Pour une vie réussie

- Sam Avr 30, 2011 2:16 pm #108553 La vie d’un adulte commence véritablement le jour où il fait le constat qu’il n’aura jamais fini de s'arracher les cheveux devant le nombre infini de choses que ses parents n’ont pas su, ou pas pu, lui transmettre.

Je suis dans le même cas que toi à ce niveau : je me suis endurci bien trop tard, et ça m'aurait évité d'importantes déconvenues. Ça m'aurait surtout épargné d'avoir à faire tout ce travail sur moi, et d'être à la base un individu viril (dans tous les sens du terme), au lieu de devoir me forcer à l'être, l'intégrer, et enfin le devenir.

La fierté qu'on éprouve est proportionnelle au volume des efforts qu'on aura du déployer pour surmonter sa condition.

- Sam Avr 30, 2011 3:41 pm #108556 Peu importe l'âge auquel on s'est réveillé, 20 ou 30 ans, le plus important c'est le réveil en lui-même et les actions initiées qui en découlent. Une fois que l'on est devenu ce que l'on voulait, l'âge de ce réveil, ou je sais pas quoi, n'a aucune importance.

Pour poursuivre sur mon dernier message, hier je suis sorti avec Pierre de l'université (appelons le Pierre, et non JC comme dans un précédent post), il m'a appelé pour me proposer un truc. Je le retrouve chez un autre ami un peu plus tard, et on décide de bouger dans un bar boite. Au début pour ma part, ça allait bien, je me sentais bien, et coincidence ou pas, un autre ami me dit qu'une fille me regarde. Puis, la soirée avance, Pierre et un autre commencent à aller parler à des filles, mais je vois bien que c'est à sens unique, les nanas sont saoulées. De mon côté, j'avais repéré une fille, mais je suis resté planté à me demander comment la faire entrer dans ma normalité. Autant la journée, un sujet est facilement trouvable, mais en soirée, rien. Evidemment, rester planter comme ça, ça fait tout de suite bizarre, et les filles que je regardais ensuite ne s'y sont pas trompées. Puis, voyant les autres encore parler avec des filles, j'ai fini par me casser. J'ai pas pu m'empecher de penser à l'atelier VIP proposé ici, et je me suis dit qu'un bon coup de pieds au cul de Stéphane m'aurait fait un bien fou.

Enfin, tout ça pour dire que Pierre et co ont qqch qui m'embetent un peu, c'est cette manière d'aller en soirée dans l'idée de brancher, et juste de brancher, plutôt que de s'amuser, danser et brancher spontanément quand une occasion se présente. Pour moi, ça change tout. Bon, je ne connais pas encore l'issue de la soirée pour eux, mais ce qui est sûr c'est que régulièrement Pierre et les autres rentrent fort rarement avec des numéros en poche... c'est que qqch cloche dans la démarche. Et cette démarche ne correspond pas à ce que j'attends d'une soirée entre amis.

JC est un gars intelligent, j'aime bcp échanger avec lui autour d'un café après les cours, mais sa façon de brancher les filles me genent : comme le moment où, alors que l'on montait de le taxi, une fille passe à côté en vélo, et Pierre va lui parler pour lui demander de l'emmener, ou un truc du genre ; évidemment la fille a éjecté l'affaire. Le pb est que ce genre de comportement rejaillit sur moi, comme ce fut le cas hier dans la boite, et laisse une image de moi que je ne veux pas laisser. J'imagine qu'il ne manquera pas de me demander "mais pourquoi t'es pas allé parler à des filles", donc je lui dirai ce que j'en pense.

- Sam Mai 07, 2011 4:46 pm #108792 Ce matin, je me faisais la reflexion au sujet de Pierre de l'univ, et d'un ami rencontré là où je bosse.

C'est intéressant de constater que le premier navigue plutôt du côté de la lourdeur et du manque de naturel, tandis que l'autre est dans la légèreté et la spontanéité. Je l'ai déjà dit, Pierre n'a aucun mal à parler à des filles, mais quand il s'agit de conclure, ya plus grand-monde. Il parle bcp (trop), donc il saoule les gens, et a fortiori les filles, et se plante. Je ne suis d'ailleurs pas surpris de constater qu'il sort avec une fille certes jolie, mais surtout très (trop ?) gentille et très naïve. Pierre est également un peu un blasé de la vie (lourdeur, quand tu nous tiens...), et m'avait fait part un jour de sa volonté de se poser tranquillement avec une femme et un boulot tranquille de prof dans une université correcte (fatalisme...).

