévèrement dans les dépenses. J'en profite pour arrêter la thérapie qui commençait à tourner en rond. Je reste convaincu qu'une thérapie peut être bénéfique mais le retour sur investissement est faiblard. Je préfère garder de l'argent pour compléter mes séminaires SS.
Des projets en stand-by
Je voulais m'acheter un chouette canapé, changer de manteau, et faire quelques modifs dans mon appart.
Tout ça tombe à l'eau. Ce sera pas avant 2015.
Et moi, et moi et moi
Que faire quand on est bloqué chez soi pendant 2 mois avec un bras dans le plâtre? J'ai au moins une bonne excuse pour ne pas sortir de ma zone de confort. Car effectivement, en dehors de cette période de convalescence, je n'y arrive pas. Je ne sors pas de chez moi. Je ne crois pas en moi, en la possibilité de rencontrer des gens n'importe où. J'idéalise les rencontres en me disant qu'elles ne se font qu'en soirée ou à la fac, où dans un club de truc ou de machin. C'est vrai quoi, mes seuls liens se sont noués dans ces types de lieux. Je devrais peut être me consacrer un budget mensuel pour prendre un café ou manger dehors. Même seul. Même si je flippe à l'idée d'y penser. Et puis j'me dis : les plus belles choses qui me sont arrivées, j'ai été les chercher. La vie doit surement se jouer au mérite, on ne nous doit rien. Alors oui, je vais serrer les dents. J'y arriverai.
"Life is 10% of what happens to me and 90% of how I react to it."