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Modérateurs: animal, Léo

By john dilinger
#168374 [quote]Qui peut sans se faire traiter de personne inhumaine, s'opposer à ce type d'aide sous prétexte, qu'elle constitue une nouvelle forme de colonialisme ? Difficile.
Marrant, on pourrait reprendre cette idée pour embaucher une personne au gouvernement qui ferait passer des lois que la majorité ne veut pas, mais qui ferait passer pour raciste celui qui s'opposerait à cette personne. :mrgreen:
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By la mouche
#168415 [quote="coug"][quote]De toute manière, ils subissent déjà les effets de ce mode de vie: tout les présidents et dictateurs locaux viennent en vacances dans les capitales du monde.

Ah tu voudrais dire, qu'ils ne sont pas directement placés/"élus" par les occidentaux? :mrgreen:

Toute ressemblance avec Giscard d'Estaing serait purement fortuite
By James ex S
#169508 Je n’aime pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Qui est l’ours dans l’histoire ? Mon ex. Dans tous les cas j’ai besoin de poser ce bordel dans ma tête sur papier, enfin, sur word…

Ce qu’il y a de bien avec le temps c’est qu’on peut s’affranchir toujours d’avantage des règles de base .Qu'y a t’il de mal à revoir son ex. Dans ce cas précis, rien du tout


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J’étais parti sans me retourner. Même si la décision était mûrement réfléchie, j’en avait chié. Tout d’abord parce que je j’étais dans une période de ma vie ou j’avais suffisamment profité et que je souhaitait construire quelque chose, que j’avais imaginé un peu trop prématurément qu’elle serait une bonne candidate pour cette aventure, mais également parce que cette fille correspondait à mon idéal physique (vous allez me dire que je confonds deux choses là. J’y reviendrais après).

C’était la première fois que ça m’arrivait : séduire son morphotype féminin. Elle était grande, 1m77, avait des hanches larges et la nature l’avait doté d’un métabolisme hors du comment pour rester aussi fine malgré une hygiène de vie parfois déplorable. Une peau douce comme jamais avec quelques petites cicatrices qui la rendaient juste un peu plus humaine. Ses taches de rousseurs sur sur son nez me plaisaient et elle avait depuis peu arrêté de les masquer avec du fond de teint. Elle avait arrêté de fumer sans que je n’aie rien besoin de demander, s’étais mise à faire des abdos et m’avais accompagné plusieurs fois à la salle de sport. Ca lui plaisait mais elle était trop fière pour me le dire et je l’ai surprise plusieurs fois à faire des abdos en cachette. Comble du comble, elle se mettait à bien manger mais se gardait bien de me le dire pour ne pas me montrer qu’elle se calquait trop sur moi.

Un Erasmus qui arrivait et d’autres raisons que j’avais déjà détaillées il y a quelques pages, je suis parti sans me retourner. Fierté mal placée ou que sais-je, elle n’avait rien dit quand je lui avais annoncé que je partais. Et n’avait rien dit non plus dans les semaines qui avaient suivies. Lorsque je la supprimais de Facebook, j’eus le droit à un message d’insulte dans l’heure qui suivi.

Nous nous sommes recroisés quelques fois depuis mais il y eut une soirée plus importante que les autres ou nous nous sommes retrouvés dans le même appartement avec des amis puis autour de la même table dans un bar. Je lui avais lancé quelques perches tout au long de la soirée en lui proposant de faire le trajet jusqu’en ville avec moi, ou encore de sortir fumé un cigarette (elle avait évidemment recommencé à fumer).

J’ai compris ce soir là qu’elle ne saisirait pas mes perches, en témoignaient mes messages restés sans réponses les semaines qui précédaient. Il qu’il fallait que j’insiste.
[quote]M : On sort fumé une cigarette sur la terrasse les deux.
E : Je n’ai rien à te dire.
M :Tu n’as peut-être rien à me dire mais de mon côté j’ai des tonnes de choses à te dire. Accompagne moi stp. (Elle me regarda avec mépris puis et accepta difficilement)
Cette démarche était avant tout égoïste et le monologue qui suivi me permis de me libérer d’un poids. Je ne sais pourquoi, j’avais besoin de lui dire pourquoi j’étais parti sans me retourner, pourquoi avoir coupé contact sur FB et que ce n’est pas parce que la décision venait de moi que cela signifiait que ça avait été facile. Je compris ce soir là que j’avais également été une sorte de rebound guy et qu’elle ne savait pas ce qu’elle faisait depuis qu’elle s’était séparée de son premier copain avec qui elle était restée 4 ans mais ça n’a que peu d’importance.