Axel, le collègue, de 24 ans son aîné, a deux enfants et une femme. Ce mec pourrait presque être mon père, il a 46 ans. Et pourtant c'est comme s'il avait encore 20 ans. Lui-même le dit, et laisse effectivement penser cela. Il regarde les petites minettes qui passent au magasin comme un gamin de 20 ans (ou 27 ), j'en parle avec lui comme avec un mec de mon âge, il a toujours le sourire et cette force de pouvoir parler avec les gens qui, à première vue, donnent pas forcément envie. En outre, quand il parle, il ne véhicule pas un côté blasé, mais plutôt l'image d'un mec qui veut aller de l'avant, par sa volonté de trouver un job avec un salaire intéressant et des perspectives. Par son énergie, sa spontanéité, sa jeunesse, Axel me communique un pêche d'enfer.
Je sais pas si c'est lié, mais en deux jours, deux personnes différentes cotoyées dans deux contextees différents (l'une dans un café : un couple de personnes agées ; l'autre au travail : un client avec qui j'ai un bon contact) m'ont parlé de ma jeunesse, disant pour les premiers que I "look like a student" (je leur ai dit que j'étais prof, car je corrigeais des copies d'examen), et le second que je fais plus jeune (il pensait que j'étias en première ou deuxième année à l'université).

Tout ça pour dire que Axel a qqch que j'aimerais avoir, mais que je n'ai pas encore : l'énergie, le sourire et la décontraction en tout temps (dont avec les filles qui me plaisent). Ca commence à venir (un peu grâce à lui, à vrai dire). Je commence à davantage socialiser avec les gens dans le bus ou la rue ou la résidence (comme hier avec deux mecs et une mémé Ca montre du social proof, surtout quand une ou deux filles sont dans les parages...). J'apprends même à mieux rebondir sur les portes qu'ouvrent les gens (= poser des questions pour préciser, apporter précisions à l'image de mon exp perso etc). Bref, hier j'ai constaté que j'avais gagné en décontraction. Cela reste néanmoins à confirmer. J'y travaille.

D'ailleurs, en parlant de légèreté avec Axel, je faisais aussi référence à ce grand moment de fou rire qui nous a pris au travail jeudi soir, alors que j'étais en train de servir des clients. C'est pas tellement le fou rire en lui-même qui est important, mais bien l'origine de celui-ci. En fait, de ce que je me souviens, yavait pas forcément de raison précise à ce fou rire, ni blagues particulières, ni clients atypiques ou je ne sais quoi, mais ca ressemblait plutôt à un moment partagé entre deux personnes sur la même longueur d'ondes, un moment entre deux personnes navigant dans la légèreté. Ca fait bien longtemps que cela ne m'était pas arrivé. Exactement ce que je n'ai jamais trouvé avec Pierre (et qui fait que à la dernière soirée avec lui, je suis parti avant tout le monde).

D'ailleurs, depuis cette soirée, je n'ai pas de nouvelles de Pierre, malgré mon appel de mardi (j'ai eu sa mère). Bon, j'ai un pb de téléphone, donc ça vient peut-être de ça.

Toujours est-il que je vais garder le même cap avec Axel, énergie, légèreté et jeunesse, donc ne pas faire de boulettes, car je sais qu'il a bcp à m'apporter. Avec Pierre, si l'affaire tombe à plat, c'est moins grave. Comme je disais, trop de choses me genent pour que je fasse des efforts afin d'éviter ça. J'ai des critères de sélection (cf. un autre post), je dois m'y tenir. C'est la vie.

- Sam Mai 07, 2011 8:05 pm #108796 Pierre m'a rappelé auj. C'est un mec cool. Je vais tâcher de lui faire part de ma gêne face à ses lourdeurs avec les filles, parce que sinon ça risque de prendre l'eau...

