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Modérateurs: animal, Léo

By john dilinger
#177540 C'est exactement ça.

Enfin je nuancerais sur le fait que le seul moteur de cette gentillesse soit l'envie de sauter la personne. Je dirais que c'est plus général : c'est le plaisir de passer du temps avec une personne séduisante, que ce soit pour sa beauté, son charme, son attitude..
Il y a des mecs avec qui je préfère passer du temps, ne serait-ce que que parce qu'ils sont plus drôles, plus clean, ont plus d'aisance. Et je ne suis toujours pas gay.

De même qu'être une nana, être un mec beau ou intéressant t'attire plus de sympathie en société.
By jazzitup_
#177543 [quote]Il y a des mecs avec qui je préfère passer du temps, ne serait-ce que que parce qu'ils sont plus drôles, plus clean, ont plus d'aisance. Et je ne suis toujours pas gay.

+1. Y a des gens qui inspirent confiance spontanément, ils auront affaire à des gens sympathique. Un signe parmi d'autres: c'est toujours sur eux que ça tombe quand quelqu'un demande son chemin.

Y en a aussi qui projettent un truc négatif (aggressivité, que sais-je). Quand tu discutes avec eux des rencontres qu'ils font durant la semaine, t'as pas l'impression d'habiter la même ville qu'eux.

(Bien sûr, y a aussi l'effet "blondinette" dont parle mwu.)
By mwu
#177552 [quote="john dilinger"]l y a des mecs avec qui je préfère passer du temps, ne serait-ce que que parce qu'ils sont plus drôles, plus clean, ont plus d'aisance. Et je ne suis toujours pas gay.


Oui mais comme tu le fais remarqué : "il y a des mecs".

Les jeunes filles c'est très souvent leurs aspects physiques qui font que le monde est rose bisounours autour d'elles.

[quote="jazzitup_"] Y a des gens qui inspirent confiance spontanément, ils auront affaire à des gens sympathique. Un signe parmi d'autres: c'est toujours sur eux que ça tombe quand quelqu'un demande son chemin.

Ne pas oublié la dimension "danger potentiel" : Je suis plutôt doué pour aborder les femmes dans la rue, et l'une des raison dont je n'avais pas conscience avant que Stéphane ne la mette en évidence c'est que je n'inspire aucune crainte :D (Keyser Söze bonjour ) Je suis plus petit que la moyenne, mince, blanc, jeune avec un style un peu bcbg/négligé, les femmes et les gens en général ne font pas 3 pas en arrière si je les aborde. SI j'étais noir de 2m pour 120kg ca passerait moins je sens... ^^
By john dilinger
#177893 [size=150]Journal sportif[/size]

J'ai appliqué le programme que m'avait recommandé coug, à savoir faire les exercices de musculation jusqu'à l'échec, systématiquement.

Pour l'avoir commencé depuis 3 semaines, je vois déjà plusieurs effets bénéfiques apparaître :

- je me dépasse dans les exercices. Un poids que je ne pensais pouvoir soulever qu'en 6 répétitions, je peux aller jusqu'à 15. C'est le signe que je peux cranter d'avantage.

- je distingue de mieux en mieux trois phénomènes, que je confondais au début : la fatigue, l'épuisement et la douleur. La fatigue est psychologique, c'est l'envie d'arrêter par ennui ou manque d'énergie. L'épuisement est physique, c'est le point à partir duquel le muscle ne peut simplement plus répondre à l'ordre envoyé. La douleur, tout le monde sait ce que c'est, et elle intervient désormais plus couramment depuis que je suis le nouveau programme, mais on apprend à faire avec. Aller jusqu'à l'échec, c'est continuer malgré la fatigue ou la douleur, jusqu'au point où le muscle ne répond plus. J'ai compris l'expression d'un culturiste célèbre : "I have not finished when I'm tired, I have finished when I am done"

- je n'ai toujours pas le corps dessiné comme celui des mannequins d'Abercrombie, mais je me surprends dans le miroir à remarquer un corps nettement plus épais et plus tendu qu'avant. Ca prend forme petit à petit.

- les sensations internes sont différentes aussi. C'est difficile à expliquer, mais je décrivais cette sensation à Stan comme l'impression que "ce n'était plus mon corps qui portait mes muscles, mais mes muscles qui portaient mon corps". J'ai aussi l'impression de mes sentir plus juxtaposés, plus serrés entre eux.

Ah, et sinon les intermèdes de 30 secondes entre les exercices durant lesquels je fait un exercice intense (course sur tapis à 19 km/h ou sauts rapides et répétés sur une plateforme élévé à 50 cm du sol) me filent souvent la gerbe, le tournis, ou la proximité d'un arrêt cardiaque... Je sais pas trop quoi faire du coup, vu que c'est censé améliorer mon cardio mais mon corps ne le ressent pas de cette manière.
By James ex S
#177913 Plaisir de te lire.

