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Modérateurs: animal, Léo

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By Transcendantal
#101296 [color=red][size=150]Sport et masculinité (bis)[/size][/color]

A l'entrainement ce dimanche, une petite blonde me défie. Plutôt fun.
Les femmes aussi ont cet instinct de domination. Raison supplémentaire de ne pas les sacraliser.
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By Transcendantal
#101363 [color=red][size=150]De la puissance du sourire[/size][/color]



Une caissière bcp moins distante


Je l’avais déjà croisé auparavant. En attendant mon tour, j’avais fait une fixation sur ses yeux d’un bleu renversant pendant un très bref instant. Ce si court instant, déjà trpo insistant, m’a disqualifié à ses yeux… avant même le moindre mot : aucun sourire de sa part, des regards parmi les plus fuyants du monde...
Je tombe sur elle quelques semaines plus tard. J'avais le sourire (une cliente avant moi se battait avec ses pièces). Mon tour arrive, je fais une note d'humour. Elle rit, sourit, me regarde dans les yeux. Quel gouffre avec la fois précédente...



Deux ouvertures dans le bus

Deux nanas débarquent. Elles sont allemandes. L’une s’assoit à côté de moi, l’autre à côté de sa copine. Le bus freine brusquement. La fille à mes cotés se retrouvent collée à moi un bref instant. Elle s’excuse. J’amorce la conversation en faisant la remarque qu’elles sont allemandes. Brève discussion. Son français a l’air moyen. Pas de questions perso (la barrière de la langue a sans doute joué), mais regards qu’elle me consacre totalement, au point d’en oublier sa copine. Cette dernière est tellement délaissée qu'elle finit par se lèver pour changer de place (non la vraie raison, yavait de l’eau sur le siège). L’autre à mes côtés ne bouge pas. Mais j’étais passé à autre chose. Après un moment, la fille se lève pour rejoindre sa copine. J’avais une ouverture. Mais la nana me plaisait moyennement ; cela dit, j’aurais dû qd même aller au bout, pour l’expérience.

Mais jamais deux sans trois. Une autre nana arrive. Un canon. Et comme tous les canons, elle est accompagnée de sa garde rapprochée (3 ou 4 mecs qui se la feront jamais). L’un d’eux lui suggère de s’asseoir, elle préfère rester debout. Le mec (ou un autre) fait une remarque de boulet : « Ouais, à force d’être assis, on a mal au cul ». La fille rit (jaune ?), disant, en gros, qu’elle n’avait pas ce genre de préoccupations. Toujours le sourire aux lèvres (d’autant plus, suite à la remarque du boulet), je m’insère dans la conversation spontanément, et réponds, en regardant le type, que moi c’est plutôt mal aux jambes. Il me regarde pas, ne répond pas. Mon regard se tourne naturellement vers la fille, et c’est elle qui me répond (ou alors c’est sa réponse qui a fait que j’ai tourné la tête vers elle). Qques minutes plus tard, mon arrêt approchant, je me lève. Je signale aux gens, dont la fille, que je descends. Je passe à côté d’elle, et j’entends qqn me dire au revoir. C’était elle. Bien que de dos, je lui renvoie le au revoir, alors que je suis au bord de la sortie.


Conclusion : impossible d’affirmer que les trois nanas étaient intéressées, mais ce dont je suis certain, c’est que sourire, donc décontraction, donc absence de recherche de validation sont les clés permettant l’ouverture d’un grand nombre de portes. Il y a encore 6 mois, je ne soupçonnais aucunement que mon sourire, le mien, avait cette puissance.
Il doit y avoir un truc.
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By Transcendantal
#101443 [color=red][size=150]Un physique qui en jette ?[/size][/color]


Première séance avec l'entraineur à qui j'avais parlé. Il me repose la question de mon expérience en comptetition, de mes temps, et se montre impressionné, d'autant plus qu'il qualifie mon physique "de physique de coureur", ajoutant que mon apparente grande expérience en course (je débute pourtant en compétition !) donne l'impression que j'ai "déjà participé à un marathon olympique" (pour le coup, il devait exagérer un peu :) ). Il conclut même par un "T'en jettes, mon pote".
A la fin de la séance, je lui pose la question de savoir s'il fait des plans d'entrainements perso, et je lui avoue que je cherche un entraineur personnel. Bien qu'il soit plus branché sur le triathlon, il me dit qu'il a "bien envie de me prendre sous son aile", car selon lui, j'aurais, je cite, "beaucoup de talent."