La claque de réalité vint d’ailleurs. Je savais précisément que nous n’étions pas fait pour être ensemble, que nous étions parfaitement incompatible d’un point de vue de nos valeurs, qu’elle avait été beaucoup trop écorchée pendant son enfance pour construire une relation saine, qu’elle avait un manque affectif difficilement réparable mais bordel j’avais toujours autant envie d’elle.

Malgré tout ce qui précède, j’avais encore envie d’elle ce soir là. Parce qu’elle était toujours magnifique, parce qu’elle était apprêtées avec les petits détails sur lesquels j’avais réussis à travailler pendant notre relation (rouge à lèvre, tâche de rousseurs, habillement), parce qu’elle s’affranchissait de moi en ayant recommencé à fumé et à manger n’importe quoi (et parce que la dernière fois qu’on avait couché ensemble c’était juste une catastrophe et qu’il fallait remettre les pendules à l’heure).

Je n’arriverais pas à mes fins ce soir là. Elle est restée froide et distante sans doute pour ne pas perdre la face devants nos amis. Je devais être patient. Quelques semaines plus tard je venais en stage dans sa ville, ça serait l’occasion de la revoir.


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Ce que j’ai fait cette semaine autour d’un diner à midi qu’elle accepta difficilement. Elle m’avait souvent reproché d’être trop sûr de moi et trop décider. Je lui ai donc laissé le choix du jour et de l’endroit, même si j’avais réservé de mon côté.

A ma grande surprise, elle me demanda de passer la prendre à son travail, et ça ne la gêna pas qu’on nous voit ensemble. Elle était magnifique et lorsqu’elle entra dans ma voiture, il ne fit aucun doute qu’elle venait de se re-parfumer (tout comme moi d’ailleurs). Je n’attendais rien de spécial de ce rendez-vous, même si l’idée de la remettre dans mon lit occupait toujours une partie de ma tête. J’étais simplement en stage dans sa ville et il aurait été bête de ne pas profiter de l’occasion pour diner ensemble.

J’ai abordé tous les sujets interdis. Je lui ai demandé ce qui lui avait fait accepter ce rendez-vous, comment est-ce que c’était remonté à ses oreilles que j’avais eu un rendez-vous avec une fille de sa classe, est-ce que son Erasmus était toujours d’actualité (c’était à ma grande suprise tout à coup moins sûr)… Plus je lui posais ce genre de question, plus elle se détendait et s’ouvrait.

J’ai été le premier surpris que ce déjeuner sur le pouce soit aussi détendu. J’ai donc laissé sous-entendre que j’avais énormément de trajets pour la semaine à venir avec mes horaires décalés. Je lui demandais conseils pour une auberge ou une chambre pas chère dans sa ville. Elle m’a dit qu’il n’y avait rien du tout et après quelques secondes d’hésitation elle me dit :
[quote]E : si ça peut t’arranger pour les trajets, je peux te prêter mon canapé.
Notons également qu’elle me félicita au cours de notre déjeuner pour un article que j’avais écrit et publié la veille. J’ai fait mine ne ne pas comprendre et lui ai demandé comment elle était tombé dessus puisque nous ne sommes plus amis sur FB et qu’elle ne me suit pas sur mes réseaux sociaux pros. Elle m’avoua qu’elle se rendait régulièrement sur mon site. Comme j’avais mis cet article en ligne la veille au soir, elle s’y rendait donc plus que régulièrement.

Je n’ai pas payé sa part, nous avons divisé l’addition en deux, ce que je trouve très laid mais bon, passons.

Au milieu de l’après-midi je reçu un message de sa part :
[quote]E : Si t’as envie de dormir quelques jours chez moi parce que ça te fait moins de trajets tu peux, sérieusement.
Elle avait pourtant été claire pendant le repas, pourquoi me le redire une nouvelle fois, en plus en insistant ?

