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Modérateurs: animal, Léo

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By la mouche
#157405 C'est ce que j'ai pensé, mais elle fait un ensemble d'activités très chargées avec cette personne: en couple à la mer pendant plusieurs jours, pas mal de soirées en amoureux... Pas trop le profil d'une relation à la con. Mais je l'ai déjà surpris à avoir un comportement nostalgique: volonté de recréer certains instants (pendant qu'on était ensemble). Peut être que sa relation actuelle est entièrement nostalgique (la première fois qu'on s'est embrassé c'était sur une plage...).

Son côté H l'empêchera de m'avouer son intérêt, elle a une sorte de fierté masculine. Mais à la prochaine soirée arrosée je pense que j'aurais des signes. Ou lorsque ma relation actuelle se terminera.

Quand tu dis qu'elle t'avait encore dans la tête. Elle te l'a avoué texto ou c'est la simple reprise de contacts, ainsi que le dénigrement qu'elle manifeste à l'égard de son mec, qui te fait dire ça? Intéressant dans tout les cas. Tu qualifierais cette fille de très F? de très H?
By john dilinger
#157428 [quote="la mouche"]C'est ce que j'ai pensé, mais elle fait un ensemble d'activités très chargées avec cette personne: en couple à la mer pendant plusieurs jours, pas mal de soirées en amoureux... Pas trop le profil d'une relation à la con.
Ce n'est absolument pas contradictoire.
Il ne faut pas croire que, parce qu'elle s'en fout un peu, elle ne va pas faire toutes les activités "de couple" avec lui.
C'est ce qu'elle recherche le statut de couple. Ne pas se retrouver comme une conne à qui on n’envoie aucun texto à la saint-valentin.

Pour nous les mecs, enfin c'est mon cas et c'est peut-être le tien, quand une fille ne nous intéresse pas au niveau sentimental, on s'en fout de la présenter aux potes, on s'en fout de faire des "repas en amoureux", on n'en a pas vraiment envie parce qu'on sentirait la dissonance.

Elles, si le mec ne les intéresse pas, le statut les intéresse quand même.

[quote="la mouche"]Son côté H l'empêchera de m'avouer son intérêt, elle a une sorte de fierté masculine. Mais à la prochaine soirée arrosée je pense que j'aurais des signes. Ou lorsque ma relation actuelle se terminera.
Ce qui est sûr, c'est qu'elle doit beaucoup plus se prendre la tête à ton sujet que tu ne le fais au sien.
Mais ne te mens pas non plus à toi-même, par empathie pour elle. Si tu n'as pas voulu t'investir avec elle, tu n'en auras pas envie dans 2 mois.

[quote="la mouche"]Quand tu dis qu'elle t'avait encore dans la tête. Elle te l'a avoué texto ou c'est la simple reprise de contacts, ainsi que le dénigrement qu'elle manifeste à l'égard de son mec, qui te fait dire ça? Intéressant dans tout les cas. Tu qualifierais cette fille de très F? de très H?
Ah non non, elle me l'a dit au téléphone, qu'elle voulait qu'on se revoit et tutti quanti.
Mais cette fille est tarée.
Très F mais surtout très immature.
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By la mouche
#157430 Je viens de repenser à un truc, qui m'a pas fait tilter sur le moment et qui te donnes raison: lors d'une conversation auquel j'assistai avec elle et une de ses copines, elle a qualifié son copain actuel d' "ami" en parlant des vacances qu'ils ont passé ensemble. Lorsqu'on est ensemble elle parle du mec en question par son prénom, mais le mot "copain" n'a jamais traversé ses lèvres. Ce serait classique dans un embryon de relation mais vu le potentiel de ce qu'ils ont vécu ensemble, si il lui plaisait, leur relation serait à un haut niveau et elle le qualifierait surement pas d'ami.


[quote="john dilinger"]Pour nous les mecs, enfin c'est mon cas et c'est peut-être le tien, quand une fille ne nous intéresse pas au niveau sentimental, on s'en fout de la présenter aux potes, on s'en fout de faire des "repas en amoureux", on n'en a pas vraiment envie parce qu'on sentirait la dissonance.
Entièrement d'accord!