[quote="john dilinger"]Ah, et sinon les intermèdes de 30 secondes entre les exercices durant lesquels je fait un exercice intense (course sur tapis à 19 km/h ou sauts rapides et répétés sur une plateforme élévé à 50 cm du sol) me filent souvent la gerbe, le tournis, ou la proximité d'un arrêt cardiaque... Je sais pas trop quoi faire du coup, vu que c'est censé améliorer mon cardio mais mon corps ne le ressent pas de cette manière.[*]
Réduit l'intensité de tes exercices intenses. Le but est d'éviter les longues pauses pour garder une intensité élevée pendant tes entrainement. Mais si tu bosses déjà à l'échec sur les exercices de muscu, il faut réduire un peu l'intensité de ce que tu fais entre deux. Parfois, le simple fait de bosser en superset ou en triset (enchainer deux ou trois exercices différents sans pause*) suffit largement à finir l'entrainement sur les rotules.

*Exemple pour les pectoraux: tu fais une série d'un exercice polyarticulaires comme le développé incliné avec haltères et tu enchaine directement sans pause avec une série d'un exercice d'isolation comme le [url=http://images.myfit.ca/cache/images/machineflyes_002.gif]peck deck[/url]. Tu diminues déjà bien ton temps de récupération sur tout l'entrainement et tu gardes une intensité élevée.
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By ref
#177915 Oui, attention, si tu as la gerbe à chaque fois, ça peut être très dangereux.
Se sentir un peu nauséeux à la fin d'une séance intense, ça peut arriver, mais lorsque ça devient constant c'est signe que ça va pas.
By john dilinger
#178336 Non, c'est de la BD blacksad, une BD que j'aime bien
By john dilinger
#178507 [size=150]Jet d'idées[/size]

Au travail, j'évolue parmi des personnes ayant entre environ 25 et 40 ans, avec une bonne moyenne à 30-32 ans.
Ca commence à faire des gosses partout autour de moi et je dois avouer que, même sans date de péremption comme ont les femmes, ça a quelque chose d'assez flippant.

Au milieu de tout ça il y a deux ou trois nanas, la trentaine, encore célibataires. Et on peut sentir que ça flippe grave.
Enfin, soyons honnête, j'ai pas eu besoin de sentir. Elles se sont confiées avec un brin de terreur dans les yeux durant une pause déjeuner.
Pourquoi les hommes n'en ont pas voulu ? Mystère... Sans être spécialement jolies, d'autres moins avantagées par la nature s'en sont déjà sortie avec un gosse. Rien de négatif du côté du caractère non plus...

Au travail il y a aussi un homme, particulièrement laid.
Pas le genre de laideur qu'on pourrait rationaliser en lui accordant un charme. Mais plutôt le genre de laideur qui doit être pénible à assumer au quotidien en société car on le remarquerait parmi tous s'il s'asseyait dans un café ou au restaurant.
Aucune bague au doigt non plus bien qu'il ait surement dépassé la trentaine.

Durant une de ces pauses déjeuner, une de ces 3 nanas a commencé à parler de lui aux autres femmes en le présentant ironiquement comme un "bon parti" parce qu'il avait une moto et qu'il savait cuisiner. Le ton évoquait évidemment la moquerie et une répugnance totale à l'idée de lui être mariée.
C'est typiquement ce mécanisme très humain d'élimination d'une angoisse en utilisant la force du mépris. L'angoisse c'est de rester seule, le mépris c'est pour l'option qui lui resterait si elle voulait vraiment ne pas rester seul, le worst-case-scenario, dont elle ne veut bien sûr surtout pas toucher.

Aucune d'elles ne s'est dit que s'il aimait particulièrement la moto, c'était peut-être pour pouvoir jouir d'une émotion à laquelle il avait au moins accès (la sensation de vitesse) tout en ayant l'occasion de se couvrir ce visage qui fait sursauter les gens.

Sans connaître en détails la vie sexuelle de celle qui s'était moquée, j'en connais assez pour savoir qu'elle a réussi à se taper 1 ou 2 collègues en mode très court terme, quand ceux-ci étaient trop avinés en soirée pour avoir les idées suffisamment claires.
Comme dirait Houellebecq dans Particules Elementaires, elle trouvera toujours des q***** pour la pénétrer, alors que l'homme dont je parle, ce n'est même pas sûr qu'il ait déjà perdu sa virginité.