Ses mots sur mon physique confirment en tout cas l'impression que j'avais eue : à savoir que je sens régulièrement que les nanas me regardent quand je cours (évidemment pas toutes, et pas tout le temps), mais c'est assez récurrent.

Deux exemples de la chose :
Après la séance, je m'arrête sur le bord de la piste et commence qques étirements. Trois nanas à côté de moi faisaient des abdos. Je les regarde en souriant, puis dit un truc pour rire. Bons retours. Je me lève pour m'étirer les quadriceps, et j'entends un des filles dire à voix basse à ses copines "regardez je l'imite". Et effectivement, elle avait commencé les mêmes étirements que moi. Je réagis pas tout de suite, j'étais concentré sur mon exercice. Puis je lève les yeux et lui dit qqch en souriant. Je quitte ma place, pour faire le tour de la piste à pieds. Et juste avant qu'elle ne parte, alors que j'étais revenu à la place où elles se trouvaient, j'ai le droit de la part de l'imitatrice à un "au revoir monsieur". Pour le coup, j'ai rien fait car la fille, bien que jolie, n'est pas du tout mon genre.

Cela me permet de parler de la bombe (qui fait de l'escalade) à qui j'avais déjà parlé deux fois. Les fois suivantes, j'ai constaté qu'elle me calculait pas vraiment (bien qu'elle ait vu ma présence). J'imagine qu'elle me voyait venir avec mes gros sabots. La semaine d'après, j'ai décidé de pas insister et de faire mon truc dans mon coin, tout en socialisant avec les autres sportifs présents (ce que j'ai fait notamment avec l'entraineur en question).
Donc, je me retrouve intégré au groupe d'entrainement hier pour la première fois (alors que d'habitude je viens m'entrainer seul les mercredis), et, comme par hasard, j'ai senti que la bombe en question me regardait souvent. J'ai tendance à penser que le fait de me voir seul dans un premier temps, puis intégré à un groupe, lui a montré ma capacité à socialiser et à être intéressant pour les autres. La séance se finit : étirements, je fais le tour de la piste en marchant pour me décontracter, et à deux reprises, à mon passage devant elle (elle faisait tjs de l'escalade), je la vois se retourner, et me lancer un regard très bref, qu'elle détourne rapidement. La première fois, je réponds par un sourire et un "salut" pas assez affirmé (j'aurais dû me taire), elle répond pas (elle avait déjà détourné le regard). La seconde fois, je me contente d'un sourire. Puis je m'en vais.

Je me pose une question : est-ce parce qu'elle se sent vexée que je ne m'intéresse plus à elle comme au début (comprendre "comme un boulet") qui a fait qu'elle m'a regardé ? ou est-ce plutôt ma capacité à être intéressant (puisque j'a intégré un groupe d'entrainement) qui a suscité ces regards chez elle ? Si qqn peut m'aider à y répondre...

Je pense que je dois agir la semaine prochaine, en espérant que je n'ai pas laissé passer ma chance hier.
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By Transcendantal
#101671 [size=150][color=red]Affaire classée[/color][/size]