A mesure que j’avance, je fais preuve de plus en plus d’humilité et je relativise beaucoup ce qui se passe. Je me rends compte que beaucoup de choses sont indépendantes de ma volonté. Tout comme ce regain d’intérêt où je me dis de plus en plus que je n’y suis pour pas grande chose.
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By la mouche
#169526 [quote="James ex S"]Au milieu de l’après-midi je reçu un message de sa part :
[quote]E : Si t’as envie de dormir quelques jours chez moi parce que ça te fait moins de trajets tu peux, sérieusement.
Elle avait pourtant été claire pendant le repas, pourquoi me le redire une nouvelle fois, en plus en insistant ?

Par ton attitude détachée, tu l'obliges à être de plus en plus clair en la faisant en plus passer de l'oral à l'écrit. Elle a eu l'impression (fausse) que tu avais pas vu ou voulu voir la première perche.
By James ex S
#169786 Mardi, 16h15
[quote] E : Si tu viens toujours, je ne serais pas disponible avant 17h45.
M : J’arrive vers 18h si ça va pour toi.
E :Top

Elle m’avait proposé de m’héberger pour un ou deux jours, histoire de me faciliter les trajets, en insistant sur le fait que ça ne la gênait pas, qu’elle savait ce que c’était de faire de la route et que, si elle pouvait me faire gagner quelques heures de sommeil, c’était avec plaisir. Je n’en ai finalement pas beaucoup gagné cette nuit.

J’aurais très bien pu arriver les mains vides, ça n’aurait pas changé grand chose. Je lui ai apporté quelques cerises bien mûres que j’avais achetées le jour même et un paquet de biscuit fait maison, ce qui lui fit plaisir. [size=60]Ca sera pour le souper, l’eau chaude et les mouchoirs.[/size]

Je n’avais aucune raison de stresser puisque je connaissais l’issue de la soirée mais j’avais l’estomac noué et la gorge sèche. A tel point que j’ai du boire, sans m’en rendre compte, un litre d’eau et j’ai passé mon début de soirée à faire des allers-retours aux toilettes.

Elle manquait d’énergie, était "molle", murmurait à moitié et malgré le fait qu'elle parte dans quelques mois pour un semestre d'Erasmus, elle semblait comme toujours subir sa vie. Elle m’exaspérait. Elle avait finalement toujours été comme ça, mon niveau d’intérêt dans les premiers mois de relation ayant simplement gommé cette facette de sa personnalité. Je ne sais pas pourquoi (enfin si je le sais très bien), mais nous avons finis par nous parler comme des vieux potes pendant le repas. De notre relation, ce qui n’avait pas été, de ses histoires passées. Sexuer et être charmant ne servait à plus rien à ce niveau… Jusqu’au moment ou elle me demanda si j’avais connu d’autres filles depuis notre séparation. Un sujet glissant que j’aurais du éviter. Je lui ai retourné la question et avec toute la naïveté du monde on se promit d’être sincère. Elle me dit un nombre, je lui en dit un. Et dans ce genre de moments, quand je sens que quelque chose malsain traine, je suis obligé de creuser, même si je sais que ce que je vais trouver ne va pas me plaire. C’est ce qui se passa.
Je suis devenu bon, avec le temps et la pratique, pour arriver à savoir ce que je veux. Bref, ce n’est pas la première fois, mais ce que j’ai découvert m’a fait du mal.


C’est surtout son inconstance qui m’avait déplu. Un pas en avant, deux en arrière. Elle avait tendance à être adorable un jour pour ensuite m’expliquer le lendemain qu’elle ne croyait pas en la fidélité à long terme. Ou encore de faire presque 100km pour venir me trouver et m’apporter un des fameux cadeaux avec lesquels elle marquait pas mal de points, pour m’annoncer qu’elle était en train de faire les démarche pour partir un semestre outre-Atlantique. Je n’avais jamais su sur quel pied danser. On en parla aussi.
C’est cette inconstance que j’ai retrouvée dernièrement. Elle me regardait avec mépris lorsque nous nous étions croisés les semaines qui ont suivies notre séparation, pour accepter un déjeuner dernièrement puis me proposer de m’héberger pour « m’éviter des trajets trop longs et pénibles ».

