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Modérateurs: animal, Léo

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By Transcendantal
#98083 Je suis en phase de changement. Durant toutes mon adolescence et une bonne partie de mon jeune âge adulte (jusqu'à il y a quatre mois environ), j'étais le gentil AFC, asexué et rigolo, le bon pote, mais qu'on prend finalement très peu au sérieux... et souvent pour un con.

J'ai donc décidé (enfin) à 26 ans d'en finir avec ma maladresse, ma naiveté, mes blagues à la Bigard ou à la Dubosc (ça dépendait du moment).
Beaucoup de choses ont changé, comme par hasard, depuis cette prise en main. Depuis peu j'habite à l'étranger, et je commence enfin à être reconnu dans mon travail. A mon retour en France, je constate que ce que je fais et là où j'habite, ca interpelle (ca fait rever ?), que mon attitude (bien que perfectible) interpelle aussi, dans le bon sens bien-sûr.
Voici, pour commencer, une première anecdote.


Soirées entre amis dans un bar

On s’assoit à une table, puis on commande. Je revois deux filles connues de certains amis, qu'on avait croisées en boite. Je vais fumer une clope, elles étaient dehors, j’étais un peu gené (elles ont du sentir). Mais je les salue, et je parle à celle qui m'avait chauffé ce jour-là en boite (j'avais trop peu répondu à ses signaux). Elle me répond à peine, le regard fuyant. Out.

Un peu plus tard, toujours à l'extérieur. Je suis avec un ami, on se parle avec une fille. Elle me dit qu’elle m’avait déjà vu (c’est vrai, c’était l’an passé, mais sur le coup, je ne me souvenais pas). Dans cette conversation à trois, je suis assez peu bavard, c'est surtout elle et mon ami qui parlent.
Ensuite, je suis seul avec elle. Dans la conversation, elle me demande ce que je fais dans la vie. Je lui dis, et ça l’impressionne. Je prononce alors une phrase pour sexuer. Suite à ce passage, elle a un rire amusé, presque enfantin...
Plus tard, je vois qu’elle a froid. Je lui dis « t’as froid », et lui laisse ma veste que j’avais sur les épaules (mode Johnny Depp dans "Public Enemies", pour ceux qui ont vu le film). La classe. Selon ses mots, je lui rappelle son ex (ça vient de mon odeur, ou de mon eau de toilette…). Mais comme un boulet, je fais l’erreur de la quitter et d’aller voir des amis. Elle me rend ma veste un peu plus tard ; je ne la reverrai jamais de la soirée, pas même pour un au revoir quand elle est partie.


Toujours dans la même soirée, mais cette fois-ci avec la petite amie d'un pote. Je la connais depuis l'an dernier. Mais l'an dernier, j'étais ce mec gentil, clown et asexué.

Je rejoins la fille pour m’asseoir à côté d’elle et parler. Je l’enjambe pour passer à sa droite (ses longues jambes faisaient barrière). Elle me prend par la taille pour que je sois assis sur elle. Je me relève aussitôt, et lui dis que je ne me permettrais pas. A cela, elle rétorque qu'elle se le permettrait, elle. Je relève pas plus, on parle d'autres choses.
Plus tard, je vais aux toilettes, elle me suit, et me lance le "regard qui veut tout dire". Arrivé devant la porte, elle se ravise et prétend que c’était pour rigoler. En effet, c’était peut-être pour rigoler...


Bilan : je ne vais pas au bout quand la fille lance des signes d'intérêts, disons, subtils. Par ailleurs, je suis un peu déstabilisé quand la fille me chauffe ou me lance le "regard qui veut tout dire" : je ne peux m'empecher de penser que c'est pour m'allumer...
Modifié en dernier par Transcendantal le Mer Oct 27, 2010 2:55 am, modifié 1 fois.
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By Transcendantal
#98334 [quote="animal"][quote="Transcendantal"]
C'est exactement ce que je vis aussi, si bien qu'au bout d'un moment, ça m'a éjecté du groupe (enfin, je me suis éjecté moi-même, ou au moins, j'ai pris mes distances).
Après, j'ai peut-être fait l'erreur de trop en dire sur ma volonté de changer (et donc de savoir séduire).]

La pire erreur qu'on puisse faire quand on cherche à changer est d'en parler aux autres, ils savent toujours tout mieux que toi, veulent s'en méler et au final ont toujours une bonne raison de te dire que ça n'en vaut pas la peine.