- Mar Mai 10, 2011 4:24 am #108836 J'ai une nouvelle fois constaté mon incapacité à créer une dynamique intéressante et à "tilter" au bon moment.
En fait, c'est tjs pareil, c'est après coup que je me rends compte que j'aurais pu dire ou faire ceci ou cela.

Je parlais avec une fille rencontrée dans un contexte précis (inutile d'aller dans le détail). On commentait l'attitude d'un homme que l'on regardait. La fille, qui avait encore ses yeux sur la personne en question, enchaine en disant : "[...] il a remis trois fois son entrejambe en place." Sur le coup, je relève pas trop, je préfère répondre par une phrase dénuée de toute sexuation.... Mais en y repensant, j'aurais pu poursuivre sur la sexuation de la fille, et voir ce que ça donne. Qu'elle eût été intéressée, au départ, ca me semblait possible (regards récurrents), ensuite au retour dans le métro, bcp moins, voire pas du tout.

Sur ce coup, je suis resté normal jusqu'au bout. Le pb n'est pas lié au syndrome de la fausse excuse, mais plutôt à un manque de pratique.

Mais bon, je commence à reprendre du poil de la bête, le beau temps est (enfin) là, donc à moi d'utiliser toute la bonne énergie positive que j'ai en moi quand je me sens bien (énergie qui se voit extérieurement, aucun doute possible là dessus) pour aborder bcp plus souvent.

- Ven Mai 13, 2011 4:54 pm #108954 [quote] La fille, qui avait encore ses yeux sur la personne en question, enchaine en disant : "[...] il a remis trois fois son entrejambe en place."

Ce que je vais dire est totalement hors-sujet, mais des fois j'ai l'impression que c'est une bonne façon de sexualiser.

Je ne parle pas du beauf en short qui se gratte les couilles, mais si on est bien habillé, qu'on s'est montré intéressante et qu'on finit par se "remettre l'entrejambe en place" (une seule fois, le but n'est pas de passer pour un pervers), l'effet est pas trop mal.

Je dis peut-être n'importe quoi, mais j'ai vu quelques fois des filles le faire devant moi (pas se remettre le paquet en place, hein, mais se gratter rapidement) et je trouve que l'effet est plutôt réussi.

Et quand un homme (un homme séduisant) le fait, c'est le truc que les filles remarquent.

Après, si la fille à l'air vulgaire à la base ça ne marchera probablement pas. Mais pour une fille sympa et intéressante, si elle fait ça, c'est vraiment attirant.

[quote]Je l'ai déjà dit, Pierre n'a aucun mal à parler à des filles, mais quand il s'agit de conclure, ya plus grand-monde. Il parle bcp (trop), donc il saoule les gens, et a fortiori les filles, et se plante.

Je n'ai pas plus de détail, mais à la limite pour quelqu'un qui n'est pas encore très bien calibré, il vaut mieux oser et en faire trop (pour voir ce qui marche ou non), que de ne rien tenter et au final ne pas progresser. D'ailleurs au final, même si il en fait toujours trop, au final il a une jolie petite amie.

Bon après, si c'est sa personnalité qui est un peu lourde et extravertie, effectivement ce n'est pas un modèle qu'on va suivre

- Mar Mai 17, 2011 5:05 am #109047 Hier, je bossais avec la collègue brune remise en place l'autre jour.
J'ai tenté, avec réussite, de créer une discussion fun et dynamique, en parlant musique et danse. Idéal pour sexuer. Des sujets qui l'ont plutôt bien motivée, si je puis dire. On s'est donc retrouvés plusieurs fois très proches l'un de l'autre, à regarder des videos sur l'iPhone. Malheureusement, à mes tentatives de sexuation, elle changeait rapidement de conversation ou ne relevait pas vraiment. Peut-être étais-je maladroit. Néanmoins, j'ai eu l'impression de ressentir de l'intimidation chez elle, voire des tremblements, notamment dans les moments de proximités...

Son refus de la sexuation et l'allusion à son copain un peu plus tôt (mais très brève) m'ont un peu fait douter de caractère "signe d'intérêt" de cette intimidation. J'ai pourtant regretté de n'avoir rien tenté dans ces moments de proximités. Finalement, si ya qqch à retenir, c'est bien ce sentiment d'inachevé...