[quote="john dilinger"]Elles, si le mec ne les intéresse pas, le statut les intéresse quand même.
Etre amoureuse de l'idée de l'amour... Je pense aussi qu'après notre relation, le côté amoureux transi du mec en question doit avoir un côté plaisant.


[quote="john dilinger"]Mais ne te mens pas non plus à toi-même, par empathie pour elle. Si tu n'as pas voulu t'investir avec elle, tu n'en auras pas envie dans 2 mois.
Merci de me remettre les pieds sur terre. L'idée commençait à me séduire, mon côté féminin qui ressort (elle me désire donc je la désire) stupidement.
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By la mouche
#158799 Ca fait un bout de temps que je n'ai pas posté.

Manque de temps, manque d'envie. J'ai remarqué que plus j'écrivais, moins j'avais envie de communiquer avec les gens. Les films sont toujours mieux que le réel, du moins, quand on les écrit et qu'on y est immergé jusqu'à ressentir certaines émotions.

J'ai expérimenté les mois derniers quelques chose que je n'avais pas connu depuis longtemps: la fatigue mentale d'être toujours occupé. Un peu comme si ma vie de tout les jours était des croix sur une to do list. J'y prends plaisir, j'avance dans mon travail comme rarement, mais je ressens une profonde impression d'épuisement. Un épuisement qui est là au réveil. Une tension mentale énorme, comme si le cerveau, en route, ne pouvait pas ne pas fonctionner. Cet état ressemble à une obsession amoureuse par moment, sauf qu'il se projette sur l'intégralité de la vie environnante et tourne en rond avec la même inefficacité.

J'ai intensifié le sport, me disant que ça me viderait la tête. 2h de boxe devrait me calmer, j'en ressors épuisé et puis le travail de mes ouvriers cérébraux reprend. Je n'arrive même plus à les diriger maintenant, trop de fatigue. Avec la fatigue vient le manque de plaisir au chose, la frustration de ne plus travailler aussi vite, les réveils trop tard parce que l'on sent que la matinée va être hostile. Bref, une période de merde.

Quelqu'un a-t-il déjà ressenti cet état de surexploitation mental qui s'achève dans un blow out?
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By Albert
#158805 [quote]J'ai intensifié le sport, me disant que ça me viderait la tête. 2h de boxe devrait me calmer, j'en ressors épuisé et puis le travail de mes ouvriers cérébraux reprend. Je n'arrive même plus à les diriger maintenant, trop de fatigue. Avec la fatigue vient le manque de plaisir au chose, la frustration de ne plus travailler aussi vite, les réveils trop tard parce que l'on sent que la matinée va être hostile. Bref, une période de merde.


On ne choisit pas les périodes de creux. Par contre, tu peux choisir le rythme que tu vas mettre dans ta vie pour te sortir de là (cf séminaire énergie). As-tu une activité, quelque chose que tu as envie de faire en ce moment mais qui suppose de sortir de ta zone de confort, en d'autres mots, qui nécessite de surpasser une peur quelconque?
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By la mouche
#158807 Bien vu,
Peut être que ma saturation actuelle vient d'un sentiment (pas forcément annexé au réel) de routine. La seule chose pour lequel je me sens en éveil est comme par hasard une expérience d'écriture inédite, sans assurance de succès et sans chemin tracé. Le reste ce sont des chantiers commencés l'année dernière, qui marchent bien mais un peu sur les mêmes recettes. Peut être que je devrais faire ce qu'à fait animal (intégrer la vidéo en plus de la photo dans ses offres, et donc, étendre son domaine de savoirs) à partir de ses bases solides, c'est la principale mise en danger intéressante que je vois pour l'instant.

La solution à court terme que je peux mettre en place, c'est donner à cette expérience d'écriture un peu plus de temps, ça me mettra en route pour la suite.