Quand j'ai maigri, un de mes collègues n'arrêtait pas de me dire "c'est bon maintenant, pas la peine d'en faire plus", "ca va, tu as le droit aux pizzas" (tous les midis...) ou "ca y est, tu as assez maigri, tu peux arrêter et manger des pizzas maintenant" (véridique...)

[quote="Transcendantal"]Mais pourquoi les membres d'un groupe ne veulent-ils pas faire comprendre (plutôt que dire) la vérité (qui blesse) et finalement éjecter qqn du groupe ou s'éjecter par eux-mêmes de ce groupe ? Parmi les raisons, j'en vois une : la peur de se retrouver seul et de quitter sa zone de confort, donc la volonté de ne pas changer... car changer est justement le genre de choses qui peut engendrer, au début du processus, la solitude pour celui qui change (à moins d'avoir un autre groupe tout de suite "sous la main", mais si c'était le cas, la vérité ne serait-elle pas dite sytématiquement et sans concession ?).

Et toi, ça t'a pas un peu, disons, marginaliser dans le groupe ?

La raison est simple: la plupart des gens fuient les conflits. Dans notre démarche, que plus ou moins tous les membres de ce forum font, on réalise qu'il y a des gens qui ne valent pas l'énergie qu'ils nous coûtent, et comme on devient dans le même temps moins gentils, plus durs, on a tendance à ne plus les tolérer et à s'en couper.


Ne plus les tolérer : c'est ça. Toutes les amis que j'ai en France n'ont plus le même délire que moi, et même quand il s'agit de s'amuser, on n'est plus sur la même longueur d'ondes. Certains sont des asociaux dépressifs (j'exagère un peu), et d'autres sont du genre beauf à picoler et faire des blagues relous... donc je n'ai plus vraiment envie d'en voir certains. Malgré tout, d'autres valent la peine que je ne les laisse pas tomber.
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By Transcendantal
#100629 Voilà un peu plus d'un mois que je suis de retour en Amérique. Force est de constater que je n'ai pas noué de relation d'amitié avec quiconque.

La plupart des gens que je côtoie à la Résidence Universitaire (eh oui !) ont autour de 20 ans, et je dois avouer que cela a fait que je me suis tenu, et me tiens encore plus ou moins à l'écart de ces gens. Ca fait peut-être un peu asocial, mais c'est ainsi, trainer avec des mecs de 20 ans, c'est pas (plus) mon délire (j'en ai 26). Les gens avec qui j'avais noué qqch d'amical l'an passé (pas non plus des dizaines) avaient tous 27/30 ans, c'est pas un hasard. Niveau filles, c'est pas pareil quand elles ont 20 ans... et puis, comme ce sont des filles, je les vois différemment...

Depuis mon retour, je travaille donc toutes les choses qu'il faut avoir avant de séduire, et notamment la socialisation avec le commerçant du coin, le mec croisé dans l'ascenseur ou à la salle de sport... et ça marche, de bons retours, mais jamais plus (vous me direz, croiser qqn une seule fois...) Ca n'a encore jamais été des gens que je vois régulièrement autour d'un café.
Parallèlement à cela, je travaille et développe les activités qui augmentent ma masculinité, et je dois dire que cela ne laisse pas les filles indifférentes quand, par exemple, je fais une séance de course à pieds à plus de 16km/h, ou que je professe mon cours (car j'enseigne également à l'univ)...

On m'a dit plusieurs fois que je faisais "sérieux"... parfois je me demande si cela est lié à mes difficultés... sans nier que cela fait partie des causes du pb, j'ai tendance à penser que le pb est davantage au niveau de ma relative incapacité à montrer de l'intérêt et de la générosité à l'autre (donc de mon incapcité à aller au-delà des sourires nécessaires à la toute première rencontre). Mais c'est vrai que parfois je me sens un peu crispé devant des inconnus ; parfois je le masque en socialisant tranquillement, parfois non, lorsque je me tais.
La solution est simple : socialiser le plus possible, avec le plus de gens possibles (ce qui ne signifie pas dire n'importe quoi et parler à n'importe qui), tant pour masquer ma crispation, que dans le but que ce comportement soit une habitude qui effacera la crispation initiale.

Je dois savoir montrer aux amis potentiels (plutôt des hommes que des filles) la sympathie et la générosité nécessaires pour que la relation passe à un stade supérieur. J'ai le même pb avec les filles, quand par exemple l'une d'entre elles me montre de l'intérêt, et que moi, bien qu'intéressé aussi, je me comporte de telle sorte que je lui montre du désintérêt... et ya pas si lgtps, je m'étonnais encore de voir la fille ne plus se montrer intéressée après ce que je lui avais fait ressentir.