Hier, a eu lieu entre l'étudiante insolente (dont j'ai déjà parlé) et moi un échange d'emails, car je voulais vraiment mettre au clair le pourquoi de son comportement étrange.
Après avoir insisté plusieurs fois sur cette question (elle noyait sans cesse le poisson), elle m'envoie un long email qque peu confus, où elle me reproche en gros d'être en-dessous de mes capacités à cause de ma façon de faire cours concernant, si j'ai bien compris, le fait que je vise ou j'interpelle souvent les étudiants quand je parle. Ce reproche semblait davantage venir de certaines filles (celles que je vise) qui n'ont pas apprécié et trouvé bizarre cette façon de faire cours. Il est vrai qu'en y repensant, cela fait un peu le gars en recherche de validation auprès de la gente féminine, alors qu'en fait je n'étais absolument dans cet état d'esprit (d'autant plus que j'avais plutôt le sourire en cours et que j'étais décontracté)... éternels vieux démons. Mais leur mort est proche.
L'autre reproche concernait mon manque de clarté, notamment dans la méthode de la dissertation. J'ai rapidement compris ce qui a cloché. Aussi, j'ai mis les choses au clair auj, et j'ai eu des retours positifs d'étudiants et étudiantes.

Evidemment ces deux principaux reproches concernent qu'un nombre défini d'étudiant(e)s, et il est clair que tout le monde n'était pas dans ce même état d'esprit, ou dans le même flou vis-à-vis de mon discours.

Par ailleurs, j'ai constaté l'abandon du cours par l'étudiante de la laverie (celle qui m'a balancé un non alors qu'elle avait montré pas mal de signes d'intérêts).
L'insolente, quant à elle, m'a lancé des regards pendant la pause, alors que d'autres étudiants sont venus me parler. Elle voulait me parler aussi. Elle est donc venue me voir après la mise au clair de mes exigences et de ma méthode. On a reparlé du conflit entre nous, pour notamment remarquer que nous avons plus de points communs que de différences. Elle a bcp parlé d'elle, et m'a appris qu'elle n'avait que 17 ans. J'étais certain qu'elle était majeure (19/20 ans), vue la mâturité dont elle fait preuve. Aussi, pas majeure, je touche pas. Toujours est-il que - et cela va dans le sens de Stéphane - j'ai senti dans ses yeux une forme de fascination, au moins, pour les enseignants, d'autant plus que sa mère l'est également. En revanche, qu'elle soit intéressée par moi en particulier, rien ne permet de le dire. Mais qu'importe.

Car à tous les niveaux (travail, sport, filles), je ne suis qu'au tout début de grandes choses.
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By Transcendantal
#101705 Plus le temps passe, plus je me rends compte que je sais socialiser avec commerçants, inconnus de l'ascenseur, dans le bus etc. Je crois avoir passé un cap. Bien que sans groupe d'amis pour le moment, j'ai une vie (travail, sport). Et cela va forcément très bientôt intéresser des gens. Sans rechercher la validation des autres, je dois rester droit sur ma ligne, préparer mon prochain semi-marathon et travailler à ma thèse.

Place donc au stade supérieur : sourire à une belle inconnue.
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By ignomo
#101763 [quote]Bien que sans groupe d'amis pour le moment, j'ai une vie (travail, sport). Et cela va forcément très bientôt intéresser des gens

Et t'intéresser réellement à autrui,y as-tu songé ?
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By Vala
#101765 Quelle est pour toi la différence concrète entre "s'intéresser aux gens" et "s'intéresser réellement aux gens", ignomo ?
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By Transcendantal
#101769 [quote="ignomo"][quote]Bien que sans groupe d'amis pour le moment, j'ai une vie (travail, sport). Et cela va forcément très bientôt intéresser des gens

Et t'intéresser réellement à autrui,y as-tu songé ?

Se concentrer sur ce que l'on fait ne veut pas dire se renfermer sur soi. Je fais justement tout le contraire (cf. le groupe d'entrainement que j'ai récemment intégré). Mais je sais que j'ai qques difficultés à faire passer la relation au stade supérieur (vers ami avec les hommes intéressés, vers petite-amie avec filles intéressées).