A noter que j'ai travaillé ce soir avec l'autre collègue que j'ai embrassée, et force est de constater que, sous mon impulsion, ma décision de m'ouvrir davantage, l'ambiance est à présent détendue ; on rit bcp ensemble. Je crois que je la vois plus comme une pote, au final. Je vais essayer d'entretenir ça.


Parfois, je me demande si j'arriverai à mes fins. J'ai bcp de travail à fournir, en études, sport et séduction.
En réfléchissant, je pense que mon pb de végétation de ces derniers mois vient d'un défaut dans la gestion de ces chantiers de vie. Comme certains l'on pointé dans ma relation avec les filles, je me mets la pression et ainsi je m'éloigne de l'idée de prendre du plaisir avant tout (sport et séduction).
En fait, les trois chantiers sont liés : en études, je dois me créer des contacts (pour la suite de ma carrière), c a d me faire connaître en participant à des colloques ou des groupes de recherches, autant de façon de socialiser, voire de séduire (dans tous les sens du terme). Le sport m'ouvre aussi à un grand nombre de possibilités d'amis et de petites amies, mais des possibilités que je n'ai malheureusement pas su saisir.

Se faire violence, prendre du plaisir et s'ouvrir davantage à l'extérieur. Avec la rencontre d'Axel, ça commence à poindre, mais petitement encore. Quand mes finances me le permettront, le séminaire "intelligence sociale" sera à moi.

- Mar Mai 17, 2011 10:30 am #109053 [quote]Son refus de la sexuation et l'allusion à son copain un peu plus tôt (mais très brève)

Moi aussi ça m'est déjà arrivé quelques fois (la dernière fois m'est justement arrivé récemment et il s'est passé exactement ce que tu décris).

La leçon que j'en ai tiré c'est que la fille n'était pour le moment pas intéressé par nous (surtout qu'elle a un copain) et que donc si on sexualise à ce moment là, ses défenses se mettent en marche et elle fait notamment référence à son copain.

Je pense (c'est spéculatif, j'en sais rien) que la solution quand la fille n'est pas encore suffisemment intéressé (i.e. quand on s'entend bien, mais que ça ne va pas jusqu'à la séduction) c'est de la séduire d'avantage, et seulement à ce moment là, on pourra avancer (en tentant des trucs ou au moins en sexualisant pour voir comment elle réagit).

Bref, si on sexualise trop tôt, la fille peut se bloquer (surtout si elle a un copain) d'ou, je pense, l'idée d'aller plus loin dans la séduction (étape par étape) avant de tenter quelque chose.

- Mar Mai 17, 2011 11:17 pm #109079 L'allusion à son copain, c'était une réponse à une de mes questions, et non une allusion d'elle-même. J'ai donc pas le sentiment que c'était une réaction de défense.
C'est bizarre, parce qu'elle me semble quand même bien intimidée. Cela ne l'a pas empeché d'être, sous mon impulsion, très proche de moi (pas de contact physique, mais elle aurait pu avoir un mouvement pour s'écarter un peu). Il faut croire que l'épisode de tension que je raconte dans un autre post m'a placé en position de domination. Après, c'est peut-être, non pas de l'intérêt, mais une forme de peur, la peur que je réagisse à nouveau comme l'autre jour... le mot est un peu fort, mais vous voyez l'idée.

Pour tirer au clair ce mystère, à moi de jouer !

- Jeu Mai 19, 2011 3:58 pm #109145 J'aurais une question, et sans vouloir abuser, j'aimerais avoir vos avis :

que penser quand vous proposez à un ami une sortie tel jour, que cet ami vous dise "on se rappelle", et qu'au final il vous rappelle 1 ou 2h avant de sortir ? concrètement, quand cet ami se montre incapable de fixer un rdv 2 ou 3 jours à l'avance, mais qu'il vous rappelle qd même, mais très tardivement, comme dit plus haut, pour confirmer ou vous proposer de sortir ?

(j'espère être clair).

- Jeu Mai 19, 2011 5:04 pm #109146 C'est récurent?

Si c'est le cas, tu lui sers de roue de secours.

Vous n’osez pas (ou vous ne savez pas) briser la glace avec une belle inconnue ?
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- Jeu Mai 19, 2011 5:45 pm #109147 C'est récurrent, mais quand c'est le cas, il est généralement déjà avec d'autres gars. Une ou deux fois il m'a proposé d'aller dans une expo ou je sais plus quoi, car il avait une place en plus (qqn qui s'était décommandé)... pour le coup, c'est "roue de secours".

Et puis il a un côté "recherche de validation", car je n'hésite pas à le contredire, et même parfois, il se range à mon opinion. Dans tous les cas, je trouve que ça pue quand même...

- Jeu Mai 19, 2011 6:01 pm #109148 [quote="Transcendantal"]pour le coup, c'est "roue de secours".

Pas nécessairement, ça dépend de comment fonctionnent les gens. La majorité des sorties avec mes potes, c'est décidé au dernier moment, soit que je propose, soit qu'ils me proposent. "Tu me rejoins au XY pour une binouze ?"

Simplement parce que je ne sais jamais vraiment trois jours avant si tel jour je vais avoir envie de me faire une soirée, j'ai toujours trouvé ce mode de fonctionnement avec les potes plus cool.

- Ven Mai 20, 2011 5:34 pm #109190 C'est rigolo de savoir à quel point une petite chose anodine peut parfois pour donner une pêche d'enfer.

Hier, j'ai décidé d'arrêter avec la procrastination et donc à m'entrainer à briser la glace avec les belles filles dans la rue, le bus ou ailleurs. Après avoir clairement manqué 3 occasions dans le métro (des filles que je n'ai pas abordées à cause de la petite voix), j'accoste une brune dans la queue d'une boulangerie, pour faire une remarque au sujet de ses chaussures qui me semblaient en décalage avec la température de la journée. Elle me dit que c'est parfaitement adapté, ca garde les pieds au sec, c'est utilisé par les surfeurs toussa. Un moment de blanc s'ensuit après sa réponse, je poursuis avec une phrase bidon "c'est completement paradoxal je prends un café alors qu'il fait chaud, mais j'aime la chaleur", ce à quoi elle a répondu un "ba voilà" qui en dit long sur la nullité de ma phrase et (donc) sur son intérêt. Je me suis donc éjecté. Pendant ses paroles, cela ne l'a pas empeché de me consacrer entièrement son regard, un regard que j'ai soutenu avec le sourire jusqu'aux oreilles, donc c'est un point très positif. Elle m'a d'ailleurs semblé un peu crispée : soit intimidée soit gênée, difficile à dire.

Toujours est-il que ça m'a collé un pêche d'enfer, comme je disais, même si dans le bus, j'aurais pu y aller, mais la petite voix me disait "non, ne fais rien, ya trop de monde autour, tout le monde va te regarder" ou "non, là ya sa maman avec elle, ça craint".
Bref, j'avais une journée de boulot avec Axel, et je débarque chaud bouillant. Avec mon énergie et la sienne associée, ça a fait des étincelles, on a bien mis l'ambiance, c'était juste un grand moment. Bcp de passages de petites nanas qui ont certainement senti ma décontraction, mais encore cette foutue petite voix qui me disait "ya la copine à côté, si tu bouges et qu'elle te dit non, tu vas passer pour un gogo".

Je retire de cette journée bcp de positif, même si au final, je n'ai pas fait grand-chose, mais de toute façon, je sais pertinemment quoi faire. Comme je disais à mes parents récemment, quand on se pose 5 minutes pour faire le vide et réfléchir calmement à la situation en question, on se rend compte que les choses ne sont pas si compliquées.

A suivre...

- Ven Mai 20, 2011 5:38 pm #109191 [quote="Transcendantal"]on se rend compte que les choses ne sont pas si compliquées.

Et bah voilà

Tu vois que pour y aller, il ne faut rien d'autre qu'y aller. Ça vient peu à peu. En moins de deux, un de ces quatres, tu te trouveras en pleine discussion enflammée avec une jolie minette, dont tu récupéreras le numéro. Sans même t'en rendre compte.