Malgré mes lacunes socialement parlant, je ne dois pas m'interdire de séduire une fille... car cela va m'apporter l'expérience nécessaire et contribuer à ce que la socialisation avec autrui devienne une habitude.


Niveau nana, je tente de séduire et d'appliquer la méthode de Stéphane, c'est très difficile, mais je ne dois pas lâcher. J'ai qques pistes en vue, je parviens à lancer une conversation normalement, mais, comme avec les gens (= en particulier les autres hommes) pouvant être des amis, c'est la suite qui bloque.
Je ne sais pas encore aborder une fille dans la rue, mais je crois que pour le moment, j'ai d'autres chantiers.
By Sushi
#100724 [quote]Aurait-elle précisé cela innocemment, juste pour me rendre service, parce que je suis son prof, et qu'il faut bien se faire voir de son prof ? Vaste question...

Non.

Mais c'est juste mon avis.

[quote]Bref, j'y suis allé, avec la ferme idée de lui proposer d'aller manger qque part.

Encore juste mon avis :

si une fille me dit les heures pour passer chez elle, je ne vais pas y aller dans l'objectif de lui proposer d'aller manger un morceau la prochaine fois.

J'y serais allé avec une capote.

(je ne dis pas que j'aurais réussi, mais au moins j'aurais essayé et je pense vraiment que c'était la meilleur chose à faire)
By Sushi
#100856 [quote]je ne sais pas si c'était la bonne solution que de lui proposer de venir chez moi, peut-être aurais-je dû maintenir l'idée du bar (ne culpabilise pas Sushi (; )

L'avantage c'est que là tu sais qu'elle ne veut rien avec toi (je dis pas que c'est impossible pour autant, mais bon là elle t'a fait comprendre qu'elle ne voulait pas).

Si jamais tu l'invitais dans lieu plus neutre (bar ou restaurant) elle aurait peut-être d'avantage dit oui. Mais pourquoi faire ? A priori pour que tu rate ta tentative de l'embrasser/ de coucher avec elle.

Donc finalement n'est-il pas préférable de se contenter d'un petit râteau (elle te dit juste qu'il n'y a pas d'ambiguité par téléphone) plutôt que d'avoir eu un gros râteau en vrai ?

A moins que tu pense que tu avais plus de chance de la séduire et de lui faire oublier son copain en la voyant en vrai et en essayant de finir chez toi à la fin du rendez vous (ce qui se défend tout à fait, et qui me fait culpabiliser de t'avoir dit que moi ce n'est pas ce que je ferais, lol).

D'ailleurs j'ai une anecdote un peu similaire que je vais raconter dans mon journal tout de suite.
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By Transcendantal
#100886 [quote="Sushi"][quote]je ne sais pas si c'était la bonne solution que de lui proposer de venir chez moi, peut-être aurais-je dû maintenir l'idée du bar (ne culpabilise pas Sushi (; )

L'avantage c'est que là tu sais qu'elle ne veut rien avec toi (je dis pas que c'est impossible pour autant, mais bon là elle t'a fait comprendre qu'elle ne voulait pas).



Qu'elle ne veuille rien avec moi, ce n'est même pas certain. Car, à quoi sert un premier rdv dans un endroit public ? à montrer que tu es un mec normal, intéressant et intéressé, drôle et séxué... ainsi, si tu fais bien "le boulot", et si tu plais à la fille (ce qui est censé être acquis puisqu'elle a accepté le rdv), il y a de grandes chances que ca finisse bien.
En revanche, si tu dis directement à cette même fille (à qui pourtant tu plais) que t'as envie de coucher avec elle (je caricature), sans passer par le détour du premier rdv à l'extérieur, tu es grillé, sauf si tu es face à une fille gravement en manque, dérangée psychologiquement ou folle... ce qui n'est pas du tout le cas de l'étudiante en question.