Sinon, j'ai eu un rdv avec un de mes étudiants : il avait besoin de moi pour clarifier certains points du prochain travail à rendre.
On arrive dans un café, commande à boire. La discussion dépasse rapidement le cadre du travail lui-même, et on se met à parler de pas mal de choses, philo évidemment, la vie, nos vies à chacun. Je lui demande son âge, ce qu'il fait comme travail, et il m'avoue avoir plus de 40 ans et être à son compte. Echange agréable, et avant qu'il ne parte, il insiste pour me payer mon jus d'orange. Un bon moment passé.
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By Transcendantal
#102118 La semaine dernière, je suis allé boire une bière avec un camarade de cours. Appelons-le JC. Excellent moment, un gars intéressant, intelligent et qui n'hésite pas à me dire quand qqch ne va pas : il n'a par exemple pas hésité à me dire ce que j'aurais pu améliorer lors de mon exposé qui avait eu lieu auparavant. Certainement le genre de mec qui capable de me tirer vers le haut. J'aurais pu l'appeler pour sortir ce wk. Ce n'est que partie remise.

Pendant le "verre", il a commencé à parler avec la serveuse, alors que j'étais parti aux toilettes. Discussion entre la serveuse et nous deux. Mais JC parle bcp bcp (l'un de ses défauts, apparemment), et la fille se lasse. Un moment, elle se casse. Il me fait remarquer qu'il n'est pas impossible que je lui plaise... Bref, à la fin de la troisième bière, on se lève. Je l'invite, et on va payer. Je plaisante avec la serveuse, et lui dis à une prochaine fois (je vais souvent à ce bar).

Et comme par hasard, je la croise dans le bus 10 jours plus tard. On s'est regardés qques secondes, juste avant de se reconnaître. Echange décontracté pour ma part, j'avais le sourire, je riais souvent. Sympa. On descend du bus, puis sans refléchir, je lui demande si elle a un téléphone pour qu'on aille boire un café. Bref, aucune projection. A l'arrache, en fait. Elle a pas bronché, et a dit ok, précisant que, les numéros entrants s'affichant pas sur son tel, ca ne veut pas dire qu'elle ne veut pas me répondre, dans le cas où elle répondrait pas. Bref, elle prend aussi mon téléphone. C'était jeudi.

Evidemment j'ai pas rappelé le lendemain (hier), et je ferai pas la connerie du boulet d'appeler ce week-end. Donc ce sera lundi ou mardi.

Ah, et puis, ya une autre nana dans le cours où j'ai rencontré JC. Je crois qu'elle est intéressée. Ce mardi, alors que je parlais avec le prof à la fin du cours, elle revient dans la salle, ayant oublié un truc. Elle repasse pour sortir, et, pour voir si elle allait me regarder, je tourne les yeux vers elle. Et oui, elle m'a regardé. C'est pas la première fois. Je souris. Maintenant, agir.
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By Transcendantal
#102286 Dernier cours du trimestre aujourd'hui. Je sais pas si c'est lié, mais j'ai un coup de blues.

Sinon, j'ai appelé la nana du bar lundi soir. Echange téléphonique rapide, elle a accepté le rdv. Elle ne sait pas dans quel café on va, je lui fais la surprise. On a rendez-vous à deux pas dudit café, vendredi à 4h. La suite au prochain numéro.
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By Transcendantal
#102399 Je sors du rdv avec la fille.

Je la préviens par sms pour lui dire que j'arrive ( j'avais 15 min de retard :D), et une fois sur les lieux, je ne vois personne. J'appelle. Elle avait oublié. Ca commence bien. Je me tâte à lui dire de laisser tomber. Mais elle était pas loin, elle arrive. Je pars faire une course, et histoire de la faire un peu attendre.
Bref, le rdv est sympa, sans plus, mais rien ne s'est passé. Discussion sans grand intérêt puisque je n'ai pas sexué. Un moment, c'est elle qui a commencé dans le genre (on parlait Brésil et a évoqué les fesses des filles), j'ai poursuivi un peu, mais me suis arrêté rapidement. J'avais sans doute pas plus envie que ça. Et puis inconsciemment, le coup d'oublier le rdv m'a sans doute refroidi.

En tout cas, Fabrice Lucchini a raison, et j'en prends enfin conscience : une conversation non sexuée avec une fille, c'est vraiment rasoir.