Merci Albert :wink:
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By la mouche
#159865 Depuis mon dernier post, il y a presque exactement un mois, j'ai poussé le bouchon un peu plus loin. Comme souvent dans ces cas là, une décision que l'on prend que dans une sphère de sa vie, devient une décision totale, de tout l'être. Ca fout un sacré bordel d'être complètement en chantier :mrgreen:

Je suis reparti à marche forcée, puis à pas légers, ça paie, tout ce que j'ai relancé m'amuse beaucoup. J'ai réduit mes engagements vis à vis de quelques personnes, certaines activités chronophages (la boxe 4h/semaine c'est suffisant) et ça donne un emploi du temps sympa.

Devant ce changement, qui a finit par transparaitre, on est questionné (pas forcément de manière négative). Il faut sans cesse justifier son existence, justifier les raisons de ses choix, justifier jusqu'à sa personnalité. "Mais pourquoi tu fais ça?" "Pourquoi soudainement tu ...?" "T'es sur que ça va?" (cette dernière question, les trois quarts du temps, veut dire: "Je ne veux pas que tu te sentes bien parce que ça m'obligerait à prendre mes responsabilités, alors laisses moi savourer le moindre échantillon de ton malheur, ou de l'inventer si il n'existe pas en quantité suffisante"). Dans ce genre de changement, on reconnait les amis, des potes. Les potes demandent les raisons, les amis les connaissent et sourient.

Ces nouveaux défis réveillent la sexualité de manière imprévue. Je me suis retrouvé, à 21h, à mon Monoprix, à parler avec une charmante caissière, étudiante en lettres. J'ai pris un vent, mais c'était une première fois inattendue (séduire une caissière, pas prendre un râteau).
La vie devrait être tout le temps comme ça, inattendue.
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By la mouche
#161075 De nouveau, le célibat, la durée de mes relations baissent de plus en plus. James disait qu'il était homme à relation longue, c'était mon cas, non pas par désir, mais par doute sur mes qualités et mon potentiel de séduction.

Je cherche à rebondir, j'ai déclenché la rupture, donc il n'y a qu'un reste de culpabilité, mais les dernières semaines de la relation ont été pénible. J'avais besoin qu'elle me pousse à bout pour finir la relation, c'est un peu lâche, mais je n'y parviens pas d'une autre manière, j'ai la nostalgie du corps.

Je l'ai rencontré dans un des mes cercles, il y a près d'un an. Je n'ai pas fait attention jusqu'alors, mais au sortir d'une relation, je fais toujours des compromis avec mes standards, et puis on est tenté, rien que parce qu'elle ne ressemble pas à celle que l'on a quitté. C'est le prétexte pour vivre et raconter une nouvelle histoire.

Une soirée, tout le monde a doucement bu, mais ça reste raisonnable, juste ce qu'il faut de lumière calme et de langue relâchée pour avoir cette ambiance de gaieté moqueuse. Elle sait que je ne suis plus avec C. et s'assied à mes côtés sur le canapé. Je n'ai aucun effort à faire pour sexuer la conversation, elle m'offre des sujets d'ambiguité.

[quote]Elle: je pensais qu'il y aurait des potins, que tu allais coucher avec F. (une autre fille, qui m'avait dragué de manière assez lourde deux semaines auparavant)
Moi: Qu'est-ce qu'il t'a fait croire ça?
Elle: Vous aviez l'air assez proche.
Moi: Oui, peut être.
Elle: Alors? Qu'est-ce qui s'est passé?
Moi: Si avant tu m'expliquais pourquoi tu as rien fait avec D. Il avait l'air de ta plaire aussi
Elle. D.? Non, c'est juste un ami
Moi: Avec qui t'as couché (j'en savais rien, c'était un pari)
Elle: Non, non
Moi: (silencieux, je la regarde pendant quelques secondes)
Moi: Ca restera entre nous
Elle: Non. Vraiment, j'aurais jamais couché avec lui.