J’ai compris d’où venait, en partie, ce regain d’intérêt (si on peu l’appeler ainsi). Je me suis séparé de mon associée dernièrement, associé qui a essayer de me la faire à l’envers et j’ai également, en lien avec tout ça, risqué ma place dans la formation que j’ai eu tant de mal à intégrer. Mes responsables et ma direction voyant d’un très mauvais œil mes projets personnels. J’ai donc du montrer patte blanche et accepter de revoir mes ambitions à la baisse jusqu’à la fin de ma formation.

Lorsqu’elle l'a appris , elle s’est adoucie et c’est comme si son intérêt avait augmenté à nouveau. Malsain, oui je trouve aussi.


Bref, je savais qu’on était totalement incompatible pour une relation longue mais j’avais toujours terriblement envie d’elle. Physiquement elle était ce qui me plaisait, mon morphotype. Et le comble c'est qu'elle était une toute autre personnes une fois déshabillée ou sous les draps. Ces deux facettes étaient vraiment troublantes. J’ai d’abord cru, à tort, que c’était une femme à l’aise avec sa sexualité mais qu’elle la réservait à ceux qui le méritait. J’ai compris que c’était simplement une fille dont les voies d’accès au plaisir étaient assez faciles et avec qui il fallait simplement pousser un peu, voire forcer.

C’est ce qui se passa hier soir. Elle me refusa ses lèvres à plusieurs reprises mais n’était pas contre un rapprochement physique durant la soirée. Elle avait recommencé à fumer et se senti obliger de me le montrer en fumant plus qu’à son habitude. Elle semblait prendre l’ascendant sur moi à chaque cigarette supplémentaire qu’elle allumait. Après s’être refusée une dernière fois et me disant que je n’étais pas venu là pour ça, elle fit semblant de préparer le canapé sur lequel je devais dormir, mais m’invita finalement à la rejoindre dans son lit, pour dormir. C’est quand elle éteignit la lumière que je compris son message :

Prends-moi mais il n’y aura aucun signe d’affection.

C’était encore plus puissant que dans mes souvenirs. La malbouffe et la cigarette faisant à nouveau partie de ses habitudes, elle avait pris un peu de hanches qu’elle cambrait d’une manière absolument indécente. Je l’avais rarement vu si excitée et elle pris son pied plusieurs fois avant même qu’on commence. Elle avait le souffle court, écartait ma bouche de ses cuisses encore tremblante mais m’avait refusé ses lèvres à plusieurs reprises.

Lorsqu’elle recommença à se frotter à moi pour recommencer, encore une fois, mon cerveau à beuggé définitivement. Comment est-ce que je pouvais la sangler ainsi contre moi, comment pouvait-elle se donner de cette façon et me refuser ses lèvres? Rajoutez à cela le récit de ses dernières aventures et vous aviez le cocktail parfait pour vous retourner le cerveau...
Je n’ai jamais eu recours au sexe tarifé mais c’est un peu l’impression que j’ai eue.

La nuit me remit les deux pieds sur terre, même si j’eus le sommeil très léger. Comme je ne savais pas si je reviendrai ce soir, je la repris ce matin sans même essayer de l’embrasser ou à faire preuve de gestes d’affection.
Elle traversa son appartement nue, et me lança un regard furtif. Une fois dehors de la douche, elle me lança un "tchao!" comme si la personne que j'avais en face de moi n'était pas la même que celle de cette nuit.

Je la désirais autant que je la méprisais.
By James ex S
#169850 [quote]E : Quand est-ce que tu finis ton stage ?
M : Dans deux semaines. Est-ce que tu comptes me revoir ?
E : Tu peux passer quand tu veux, la porte est ouverte.
Et un peu plus tard…
[quote]E : Bon, dis-moi, quand est-ce que tu passes me revoir ?
Je vous avais parlé d’inconstance…


La nuit m’avait bien ramené les deux pieds sur terre et je suis retourné chez elle le lendemain soir. Je m’y suis rendu plus sereinement, plus détaché. Je fonctionne comme ça, j’ai parfois besoin de gouter à quelque chose (en l’occurrence à quelqu’un) jusqu’à en être dégouté.


J’ai pris une douche en rentrant et travaillé un moment sur mes cours. J’étais moins bavard, moins présent. J’étais au final devenu comme elle l’espace d’une soirée. J’en avais tellement bavé la veille au soir que j’étais plus détaché. On s’est échangé des banalités pendant le souper. Je ne me rappelle même plus qu’est-ce que nous nous sommes dit. Nous sommes finalement montés nous coucher tôt, en sachant que l’heure à laquelle on entrerait dans son lit ne serait de loin pas l’heure à laquelle on s’endormirait.

Avant qu’elle se déshabille, elle me dit :
[quote]E : Tu as remarqué que je n’ai pas fumé une seule fois ce soir ?
M : Bien sur que j’ai remarqué, mais je n’allais pas de faire la remarque fièrement.
E : Il me reste une seule cigarette, je pense que c’est ma dernière !
M : Tu n’es pas obligée tu sais.
Une fois au lit, le même scénario que la veille se produisit, enfin presque le même. Lorsqu’elle éteignit la lumière, je lui dis de la laisser allumée. Une lumière douce qui ne faisait que tamiser la pièce. Elle recommença le même scénario que la veille, me tendant ses fesses pour que je la prenne à la seule différence qu’elle se tourna peu après vers moi pour m’embrasser à pleine bouche et me laisser quelques marques sur le corps.

Un peu plus tard, transpirante et collée à moi elle me murmura :
[quote]E : Tu ne me dis rien?
M : Et toi, dis moi quelque chose.
E : Je ne sais pas, tu es bizarre. C’était bien ?
M : Ca a toujours été bien entre toi et moi, c’est pour ça que je suis là.
E : Oui, ça a toujours été particulièrement intense avec toi.
Elle m’avait avoué un peu plus tôt qu’elle avait arrêté les moyens de contraception et que c’était sa façon à elle de se forcer à se protéger. Chose qu’elle omettait souvent de faire. Et pour une fille qui avait de la peine à dire non, ou, dit plus simplement, qui se sentait tellement valorisée à chaque fois qu’elle se faisait draguée qu’elle cédait aux hommes un peu entreprenants, ça pouvait être un problème.

Pour ma part, il n’y avait aucune négociation possible là-dessus, on se protégeait, ce qui ne l’empêcha pas d’essayer à plusieurs reprise de me faire entrer en elle sans. Lorsqu’elle aborda le sujet le lendemain et que je lui fis la remarque elle me répondu le plus simplement du monde :
[quote]E :Mais c’était pour rire.
On recoucha ensemble au réveil, toujours avec la même intensité et elle ne voulu plus quitter le lit. Quand je partis sous la douche, elle insista pour venir avec moi.

Lors du petit-déjeuner, un jus de fruits fraichement pressé à la main, elle me dit :
[quote]E : Tu sais, je ne suis plus certaine de partir en Erasmus (alors qu’elle venait de payer son billet d’avion et la caution pour son appartement la veille - ce que je lui ai aidé à faire comme elle n’y comprenait rien).
M : Qu’est-ce que tu racontes ?
E : Ben tu sais, il suffit que je loupe un examen pour que mon voyage tombe à l’eau.

Elle est douée, très douée.

Elle m’a écrit hier soir pour me dire que j’avais oublié quelque chose chez elle et que je pouvais passer le reprendre la semaine prochaine, comme c’était sur mon chemin.

J'ai compris quelque chose avec cette fille. L'inconstance peut me retourner la tête assez violemment. Et je pense que je saurais m'en prémunir la prochaine fois. La connexion sexuelle de malade, comme ça arrive quelques fois dans une vie (pour ma part 3 fois depuis mes premiers ébats) qui s'est greffée la dessus n'a en effet pas aider.
By john dilinger
#169859 [quote]E : Tu sais, je ne suis plus certaine de partir en Erasmus (alors qu’elle venait de payer son billet d’avion et la caution pour son appartement la veille - ce que je lui ai aidé à faire comme elle n’y comprenait rien).
M : Qu’est-ce que tu racontes ?
E : Ben tu sais, il suffit que je loupe un examen pour que mon voyage tombe à l’eau.
Traduction en langage des hommes po favor...
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By Léo
#169862 [quote="john dilinger"][quote]E : Tu sais, je ne suis plus certaine de partir en Erasmus (alors qu’elle venait de payer son billet d’avion et la caution pour son appartement la veille - ce que je lui ai aidé à faire comme elle n’y comprenait rien).
M : Qu’est-ce que tu racontes ?
E : Ben tu sais, il suffit que je loupe un examen pour que mon voyage tombe à l’eau.
Traduction en langage des hommes po favor...

Je me demande si certains de ses plans"ressources" prévus pour son Erasmus ne seraient pas tombés à l'eau.. Hypothèse.
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By la mouche
#169864 [quote="Arthus"][quote="john dilinger"][quote]E : Tu sais, je ne suis plus certaine de partir en Erasmus (alors qu’elle venait de payer son billet d’avion et la caution pour son appartement la veille - ce que je lui ai aidé à faire comme elle n’y comprenait rien).
M : Qu’est-ce que tu racontes ?
E : Ben tu sais, il suffit que je loupe un examen pour que mon voyage tombe à l’eau.
Traduction en langage des hommes po favor...

Je me demande si certains de ses plans"ressources" prévus pour son Erasmus ne seraient pas tombés à l'eau.. Hypothèse.
+1

Ou elle teste le potentiel "ressources" de James et sa capacité à en capter une partie (ou une partie future vu que tu es étudiant)
By john dilinger
#169865 Pour l'instant ça me semble une bonne manipulation avec une fausse envie de rester de plus en plus mise en avant jusqu'à obtenir de James une supplication qu'elle reste, ce qu'elle ne fera pas. Juste pour tester son niveau d'intérêt pour elle.

Mais c'est un tantinet parano de ma part...
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By DancingRonin
#169868 Ecorchée par la vie (avec rapport au père foireux inside j'imagine) => inconstance dans le comportement à la limite de l'ingérable et apprêtement vu comme un déguisement et non comme quelque chose de naturel.

Les deux critères sont vérifiés. Bon chance (avec l'accent russe)
By James ex S
#169874 [quote="DancingRonin"]Ecorchée par la vie (avec rapport au père foireux inside j'imagine) => inconstance dans le comportement à la limite de l'ingérable et apprêtement vu comme un déguisement et non comme quelque chose de naturel.

Les deux critères sont vérifiés.
Pas si écorchée que ça par la vie mais histoire familiale compliquée, gros manques affectifs et rapport au père foireux oui. Pour ce qui est de l'apprêtement, bien joué puisque je n'en ai jamais parlé ici. Elle ne se maquille pas beaucoup, n'aime pas ça et s'apprête uniquement pour sortir en soirée.
By James ex S
#169875 [quote="john dilinger"]Pour l'instant ça me semble une bonne manipulation avec une fausse envie de rester de plus en plus mise en avant jusqu'à obtenir de James une supplication qu'elle reste, ce qu'elle ne fera pas. Juste pour tester son niveau d'intérêt pour elle.

Mais c'est un tantinet parano de ma part...
Pas si parano que ça je te promets.
C'est en effet la manifestation d'une fausse envie de rester. Elle a payé son billet et son logement tout récemment. Et quand je dis que je l'ai aidée, c'est bien sur d'un point de vue administratif puisqu'elle ne savait pas comment réaliser un paiement à l'étranger.

James, son sponsor?
Non, je ne pense pas, j'en suis même certain.

Je n'ai jamais été son sponsor et ne le serai jamais, elle le sait très bien. C'est ce qui m'avait d'ailleurs surpris pendant notre relation. Elle avait à plusieurs reprises investi financièrement sur moi, insistant pour m'inviter de nombreuses fois lorsque nous sortions.

Pour ce qui est des ressources de son Erasmus, elle a touché une bonne bourse. Je trouve même les montants plutôt indécents (plusieurs milliers de francs pour un semestre) quand on sait en quoi consiste un tel voyage.
By James ex S
#169878 Bonne bourse, billet d'avion et logement réservé (et payé) engagement pris auprès de deux filles de sa classe (dont une "amie") avec qui elle part... C'est en effet un peu de manipulation et une belle fausse envie de rester.

J'ai presque l'impression qu'elle me prend pour un con: je lui donne un coup de main pour ses billets d'avion et ses réservations et le lendemain elle me fait le coup de la fille qui ne sait plus si elle va partir :mrgreen:

Elle est forte et je me dis que si je n'avais pas le bagage que j'ai aujourd'hui (merci au patron si il passe par là), je me serais bien cassé les dents mais alors méchamment avec une fille pareille.