Confiance en soi, bien-être physique et mental - les clés du travail sur soi

Modérateurs: animal, Léo

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By Vicious
#64092 [quote="L'Alchimiste"]Un Big Mac + Frites = environ 750

Quel est le pourcentage de lipides dans ces 750 calories ?
De plus le reste des aliments "junk food" est de très mauvaise qualité = déchets + graisse (=peu de d'éléments utiles à ton organisme pour sa construction ou son entretien)
By Ash
#64100 Un hamburger mc do correspond à 30% des apports journaliers en graisses par personne.
C'est ce qui marqué sur les boites d'hamburger.
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By Vicious
#64133 Bon sans rentrer dans le détail des types de graisses dans ce hamburger, rajoute les frites et je pense que tu dépasses les 100% d'apports journaliers en lipides, ou tu t'en rapproches de manière assez dramatique au moins...
By L'Alchimiste
#64158 Je voulais pas lancer de polémique. C'était juste pour dire que sauf cas médical particulier on peut y arriver.

Pour ceux qui veulent en savoir plus sur ce que contient leurs hamburgers je crois que sur le site officiel il y a une fiche détaillée par aliment et possibilité de voir exactement ce que contient leur repas.
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By wu-weï
#67555 La première fois que j'ai entendu ou plus exactement lu le terme procrastiner, c'est ici.
Approchant de la quarantaine, j'ai lu avec attention.
Puis, quelques mois après j'ai retrouvé le terme au coeur d'un article qui ne traite pas du poids. J'ai cru comprendre qu'il s'agissait d'une analogie.

Graisse et journée de fille est un sujet qui a créé un ancrage puissant dans mon esprit. Régulièrement au cours d'une journée je repense au fait de savoir se refuser quelquechose et je me dis : "graisse et journée de fille".
Et puis je me le refuse.

Ce sujet vous a juste appris à vous refuser le Mac Do?
Quel est ce que vous refusez de vous accorder comme facilité en invoquant la volonté contenue dans l'idée de vous éviter "graisse et journée de fille"?
By Ash
#67564 Le sujet initial n'était pas focalisé sur la junk food. Glaces Italiennes et pâtisseries (de qualité) ce n'est pas ce que j'appelle de la junk food.
(J'ai des souvenirs de glaces italiennes en été, à Florence, tout en visitant le centre ville. Inoubliable...)

Se refuser un macdo n'est pas difficile quand on a un minimum de palais, de goût.

Et le goût, ça se travaille :
- en prenant des (bons) cours de cuisine, par un professionel, ou si vous avez un(e) ami(e) ou une personne de votre famille qui sait cuisiner,
- en mangeant de bons plats régulièrement et si possible différents,
- en ayant mangé de bons produits. Par exemple, une tomate cueillie rouge, mûre, n'a absolument pas le même goût qu'une tomate de supermarché, cueillie verte. Une tomate cueillie rouge est sucrée. Et je ne vous parle pas du parfum, du goût...

Et si vous avez envie d'un sandwich, en France vous avez la chance d'avoir des boulangeries un peu partout. Un sandwich d'une bonne boulangerie, avec un bon morceau de baguette. Évidemment, pas la baguette industrielle qu'on repère à l'aspect granuleux en dessous, mais la baguette avec la trace noire en dessous et avec une bonne croûte qui montre qu'elle a été bien cuite.
J'ai un grand oncle qui était boulanger, il vous parlerait pendant des heures sur ce qui différencie le bon pain d'un mauvais pain.

Mais comme je l'ai dit, ce n'était pas le sujet initial.

Même en mangeant bien, avec des produits de qualité et bien préparés, on peut grossir.

D'où l'intérêt de se refuser régulièrement un certain nombre de choses.
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By Stéphane
#67567 Entendu chez mon garagiste, la semaine dernière (la mère, à son fils)

[quote]Pour midi : Quick ou PIzza ?

Et là, ce n'est pas une question de moyens, vu ce qu'il entretient...
By Matt
#67576 Se refuser, s'interdire, se faire violence... De fausses solutions à des problèmes mal posés.

Dans un cadre pédagogique, à la rigueur, mais comme habitude de vie... Ttttt...
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By Berbere-Pepere
#67591 [quote] Se refuser, s'interdire, se faire violence... De fausses solutions à des problèmes mal posés.

Je suis d'accord, peux-tu préciser comment tu poserais les problèmes?
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By wu-weï
#67598 Je me pose la même question. Les termes sont négatifs. C'est vrai.
En quels termes plus positifs le penser, l'exprimer?
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By Led
#67603 Et bien on peut s'autoriser une bonne pomme bien ferme et juteuse, on peut s'offrir une bonne sole et on peut s'extasier devant une barquette de framboises.

