- Mer Jan 27, 2016 1:33 am
#176480
Messaoud, il me semble qu'on t'a vachement lavé le cerveau avec la propagande officielle féminine (je lui ai tout donné, un grand homme ne serait rien sans une femme à ses côtés, tout ça, tout ça)
[quote]Elle lui a donné deux enfants,
Il les lui a donné aussi, non ?
Qui te dit que ce n'était pas elle qui voulait absolument en avoir ?
[quote] sa confiance
Ahahah je rêve. Sa confiance ? C'était gratuit.
Vue la famille d'où elle vient, si le père Chirac se cassait la gueule, elle pouvait rebondir comme elle voulait.
Par contre, si il réussissait, elle gagnait une belle fierté d'avoir épousé un des présidents de la France.
C'est donc lui qui lui a donné la fierté.
[quote] et une stabilité.
Pareil, c'était gratuit.
[quote]Elle fermait les yeux quand il la trompait, et il y allait, tout le monde le sait.
Les maîtresses ont dû négocié de nombreuses fois qu'il la lâche. Femme de président, c'est une place pour laquelle nombreuses celles qui ont dû se battre.
Il lui a donc donné sa "fidélité" en ne la larguant pas pour une autre
(J'exagère évidemment, on sait bien que ça lui aurait trop coûté du point de vue du réseau s'il l'avait lâchée)
[quote] Elle l'a encouragé dans sa carrière.
Gratuit.
Et peut-on vraiment voir le réseau de Bernadette comme un don quand, à mon humble avis, c'est lui qui l'a choisi.
Le beau gosse qu'il était et qui s'envoyait qui il voulait, lui proposant un mariage à elle.
Enfin, regardez les photos de Bernadette quand elle était jeune.
D'ailleurs :
[quote]l arrive que Chirac tombe amoureux pour de bon. Il lui arrive même – en dépit du président Pompidou, qui lui rappelle la sacro-sainte règle pour un ambitieux politique : « jamais le divorce ! » – de promettre le mariage à l’une de ses conquêtes. Ce sera le cas, Pompidou décédé et son successeur, Giscard, ayant nommé son « poulain » Chirac Premier ministre, avec une journaliste du Figaro. De grands yeux gris, une bouche enfantine, la blonde Jacqueline Chabridon a le cœur à gauche. Elle est aussi sexy que Bernadette est austère. Son journal l’envoie en Corrèze faire un portrait du jeune Premier ministre. C’est un coup de foudre. Il lui écrit des billets enflammés, loue un appartement proche de Matignon pour l’y rejoindre, la veut près de lui sans cesse, y compris, devant Bernadette, dans un voyage officiel en Inde. D’abord éperdue de chagrin et de jalousie, cette dernière décide de résister. « Souvenez-vous, lance-t-elle à son mari, le jour où Napoléon a abandonné Joséphine, il a tout perdu ! »
Elle va trouver un appui auprès des mentors de son mari, qui veulent faire de lui le chef d’un mouvement bonapartiste, cabré contre la vision européenne et libérale du président Giscard. Charles Pasqua, qui participe alors à leurs réunions de fin d’après-midi autour d’un whisky, décrit le Chirac des années 1970-1980 comme un superbe étalon en liberté. « Nous avons tenté de refréner ses ardeurs. Notre rôle était de l’aider à tenir son rang. En même temps, nous devions faire en sorte que le cheval ne se débarrasse pas de sa bride… Lui protestait : “Mais il faut bien que je vive !” » Le trio se répartit les tâches. Avec un sourire en coin, Pasqua se souvient : « Nous avons fait récupérer ses lettres d’amour… » (au domicile de la journaliste). De son côté, Marie-France Garaud met en garde Bernadette : la femme d’un homme qui aspire aux plus hautes fonctions doit se montrer davantage auprès de lui. Puis, elle convoque la journaliste : il en va de « l’avenir de la France » ! Sous la pression, le couple finit par céder. C’est la rupture déchirante de Titus et Bérénice. « Dans un mois, dans un an, Seigneur, comment souffrirons-nous… ? » Bérénice est hospitalisée, après une tentative de suicide. Titus, lui, poursuivra son ascension vers le trône.
[url=http://www.leparisien.fr/magazine/grand-angle/jacques-chirac-un-indomptable-appetit-de-vie-06-08-2014-4049873.php]Source[/url]
[quote]C'est très au dessus de ce que je peux avoir, ici et maintenant.
Si c'est ce que tu penses, ça m'attriste pour toi.
De mon côté, je sais que toute tentative de long terme avec une femme qui demande plus que ce qu'elle peut m'apporter ne sera pas possible. Je péterai un cable avant.
J'ai eu le cas récemment avec une espagnole. Je me suis rendu compte au bout de la 4e ou 5e fois qu'on se voyait qu'elle avait un degré humour zero sur l'égalité homme-femme. Par contre effectivement, elle était cohérent car voulait payer un rendez-vous sur deux.
Mais quel malaise sur le long terme ça aurait été...
La fille typique qui achète Zara mais pleure les conditions de travail du tiers-monde, pro adoption homo mais incapable d'imaginer le commerce d'enfants ou des ventres de femme loués, etc...
Par contre, je pense de plus en plus sérieusement à suivre une relation avec une... Polonaise (bah voyons) qui combine de nombreuses qualités : jolie, cohérente, pas du genre à tomber dans l'émotionnel ou la bien-pensance à tour de bras (du moins, au début si, mais au moins on peut débattre), ...
Ca fait un bail que je ne suis plus à Paris mais je comprends tout à fait que les hommes qui vivent dans la ville ou alentours en viennent à baisser leurs critères.
Pour moi il n'y pas d'autres solutions que :
- MGOTOW (merci à mwu de m'avoir fait connaître le concept et le site) : c'est-à-dire continuer à avoir des relations courtes mais sans se prendre la tête
- ou une femme avec un reste de valeurs de VRAI soutien (et pas que "je lui ai donné 20 ans de ma vie"
), et effectivement il est plus probable de trouver ces filles-là à l'étranger (Amérique du Sud, Europe de l'Est, ...)
Se mettre en couple avec une femme parce qu'on a baissé ses critères et qu'on s'est résigné à accepter une chieuse ingrate... ça ne me parait pas une bonne solution à long terme.
Si tu peux être amant sans être fou d'amour,
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre
[...]
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi ;
[...]
Tu seras un Homme, mon fils.