Quoi qu'il en soit, avec le recul, je me rends compte que j'ai merdé dans la séduction (une erreur de débutant), si bien que je suis peut-être passé pour un "bourrin en manque". J'espère néanmoins que ce n'est pas le cas, et que ca ne va pas influencé négativement les choses avec "l'aggressive"...
By Sushi
#100887 [quote]Car, à quoi sert un premier rdv dans un endroit public ? à montrer que tu es un mec normal, intéressant et intéressé, drôle et séxué... ainsi, si tu fais bien "le boulot", et si tu plais à la fille (ce qui est censé être acquis puisqu'elle a accepté le rdv), il y a de grandes chances que ca finisse bien.
En revanche, si tu dis directement à cette même fille (à qui pourtant tu plais) que t'as envie de coucher avec elle (je caricature), sans passer par le détour du premier rdv à l'extérieur, tu es grillé, sauf si tu es face à une fille gravement en manque, dérangée psychologiquement ou folle... ce qui n'est pas du tout le cas de l'étudiante en question.

Oui, tout à fait.

Ce qui rejoint mon :

[quote]A moins que tu pense que tu avais plus de chance de la séduire et de lui faire oublier son copain en la voyant en vrai et en essayant de finir chez toi à la fin du rendez vous (ce qui se défend tout à fait, et qui me fait culpabiliser de t'avoir dit que moi ce n'est pas ce que je ferais, lol).

MAIS : vu que t'es prof, que vous vous êtes déjà parlé quelques fois, qu'elle te fait assez confiance pour te donner son numéro d'appart et tout, j'avais pensé que << montrer que tu es un mec normal, intéressant et intéressé, drôle et séxué... ainsi, si tu fais bien "le boulot" >> était déjà acquis.

J'aurais jamais proposé d'inviter une fille chez moi si je ne l'ai vu qu'une seule fois 5 minutes et qu'elle ne me connaissait pas avant ça, évidemment.

Enfin bref, le résultat nous à montré que finalement c'est peut-être pas la meilleure façon de faire d'inviter une fille, même si elle est dans notre résidence, directement chez soi.

Reste deux autres options :

1) Le rendez vous dans un lieu extérieur
2) Allez directement frapper chez elle et si la discussion prend bien, lui proposer directement de venir boire un verre chez nous tout de suite.

J'ai quand même envie d'essayer le 2) pour chacune de mes deux voisines :) (résultat à suivre dans mon journal)
By Sushi
#101006 [quote]Mais, l'insolente avait déjà commencé son petit jeu (emails insolents et habitude de venir me voir à chaque cours, le plus souvent, pour un truc bidon),

Ca me rappel une fille dans ma classe.

Elle passe son temps à essayer d'allumer les profs.
Un vieux prof (genre 50 ans) un peu bedonnant à mordu à l'hameçon.

Elle en rajoue. Dernièrement le prof a dit le mot "sperme". Et la fille à choisi ce moment là pour dire "monsieur vous pouvez répeter j'ai pas bien entendu". Le prof répète ses phrase, mais pas le mot sperme. Là, la fille insiste jusqu'à ce qu'il dise le mot (en disant "non mais pas ça, le reste" au moins deux fois).

Et souvent elle essaie d'attirer l'attenion du prof en posant des questions connes (c'est clairement juste pour attirer l'attention du prof) et en bougeant sur sa chaise d'une manière assez sexy.

Après, est-ce qu'elle veut vraiment se faire le prof ? Ou est-ce qu'ellle se contente de l'exciter pour "que le prof soit gentil avec elle" ? Si c'est le deuxième cas, ça rejoindrait un peu ce que t'a dis Stéphane, ce sont des manipulatrices.

Et sinon elle essaie de faire le même manège avec un autre prof plus jeune, mais ça ne marche pas, le prof reste de marbre.

[quote]D'autres étudiants, mais des hommes, ont manifesté leur emballement quant à ma façon de faire cours, quant à ma façon de voir les choses. Certains ont même décidé d'aller lire des auteurs qui sont pour moi des références... du coup, certains et certaines sont partis pour me rendre une dissertation dans la veine des références que je fais. Est-ce trop de parler d'une forme de fascination à mon égard ? peut-être...

Fascination, peut-être pas (restons humble ^^), mais une admiration/ volonté de devenir comme toi, oui c'est clair.

Dans ma classe, même chose on à un prof assez jeune plutôt très instruit et la plupart de mes camarades me dise "putain je veux être comme lui plus tard".
Et à titre personnel, j'ai déjà prévu de lire des livres de son auteur préféré (plus par fayottage que par admiration par contre ^^).
By Synchronn
#101008 Tu es en 6 ème?
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By wu-weï
#101066 Je comprends que le fait que des étudiantes te manisfestent des signes d'intérêt flatte ton ego.
Néanmoins, j'attire ton attention sur le fait que tu es enseignant et de ce fait, tu as une position prédominante par rapport à eux, un rapport de parent sociologique à enfant sociologique.