[size=150]Vie perso[/size]

Aussi immoral que ça doit avoir l'air aux yeux des femmes, voire de certains hommes, il est vraiment agréable d'avoir plusieurs options, plusieurs amies charnelles (au moins deux), pour gérer cette énergie sexuelle.

A côté, il y a deux autres femmes avec qui j'aimerais conclure, mais je suis redevenu timide pour franchir les étapes. Je prends donc plus mon temps, ce qui n'est pas plus mal.

[size=150]Quattro formaggi[/size]

Il y a cette italienne, dont j'ai parlé sur un autre topic, qui m'avait agréablement surpris par son système de valeur.
(Contrairement à l'autre conne qui voulait me payer des cours de math avec des cafés, elle n'a jamais cherché à peser à la baisse pour obtenir de moi des cours de français, et avait préféré ne pas insister quand je lui ai dit que les cours en groupe (moins chers) n'étaient pas ouverts pour son niveau. J'avais donc proposé un échange de cours italien-français comme alternative pour pouvoir la voir. Elle m'avait encore montré son sens des valeurs en veillant par elle-même à ce que l'échange soit équitable, alors qu'au fond je m'en fichais d'apprendre l'italien avec elle.)

Petit à petit, j'ai réussi à la voir à plusieurs occasions, à poser mes pions.
Récemment, je l'avais invité à un très bon restaurant italien. (C'est cliché d'y inviter une italienne, je le sais, mais elle n'arrêtait pas de me dire qu'elle voulait dévorer une bonne pizza !)
Je ne lui ai donné aucun conseil sur sa manière de s’apprêter. Elle est venue avec un joli haut blanc sans manche d'aspect soyeux, qui se boutonnait au niveau du cou mais se rouvrait juste en dessous pour se refermer de justesse au niveau de la poitrine. Ca plus un rouge à lèvre bien rouge vif.* Mais par contre... des converses.
Bah ! Dans cette ville espagnole, des talons auraient été trop chargés émotionnellement ^^
J'ai pas eu besoin d'insister très longtemps pour lui offrir la note, elle me paiera la prochaine comme je lui ai dit.

A la fin du repas, en la raccompagnant jusqu'au métro, je n'ai pas osé. Elle semblait faire durer la discussion pourtant... Je ne sais pas.
Soit je m'imagine des choses et ça va finir avec une tarte sur la gueule (sans parmigiano celle-là), soit elle attend et il ne me reste plus qu'une dernière chance : lorsqu'elle m'invitera. Elle m'a demandé ce que je faisais ce weekend d'ailleurs.

* Bon sang, quand j'y pense ça pue vachement le drapeau vert ces indices-là, non ?

[size=150]Poutine exotique[/size]

J'ai rencontré celle-là dans l'avion. On partait en vacances au même endroit, mais elle continuait en tour d'Europe. Forcément, c'est une Canadienne : l'Europe, toute l'Europe, la fascine.
C'est une très jolie Noire. Elle était habillée comme un sac quand on s'est rencontrés mais ça se voyait déjà qu'elle était jolie. Mais c'est quand j'ai vu des photos facebook d'elle apprêtée, maquillée, coiffée, que j'ai été sur le cul.

Très sympa et agréable d'ailleurs. Toujours prête à rire.
Malgré son tour d'Europe, on a eu l'occasion de visiter la ville dans laquelle Stan et moi nous restions. Le problème c'est que ça s'est terminé en bonne bande de potes. Aucune tension ni ambiguïté palpable.

De retour dans ma ville, dans laquelle elle et moi habitons, j'ai eu l'occasion de l'inviter à une fête, à laquelle elle est venue sans problème.
C'est très récemment, lorsque je lui ai proposé de prendre un verre en ville, que j'ai compris que c'était mort :
[quote]Je pensais que ça allait être une soirée avec tes amis de l'autre fois non ? :)

Ahah... bon, tant pis.
By Estrelinha
#178517 [quote="john dilinger"]

Au travail, j'évolue parmi des personnes ayant entre environ 25 et 40 ans, avec une bonne moyenne à 30-32 ans.
Ca commence à faire des gosses partout autour de moi et je dois avouer que, même sans date de péremption comme ont les femmes, ça a quelque chose d'assez flippant.

Au milieu de tout ça il y a deux ou trois nanas, la trentaine, encore célibataires. Et on peut sentir que ça flippe grave.
Enfin, soyons honnête, j'ai pas eu besoin de sentir. Elles se sont confiées avec un brin de terreur dans les yeux durant une pause déjeuner.
Pourquoi les hommes n'en ont pas voulu ? Mystère... Sans être spécialement jolies, d'autres moins avantagées par la nature s'en sont déjà sortie avec un gosse. Rien de négatif du côté du caractère non plus...