Toujours est-il qu'elle m'avoue avoir un copain mais que celui-ci est parti pour 5 mois à l'étranger. De grandes chances qu'elle cheche un homme pour la contenter en attendant. Ce sera pas moi.
J'aurais dû me casser bien avant (voire écourté le rdv), mais non, on a marché vers le métro, presque en silence, c'était horrible lol. A la dernière minute, je décide de prendre le bus. Ouf !
Déçu de repartir seul, mais je sais que cette fille me plaisait pas plus que ça. Ca fait une expérience, donc c'est bon à prendre.

Avec le recul, je me dis que, même si elle m'a pas trouvé un prétexte bidon pour ne pas venir, j'aurais dû l'envoyer bouler quand elle m'a dit qu'elle avait oublié le rdv. La prochaine fois, c'est ce que je ferai.
Modifié en dernier par Transcendantal le Sam Nov 27, 2010 1:26 am, modifié 2 fois.
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By Transcendantal
#102438 Je me rends compte que les endroits que je fréquente m'amène à croiser des gens (sans forcément parler nanas) qui ne répondent pas à mes exigences pour que ceux-ci fassent partie de mes amis. Or, voilà où j'en suis :

- la résidence universitaire : bcp de jeunes mecs de 18/20ans qui ont des "délires" comme ceux que j'avais auparavant, et qui donc sont inoffensifs pour les filles. Donc, pas des gens capables de me tirer vers le haut.
- les cours de 1er cycle : beaucoup de mecs qui ne respirent pas du tout l'envie de femmes. Sans parler d'un certain groupe (mecs et filles) qui m'a craché sur la gueule, à la suite d'un exposé que j'avais fait en cours : une bande de frustrés. Mis à part JC, et peut-être un ou deux autres, c'est pas la folie.
- mes collègues chargés de cours : l'un est sympa, mais semble un peu amorphe ; je ne connais pas assez les deux autres pour me prononcer.

Mais là où c'est positif :
- ma charge de cours : je pense avoir le respect de mes étudiants, et certains me saluent avec bcp de sympathie quand on se croise.
- le groupe d'entrainement : le coach semble croire en moi et en mes talents de coureur. Un des coureurs a l'air sympa. J'ai pu parler, avec le sourire :) avec une des filles. A suivre.
- mon contrat de chargé de cours se termine bientôt, je vais devoir trouver un job. Je vais donc être amené à côtoyer de nouvelles personnes, peut-être plus "dans mon délire".
- j'ai des ouvertures avec les filles en général, mais (point négatif) je ne sais pas encore y répondre correctement quand elles me plaisent vraiment
- je socialise, je m'intéresse aux gens, leur posent des questions sur eux (merci encore à Ignomo et à sa fameuse question), j'ai le sourire et montre de la bonne humeur

donc, bien que parfois je me dise que mon changement ne va pas assez vite, notamment parce que je n'ai pas encore de groupe d'amis ici, il faut continuer à agir, expérimenter, et surtout être patient.
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By Transcendantal
#102504 Entrainement ce soir à la piste intérieure. Un peu allégé, en raison de la fête d'hier (jambes un peu dures :mrgreen:)

17min échauffement à 13km/h puis 2x3000m (au lieu de 3 fois) à allure semi-marathon, avec 2min de récup à allure cool entre les séries, puis 12/13min tranquille.
1er 3000 en 11min 13 ; le second en 11min11, soit environ 3min44 au kilo.
Bon, j'aurais dû faire 3 séries pour un vrai test en vue du semi, mais en même temps, ma prépa ne commence que... demain, pour un semi le 19 février. Objectif : moins de 1h20.

A noter qu'une nana a régulièrement jeté son attention sur moi à mes différents passages (alors que ce qui semblait être son copain était là :mrgreen: )
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By Transcendantal
#102712 La patience. Etant donné la profondeur du traumatisme, en raison notamment d'un père absent et d'une mère sur-protectrice, j'ai besoin de temps pour arriver à mes fins (en particulier avec les femmes, évidemment), et donc je dois être patient.

Je sens que les choses changent. C'est pour bientôt.