Tu représente "la figure du césar", l'autorité, l'exemple et à ce titre tes élèves sont sous ton autorité...et ta responsabilité!

Si tu recherches de l'aventure (sexuelle et de séduction), tu devrais la chercher ailleurs que parmis tes étudiantes et te confronter à "ce que tu vaux" dans la vie, en dehors de tes fonctions.

Avec ses étudiants, la séduction ne peut être QUE sociale.


Par ailleurs, les filles qui cherchent le plus à attirer ton attention (ou à t'allumer) sont les plus "dangereuses" en ce sens que, je ne te pense pas armé pour affronter une vraie manipulatrice et la gérer : ton envie, ton besoin sont trop importants pour savoir garder la distance qu'il te faudrait.

[quote="Réplique de Fast & Furious"]C'est pas parce que tu penses savoir boxer que tu peux monter sur le ring affronter Mohamed Ali.
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By wu-weï
#101067 Et puis, à leur (votre) âge, ce ne sont pas des louves.
Ce sont de jeunes femmes, insouciantes (sans soucis des conséquences pour toi), cruelles parfois, mais pas des louves.
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By Transcendantal
#101157 Aujourd'hui, c'était mon cours du mercredi. Malheureusement, c'était juste un atelier pratique fait par la bilbiothécaire, je n'ai donc fait qu'acte de présence. Parler devant tout le monde m'a manqué, si bien que ca a foutu en l'air toute ma journée : fatigue, manque de pêche, crispation, moral moyen... Mauvaise journée.

Mais il y a cette fille, qui loge sur le même étage que moi. Très belle, souriante. On s'est croisés deux-trois fois à l'étage, un peu parlé. La première fois, elle s'était présentée, divulguant son prénom, sans que je lui demande et sans que je dis le mien.
La semaine dernière, on se croise, un autre gars que je connais un peu (à qui j'ai parlé en premier) était aussi là. Je passe à la fille, lui demande ce qu'elle fait. Elle parle d'elle, j'intègre le gars dans la convers amorcée, et j'enchaine avec elle sur un sujet en rapport : elle semblait vouloir parler aussi (alors qu'elle était en train de bosser pour ses exams). Je prends ça comme un signe d'intérêt. A la fin, je lui demande son prénom (je le savais en fait), et je lui divulgue le mien. A cela, elle répond qu'elle le savait déjà... bien que je ne lui aie jamais dit directement comment je m'appelais.

Autre élément pris comme un signe d'intérêt. Aussi, je l'ai ajoutée sur facebook hier. Acceptation reçue dans les 10-20 min. Elle est célibataire. Je dois avoir un plan d'action.

Que me conseillez-vous ?
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By Transcendantal
#101168 Hier, à la piste d'athlé intérieure, je rencontre un entraineur qui est là chaque mercredi.
Cherchant un entraineur perso, je lui demande s'il fait des plans pour 10km et semi-marathon, et évidemment il est over-booked blabla. Dans la convers, il me demande mon temps sur le 10km de dimanche (37.23 :) ) puis mon record perso. C'était mon premier 10, et il s'en montre impressionné. Et comme par hasard, il conclut par un "Ce sera un plaisir de vous entrainer, mon cher".

Une dernière phrase plutôt positive. A suivre...
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By Transcendantal
#101230 [color=red][size=150]La caricature de l'intello[/size][/color]


Petit jogging de 12,5km ce soir. Grosses rafales de vent, 5 °C. Mais excellentes sensations.
Pendant ma sortie, j'ai pas pu m'empecher de repenser à l'époque du collège où j'étais la risée des copains (?) de classe en raison de mon très faible niveau en sport. Qu'est-ce que j'ai pu être pris pour un con... mais c'est fini, bien fini.

Prochaine étape : me trouver un entraineur, pour la motivation, le suivi, le "secouage de bretelles".

Et il y a cette fille à mon étage. Je ne sais tjs pas quoi faire pour la séduire...
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By Transcendantal
#101256 [color=red][size=150]Sport et masculinité[/size][/color]

Le sport est parmi ces choses de la vie grâce à laquelle peut se révéler l'Homme qui sommeille en tout timide.
Pratiquant le sport en dilettante de 10 à 26 ans, je n'ai jamais été à cette période un Homme.
Mais à présent, me voilà plongé au commencement du changement, au commencement de l'Homme vrai.