- Sam Juil 23, 2016 9:57 am
#179752
Une conversation au boulot, un vendredi soir, à l'heure où l'on commence à agir comme si on était déjà en week-end et où le rythme se détend.
Je me retrouve, pendant la pause clope des autres, avec l'une des deux filles de la boîte (dans laquelle il y a 13 mecs, 2 nana). C'est pas mon genre, mais dans cette ambiance de mecs (c'est une start-up, moitié commerciaux, moitié développeurs) j'apprécie sa compagnie qui me permet d'exprimer mon côté F, même si elle doit avoir un bon 40% de H.
J'avais déjà un peu flirté avec elle lors d'un afterwork et je ne fais pas grand effort pour résister à cette inclinaison.
Au bout de quelques minutes:
Elle: J'aime le Japon, d'ailleurs mon copain est japonais
Moi: Il est à Paris
Elle: Honk Hong
Moi: (je me marre) Donc que je résume, tu travailles dans une start-up en faisant du 10h-20h en moyenne 5jours/semaine, sans congés (elle est en stage), et tu es maqué à un mec qui vit à 8000km? C'est quand la dernière fois que vous vous êtes vu?
Elle: Au Mexique
Moi: C'était il y a quoi? Un an au moins je parie.
Elle: Oui
Moi: (sourire) Ok, donc t'es pas plus maqué que moi
Elle: C'est une relation libre. On se voit pendant les vacances et le reste du temps on fait un peu ce que l'on veut.
Moi: (je me marre) Sur quelle planète ce que tu décris est une relation de couple?
Elle: (elle se marre) C'est une relation libre
(...)
Moi: A l'époque (je parlais de mes 14 ans), j'étais amoureux d'une franco-vietnamienne
Elle: Tu m'as l'air de tomber amoureux souvent
Moi: Oui, j'aime bien ça. Parfois je me force même à être amoureux.
Elle: C'est pas de l'amour tragique? Genre déprimé?
Moi: Non, c'est juste de l'enthousiasme. J'ai jamais écrit de lettres langoureuses comme: " (...) " j'improvise un alexandrin romantiquo-dépressif.
(...)
Elle: j'ai rendez-vous avec des amis à 20h, je crois que je vais attendre ici jusque là
(...)
Elle: ca me fait chier d'attendre ici
(...)
Elle: Ils (ses amis) n'ont pas encore répondu
(...)
Moi: J'ai finit mon truc (je faisais un export vidéo qui a pris près d'une heure), je te laisse. Bon week-end.
Je me retrouve, pendant la pause clope des autres, avec l'une des deux filles de la boîte (dans laquelle il y a 13 mecs, 2 nana). C'est pas mon genre, mais dans cette ambiance de mecs (c'est une start-up, moitié commerciaux, moitié développeurs) j'apprécie sa compagnie qui me permet d'exprimer mon côté F, même si elle doit avoir un bon 40% de H.
J'avais déjà un peu flirté avec elle lors d'un afterwork et je ne fais pas grand effort pour résister à cette inclinaison.
Au bout de quelques minutes:
Elle: J'aime le Japon, d'ailleurs mon copain est japonais
Moi: Il est à Paris
Elle: Honk Hong
Moi: (je me marre) Donc que je résume, tu travailles dans une start-up en faisant du 10h-20h en moyenne 5jours/semaine, sans congés (elle est en stage), et tu es maqué à un mec qui vit à 8000km? C'est quand la dernière fois que vous vous êtes vu?
Elle: Au Mexique
Moi: C'était il y a quoi? Un an au moins je parie.
Elle: Oui
Moi: (sourire) Ok, donc t'es pas plus maqué que moi
Elle: C'est une relation libre. On se voit pendant les vacances et le reste du temps on fait un peu ce que l'on veut.
Moi: (je me marre) Sur quelle planète ce que tu décris est une relation de couple?
Elle: (elle se marre) C'est une relation libre
(...)
Moi: A l'époque (je parlais de mes 14 ans), j'étais amoureux d'une franco-vietnamienne
Elle: Tu m'as l'air de tomber amoureux souvent
Moi: Oui, j'aime bien ça. Parfois je me force même à être amoureux.
Elle: C'est pas de l'amour tragique? Genre déprimé?
Moi: Non, c'est juste de l'enthousiasme. J'ai jamais écrit de lettres langoureuses comme: " (...) " j'improvise un alexandrin romantiquo-dépressif.
(...)
Elle: j'ai rendez-vous avec des amis à 20h, je crois que je vais attendre ici jusque là
(...)
Elle: ca me fait chier d'attendre ici
(...)
Elle: Ils (ses amis) n'ont pas encore répondu
(...)
Moi: J'ai finit mon truc (je faisais un export vidéo qui a pris près d'une heure), je te laisse. Bon week-end.