Si tu veux mettre le feu à ton boulot et t'ostraciser complètement auprès des femmes de ton travail (donc de tout le monde), tu peux faire lire ces deux ou trois nanas, l'histoire de leur vie qu'un certain Simon a cérit sur un autre topic:

[quote="Simon"]C'est l'offre et la demande qui crée cet état de déséquilibre.

Les femmes sursollicitées par les hommes ont le sentiment d'avoir l'embarras du choix. Elles attrapent un égo bien surdimensionné par les multiples propositions dont elles font l'objet. Un égo qui ne correspond pas à leur valeur réelle.

Du coup elles ne se posent d'ailleurs plus la question de ce qu'elles peuvent apporter à un homme, vu qu'elles pensent que le fait qu'elles croulent les propositions signifie qu'elles n'auront aucun mal à se trouver un mec "parfait" avec qui construire.

Elles ont ensuite tendance à toujours chercher mieux (insatisfaction infantile) et à se défaire des mecs de leur niveau, pensant qu'ils ne sont pas assez bien. Elles iront même jusqu'à se défaire de mecs au dessus d'eux.
Ajoutez à cela m'idéologie liberale-libertaire. Savoureux cocktail.

Puis elles vont tomber sur des mecs encore au dessus mais qui après les premiers rapports sexuels ne trouveront pas d'autre intérêt à rester avec.

Les années passent, le temps a fait son effet.

Le mec de son niveau s'est casé avec moins bien que lui, le mec au dessus avec une fille plus proche de son niveau. Reste les mecs en dessous. Elle n'a plus le choix.

Je spécule un peu peut-être. :)


[quote="john dilinger"]
* Bon sang, quand j'y pense ça pue vachement le drapeau vert ces indices-là, non ?


Cela pue vachement l'occasion manquée bêtement! :mrgreen:
By Simon
#178520 Du reste ça doit être lié à plusieurs choses. Tout d'abord au marketing qui s'applique aux relations hommes/femmes, on recherche le produit parfait. Avant on était bien plus pragmatique, on prenait quelqu'un de pas trop mal et y on allait parce qu'on avait pas l'illusion du choix infini. On se savait limité et puis on avait pas des envies irréalistes.

Aujourd'hui qu'est-ce qui nous limite dans la recherche infinie ?

Pour les femmes la peur de ne pas pouvoir avoir de gosse, l'horloge biologique.

Pour les hommes la peur de la pénurie de sexe.

Ce sont les deux principaux moteurs des relations par défaut. Relations basées sur les peurs internes et qui éclatent à la première tentation d'un mieux qui apparaît.

On peut imaginer que les femmes en question vont se trouver un bon mâle bêta mou et gentillet avec un peu de ressource. Quelques gosses et cinq ans plus tard, divorce et compagnie. Vu qu'elles ne dépendent pas des mecs financièrement parlant, elles n'ont pas cet argument (de poids) qui les oblige à rester.
By Simon
#178521 Quelque part les filles très F sont bien plus pragmatiques dans leurs démarches. Elles savent comment faire fructifier leur capital féminin, car c'est à l'âge où elles sont au top de leur féminité qu'elles appâtent le larron.

Les filles plus centrées sur leurs carrières se retrouvent à 30 ans célibataires alors qu'elles sont déjà sur la piste descendante.

Ce qui est d'ailleurs la stratégie optimale pour un mec. Avoir à 30 ans une bonne situation, quitte à avoir sacrifié une partie de ses 20 ans en ayant bossé plutôt qu'en ayant chassé à tout va. Si on pense long terme.

Conclusion : les jeunes bossez. Je ne pense pas me tromper en disant que le meilleur âge pour un mec c'est 30-40 ans. C'est là que tu ramasses les filles de 20-25 qui étaient alors inaccessibles.
By James ex S
#178533 [quote="Simon"]Conclusion : les jeunes bossez. Je ne pense pas me tromper en disant que le meilleur âge pour un mec c'est 30-40 ans. C'est là que tu ramasses les filles de 20-25 qui étaient alors inaccessibles.
Oh oui, encore plus chez les étudiantes avec peu de moyens.
J'évolue toute la journée avec des filles de 22 à 27 qui passent leur temps à minauder auprès des hommes de 30 ans et + pour s'évader de cet enfer urbano-éstudiantin fait de journées de cours, de chambre de bonne et soirées en biblio.
Certaines vivent avec leur mec, totalement à leurs frais bien sûr. Les autres se contentent de se faire emmener en week-end (Rome, Londres, ou les stations de ski de luxe...).
Je suis impressionné de voir qu'elles sont nombreuses à avoir des critères d'âges très précis et qu'il leur est impossible d'envisager quoi que ce soit avec un homme de 23-24 ans.