D'ailleurs, j'ai une question, dans ce genre de cas, que vaut-il mieux répondre? J'avait pas d'idée précise donc j'ai changé le sujet mais il y a surement d'autre alternatives:
1) Dire franco que l'autre fille ne nous intéresse pas. si la fille a le niveau d'intérêt suffisant, ça l'incitera à approcher. Mais on perd tout un potentiel de fun et d'ambiguité.
2) Changer de sujet/ne pas répondre. Ca peut faire un peu peur, la fille s'est déjà mis dans un léger état d'insécurité en montrant son intérêt, c'est peut être dangereux de trop jouer.
3) badiner quelques secondes et l'embrasser

question numéro 2: A quel échelle de niveau d'intérêt vous situez cette interaction? (Notre interaction avant était de l'ordre du copinage sexuée)
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By ref
#161127 [quote="la mouche"]
D'ailleurs, j'ai une question, dans ce genre de cas, que vaut-il mieux répondre? J'avait pas d'idée précise donc j'ai changé le sujet mais il y a surement d'autre alternatives:
1) Dire franco que l'autre fille ne nous intéresse pas. si la fille a le niveau d'intérêt suffisant, ça l'incitera à approcher. Mais on perd tout un potentiel de fun et d'ambiguité.
2) Changer de sujet/ne pas répondre. Ca peut faire un peu peur, la fille s'est déjà mis dans un léger état d'insécurité en montrant son intérêt, c'est peut être dangereux de trop jouer.
3) badiner quelques secondes et l'embrasser

question numéro 2: A quel échelle de niveau d'intérêt vous situez cette interaction? (Notre interaction avant était de l'ordre du copinage sexuée)

Tu oublies une possibilité importante que j'aime manier en général. Accentuer le doute. Comme cela a été dit ici, la nature a horreur du vide, parfois ça a du bon de la laisser le combler de la manière dont elle l'entend. Ça peut créer une situation assez stimulante de mélange de légère jalousie, de fantasme, de défi.

Ma phrase préférée: "tu veux pas savoir", prononcée évidemment avec un petit sourire en coin. :mrgreen:

Selon moi, niveau d'intérêt assez prononcé pour conclure sans trop de difficulté, mais dur à dire comme ça, sans voir de quelle manière elle est assise, la tonalité de la voix... etc.
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By DancingRonin
#161153 +1 avec ref. Changer de sujet coupe une escalade dans laquelle vous auriez pu jouer ensemble. Tu peux t'engouffrer dans la brèche avec une assurance et une désinvolture qu'elle a l'air d'attendre au lieu de toi.

Par exemple, si elle te connait suffisamment pour savoir que tu fais du 2nd degré, en disant que tu rentres dans les ordres et que tu fais vœux d’abstinence, ou à l'inverse que coucher avec une seule fille t'ennuie maintenant (seulement si elle te connait assez pour savoir que c'est du 2nd degré)

Il serait intéressant de savoir, à quelle fréquence et avec quelle profondeur (sans jeu de mots, coquinou) vous discutez ensemble habituellement.
Cela permettrait de mesure la distance qu'elle a parcouru entre ce niveau-là, et le fait qu'elle décide de rentrer dans ton intimité à ce point. Et quand je parle de distance parcourue elle est à la fois physique (ELLE s'est assise à côté de toi) et abstraite (ELLE rentre dans ton intimité).

Dernier point qui selon moi est déjà à la base un gros signe d'intérêt.
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By la mouche
#161158 temps de réponse à mon dernier sms: 10secondes. Un sms parfait: elle est ok pour que l'on se voit et ponctue la fin de son message d'un faux froid qui est une petite défense mignonne (un peu gênée d'avoir dit oui trop vite).
Désolé, je peux pas vous le mettre, y a un peu trop d'infos persos.

@ DR:
On a déjà pas mal discuté ensemble. Mais c'est la première fois qu'elle me pose une question aussi directe, personnelle, concrète (on parle pas de genre de filles, on parle d'une fille, d'une situation partagée). J'ai eu un grand sourire intérieur quand elle a ouvert ce nouveau sujet.