C'est nettement plus positif non ? Pourquoi ne pas continuer à se faire plaisir mais avec de bonnes choses ?

Led
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By Berbere-Pepere
#67608 Oui Led, en résumé, une qualité des produits et une curiosité de goûts différents.
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By Irfan
#67640 Ces deux derniers mois, j'ai travaillé chez un couple dont tous les repas du midi, et je dis bien tous, étaient composés de pizza, mc do ou de la cuisine trop grasse du bistrot en bas de leur rue.
J'ai du mal à comprendre l'enthousiasme de certains pour ce genre de nourriture. Peut-être est-ce parce que j'ai eu la chance de goûter à la cuisine de restaurants haut de gamme. Mais bon, ça ne me surprend plus.
Néanmoins, là, j'ai été effaré d'apprendre que la femme de ce couple avait déjà subi plusieurs liposuccions et continuait, malgré cela, à manger aussi mal.
By Thomas
#67663 Il y a quand même des réflexes de base pour éviter de manger n'importe quoi et avoir une alimentation saine :

1) Remplir son frigo exclusivement de fruits, de légumes, de viandes et poissons peu gras (et des pâtes ou riz pour les glucides).

Certes ça dépend des moyens, mais certains marchés sur Paris font des prix très bas. On peut faire un gros plein par semaine. Or que voit-on lorsqu'on regarde les caddies des gens au supermarché ? Chips, fanta, Nutella, saucisson, pizzas surgelées (et ce n'est pas forcément donné non plus par rapport à un marché "low cost"). Comme on ne peut consommer que ce que l'on a dans le frigo, l'explication de pas mal d'obésités est trouvée. C'est plus une question de culture que de moyens.

2) Lors des sorties au restaurant, privilégier le repas qu'on n'a pas l'occasion de faire facilement chez soi, c'est à dire le poisson en sauce avec pommes de terre et légumes verts et pas l'entrecôte frites. Je ne parle même pas du kébab ou du Mc do. Une bonne habitude alimentaire suffit à s'en dégouter définitivement.

3) Pour la cuisine, acheter un livre de recettes simples (c'est à dire économes en temps et en ingrédients) et légères. A ce sujet, ma copine a acheté un bouquin de recettes Weight Watchers (ce qui m'a fait rire au début) qui n'est pas mal du tout dans ce genre. Si on est pressé, il est aussi rapide de faire cuire des haricots verts surgelés avec un steack que de faire chauffer une pizza. Un poisson en papillotes, c'est délicieux, et ça prend 5 minutes à préparer et 15 minutes à cuire.

4) Il faut, comme ça a déjà été dit, équilibrer ses apports alimentaires sur la journée. Ce n'est pas dramatique du tout de se faire un Mc Do le midi, à condition de manger des légumes le soir. Si évidemment au lieu de ça, on va prendre l'apéro à 6h en se servant bière et force cacahuètes, pour terminer devant le foot avec des pizzas, alors il ne faut pas venir se plaindre.
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By Antinoe
#72504 Je confirme que bien manger n'est pas une affaire de moyens, étant étudiant je fais particulièrement attention à mon budget. Et cuisiner n'est pas si difficile, pas besoin d'un livre de recettes. Exemple le plat que j'ai fait en impro ce soir :

- brisures de riz à l'autocuiseur
- petits oignons, champignons de paris et raisins secs poêlés avec une noix de beurre salé, trois pincées de sel et une pincée de poivre, plus 3 zestes de jus de citron pressé
- deux oeufs brouillés pour 3

Au final ça m'a coûté environ 2€50 par personne, 15 minutes de préparation. Avec un kiwi au dessert. Je pense que Aimée Jacquet peut retourner au placard avec son slogan.

Petit éclairage à propos du facteur génético-hormonal. Pendant un stage en hopital dans le service de diabéto-nutrition, j'ai vu beaucoup d'obèses. C'est vrai que c'est une fausse excuse, l'obésité est, dans une grande majorité des cas (le facteur génétique existe néanmoins), déclenchée par un problème comportemental (dixit le chef de clinique) et c'est souvent l'obésité qui amène les dérégulations hormonales. En gros, un obèse qui dit "j'ai des problèmes hormonaux, ce n'est pas ma faute" inverse la cause et l'effet pour se justifier... Comme dit au dessus il se ment à lui-même, avant de mentir aux autres.