- Sam Fév 08, 2014 2:22 pm
#145939
La fiscalité et le désastre de l'idéologie socialiste expliquée en une image (situation Genevoise):
[img]http://i57.servimg.com/u/f57/16/20/17/30/impots10.jpg[/img]
Deuxième constatation: le nombre de contribuables qui ne paient aucun impôt ne cesse d’augmenter. Leur part grimpe même jusqu’à un cinquième et un tiers dans les cantons de Vaud et de Genève. «Ce phénomène est préoccupant», relève Denis Boivin, responsable du département fiscal et juridique de la fiduciaire BDO. «Faut-il exiger que tous les contribuables s’acquittent d’un impôt sur le revenu même si celui-ci est faible? Cette question, d’ordre philosophique, mériterait d’être mise sur la table. Elle touche aux liens qui unissent les citoyens à la république.»
C'est ca, d'attirer puis naturaliser tout les assistés et les cas sociaux en centre ville pour gagner des voix et se maintenir au pouvoir. Au final, ca amène à une situation économique désastreuse, avec beaucoup trop de dépenses et des recettes supportées par une minorité.
Cette population se compose à la fois de personnes à l’aide sociale, de jeunes en formation, d’indépendants qui ont réalisé des pertes, etc., mais on ne parvient pas à connaître la répartition par catégorie. Ce phénomène inquiète le ministre vaudois des Finances. «On s’approche de ce que les théoriciens nomment la «tyrannie des exonérés» capables, par leur simple nombre, de rejeter tout à fait démocratiquement sur les autres la totalité du coût de l’Etat», relève Pascal Broulis dans son livre L’impôt heureux.
Il suffit de croiser les chiffres de l'OFS pour savoir que les indépendants qui ont réalisés des pertes et les jeunes en formations représentent une minorité tout à fait légitime dans ces dépenses, d'autant qu'ils n'y sont que provisoirement. Eux.
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Deuxième constatation: le nombre de contribuables qui ne paient aucun impôt ne cesse d’augmenter. Leur part grimpe même jusqu’à un cinquième et un tiers dans les cantons de Vaud et de Genève. «Ce phénomène est préoccupant», relève Denis Boivin, responsable du département fiscal et juridique de la fiduciaire BDO. «Faut-il exiger que tous les contribuables s’acquittent d’un impôt sur le revenu même si celui-ci est faible? Cette question, d’ordre philosophique, mériterait d’être mise sur la table. Elle touche aux liens qui unissent les citoyens à la république.»
C'est ca, d'attirer puis naturaliser tout les assistés et les cas sociaux en centre ville pour gagner des voix et se maintenir au pouvoir. Au final, ca amène à une situation économique désastreuse, avec beaucoup trop de dépenses et des recettes supportées par une minorité.
Cette population se compose à la fois de personnes à l’aide sociale, de jeunes en formation, d’indépendants qui ont réalisé des pertes, etc., mais on ne parvient pas à connaître la répartition par catégorie. Ce phénomène inquiète le ministre vaudois des Finances. «On s’approche de ce que les théoriciens nomment la «tyrannie des exonérés» capables, par leur simple nombre, de rejeter tout à fait démocratiquement sur les autres la totalité du coût de l’Etat», relève Pascal Broulis dans son livre L’impôt heureux.
Il suffit de croiser les chiffres de l'OFS pour savoir que les indépendants qui ont réalisés des pertes et les jeunes en formations représentent une minorité tout à fait légitime dans ces dépenses, d'autant qu'ils n'y sont que provisoirement. Eux.