Mais il y a une teneur dans la question, qui fait que même si j'ai changé de sujet, j'ai finit par y retourner pour répondre. J'ai eu l'impression que la question contenait quelques chose d'autre: je suis connu dans ce cercle sociale pour sortir avec des filles plus jeunes et ça finit rapidement et souvent violemment pour elles (j'ai un sérieux problème à me risquer émotionnellement).
J'ai arrêté il y a quelques mois ce mode de relation et j'ai l'impression qu'elle cherchait à vérifier que j'avais passé cette étape, puisque c'est une fille qui est plus dans la relation longue. Impression renforcée par le fait que la fille dont on parlait correspond tout à fait à mon ancien genre de fille. Dans ce cas, je crois qu'il est mieux d'être clair au moins sur cette question, parce que la subsistance de doute à ce niveau s'alimentera du moindre signe favorable et pourra être destructrice.
Un petit retour du secret agenda?
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By DancingRonin
#161163 [quote]Elle: je pensais qu'il y aurait des potins, que tu allais coucher avec F. (une autre fille, qui m'avait dragué de manière assez lourde deux semaines auparavant)

Elle: Vous aviez l'air assez proche.

Elle: Alors? Qu'est-ce qui s'est passé?

Je pensais à la base qu'elle voulait du léger. Mais le registre est quand même très sentimental pour quelqu'un qui veut juste coucher.

Je pense comme toi, elle a essayé d'avancer masqué sur le thème de la légèreté, alors qu'en réalité elle cherche à te sonder.
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By la mouche
#167051 J'en peux plus des filles.

Quand je dis aux gens que je fais du cinéma, la première réaction c'était: "c'est cool, tu as vu le film machin", et la deuxième réaction, (venant souvent des ingénieurs) c'était "y a plein de nanas là dedans".

Oui. C'est vrai. Et c'est insupportable à la longue.

Quand vous avez un tissu féminin aussi dense, dans un cursus aussi engageant que le cinéma, ça devient vite ingérable.

Dire un mot à une fille, c'est le dire à toute.
Mal-traiter une femme, c'est être jugé par toute.
Avoir un coup d'un soir avec un fille, c'est devenir monsieur coup-d'un-soir.

Et essayer de rester sexué au milieu de tout ça. On peut badiner, discuter de choses et d'autres... Mais au bout d'un temps, c'est épuisant de discuter de cinéma avec des gens qui savent pas ce qu'est un ISO, une température de couleur ou que sais-je encore. A force, je deviens hostile, je me renferme sur moi, je prépare les concours pour aller dans une école qui me donnera la technicité que je veux (et enlèvera l'artistique...), je discute de moins en moins avec les gens de la promo, je me suicide socialement en couchant de tout les côtés, la terre brûlée on pourrait appeler ça.
C'est fou de voir à quel point on est vite oublié, surtout des femmes.

Cette période de transition est assez complexe, entre l'Italie l'année prochaine, la préparation des concours, le prochain film que je prépare qui est de loin mon film le plus ambitieux, le nouveau départ que j'aimerais rentabiliser au mieux (mais ça prend du temps de soirée ;) ). D'un côté, je suis effrayé par cette masse de choses à faire, dont je doute parfois lors des moments de fatigues, à coup de "à quoi bon?", de l'autre, je suis excité parce que tout ça me plait, tout ça correspond à ce que je veux devenir.

Bref, un bordel. Que j'ai pas envie de relire, désolé pour vos yeux.
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By Dje
#167057 Il faut avoir vécu le sexué permanent pour réaliser à quel point c'est épuisant.

Je compatis.
By JulienH
#167114 En tant qu'ancien coiffeur j'ai (sur)vécu également dans un milieu quasi exclusivement féminin (collègues comme clientèle).

Il y a aussi beaucoup de gays. Et ce qui est drôle c'est qu'une bonne partie d'entre eux fréquentaient des femmes avant de passer de l'autre côté. Certains avaient des enfants. Et ils sont aussi très souvent (et profondément) misogynes. Se sont-ils dégoûtés des femmes à force de les côtoyer partout et tout le temps ? C'est ce qu'ils m'ont dit.

Je n'ai jamais su s'ils étaient sincères ou s'ils essayaient de me convertir en loucedé :roll: