- Jeu Aoû 29, 2013 4:48 pm
#137080
Quelque chose a semble-t-il changé, en tout cas, j'ai fait la même chose trois fois depuis samedi ; il ne s'agit donc point d'un hasard.
A vrai dire, je l'avais aperçu qques rues plus loin, mais n'avais pu aller la voir car elle était rentrée dans un bar. Je pensais sur le moment qu'elle y travaillait, mais tournant en rond dans les environs de mon quartier afin de me relaxer, je recroise la fille un peu plus tard.
Les choses commençaient pourtant moyennement, puisque la fille abordée pour la présente histoire, avait commencé à marcher plus vite lorsque je me suis porté à sa hauteur. Tjs le sourire MrGreen, et c'est parti !
[quote]M : Pourquoi tu marches plus vite ?
E : Je dois rentrer chez moi.
M : Ah bon, ya qqn qui t'attend
Sur ces mots, je me reporte à sa hauteur, on passe l'interaction en français, et de là s'enchaînent questions personnelles de la nana. En fait, c'est elle qui comblait les blancs et à chaque fois qu'elle ouvrait la bouche, c'était pour en savoir plus sur moi, où j'habite, où je vais, si je travaille, combien de temps j'habite dans ce pays etc.
Au milieu de l'interaction, elle me demande si mon resto recrute, ce qui fait donc écho à son entrée dans un bar plus tôt : elle cherche du boulot. Je lui dis qu'effectivement elle ressemble à une serveuse et que je comptais lui demander une bière, ça la fait rire. Malheureusement, je m'éjecte, sans raison apparente, sauf le spectre de mes flakes et foirages récents.
Tant pis, car selon ses mots elle rentrait chez elle, et même si c'était faux, elle était forcément dispo. J'ai manqué un peu de relâchement de mon point de vue, qqch de light puisqu'elle a été d'accord pour me parler. Et allez savoir, j'aurais pu lui faire le coup de la scène d'ouverture (bah oui, ça m'aurait rien coûté)
Puis, le soir vers 10h30, à l'arrêt de bus, une fille assise par terre attendant le même transport, me regarde une fois ; debout, le regard haut, je baisse les yeux, la vois et détourne. Nouveau contact de la fille 1 ou 2 minutes après, et c'est elle qui détourne. Bon, je sais, il fait un peu sombre, ya un gars qui attend aussi, mais je me dis que je dois y aller. On ne regarde pas un jeune homme deux fois en deux minutes par hasard, surtout dans la pénombre d'une rue, et quand bien même c'est l'un des grands axes de la ville. Après un temps, je me lève, me place devant elle, et c'est parti, elle assise, moi debout. Remballage d'iPod (le sien).
Un truc me chagrine quand elle se dirige vers le bus qui arrivait, car je me retrouve derrière elle. Elle s'assoit sur une place individuelle, moi non loin. Merde c'est trop con, va au bout de l'affaire, me dis-je, si tu la fais chier, elle te le fera comprendre par des monosyllabes. Je me présente, elle aussi. Elle avait ressorti son iPod, mais celui-ci disparut dans le flot de la conversation qui va suivre.
Ce qui suit ressemble à s'y méprendre à l'autre interaction de l'après-midi, c'est-à-dire suite de questions perso à mon égard, si ce n'est ce qui précède quand je lui demande où elle va et qu'elle me dit qu'elle rejoint son copain. Et pourtant, elle est quand même curieuse cette petite, et jeune avec ça, plus que ce que je pensais, vue sa manière de parler et son physique.
Ca enchaine sur des questions de maturité, et elle m'accorde que les filles sont globalement plus matures que les mecs du même âge, et m'avoue même que son mec fait plus jeune qu'elle (tiens, j'aurais pu lui dire qqch comme : "quand je t'ai vue, je me suis dit qu'il te fallait un mec qui fasse plus âgé que toi : qui se ressemble s'assemble pas vrai ? )
Je lui dis que ya des mecs de 40 ans qui sont des bombes, et elle me répond qu'elle ne sait pas. Logique, lui dis-je, tu ne regardes pas les hommes de cet âge, mais ça va venir Elle enchaine en disant que des femmes de 40 ans aussi sont belles, ce à quoi je réponds qu'en proportion y'en a moins que les hommes.
[quote]E : Ouais, ça dépend comment les gens vieillissent
Rien de bien croustillant sous le soleil à ce moment, et dommage que je n'ai pas été couillu en lui proposant de venir avec moi pour un café. De toute façon, j'ai pas pris le numéro. Je lui ai serré la main pour me barrer, et alors que je me dirigeais vers l'avant du bus pour sortir en lui tournant le dos, elle me lance, rire gêné ou déçu ou amusé ou je sais pas, "bonne continuation dans cette ville".
A vrai dire, je l'avais aperçu qques rues plus loin, mais n'avais pu aller la voir car elle était rentrée dans un bar. Je pensais sur le moment qu'elle y travaillait, mais tournant en rond dans les environs de mon quartier afin de me relaxer, je recroise la fille un peu plus tard.
Les choses commençaient pourtant moyennement, puisque la fille abordée pour la présente histoire, avait commencé à marcher plus vite lorsque je me suis porté à sa hauteur. Tjs le sourire MrGreen, et c'est parti !
[quote]M : Pourquoi tu marches plus vite ?
E : Je dois rentrer chez moi.
M : Ah bon, ya qqn qui t'attend
Sur ces mots, je me reporte à sa hauteur, on passe l'interaction en français, et de là s'enchaînent questions personnelles de la nana. En fait, c'est elle qui comblait les blancs et à chaque fois qu'elle ouvrait la bouche, c'était pour en savoir plus sur moi, où j'habite, où je vais, si je travaille, combien de temps j'habite dans ce pays etc.
Au milieu de l'interaction, elle me demande si mon resto recrute, ce qui fait donc écho à son entrée dans un bar plus tôt : elle cherche du boulot. Je lui dis qu'effectivement elle ressemble à une serveuse et que je comptais lui demander une bière, ça la fait rire. Malheureusement, je m'éjecte, sans raison apparente, sauf le spectre de mes flakes et foirages récents.
Tant pis, car selon ses mots elle rentrait chez elle, et même si c'était faux, elle était forcément dispo. J'ai manqué un peu de relâchement de mon point de vue, qqch de light puisqu'elle a été d'accord pour me parler. Et allez savoir, j'aurais pu lui faire le coup de la scène d'ouverture (bah oui, ça m'aurait rien coûté)
Puis, le soir vers 10h30, à l'arrêt de bus, une fille assise par terre attendant le même transport, me regarde une fois ; debout, le regard haut, je baisse les yeux, la vois et détourne. Nouveau contact de la fille 1 ou 2 minutes après, et c'est elle qui détourne. Bon, je sais, il fait un peu sombre, ya un gars qui attend aussi, mais je me dis que je dois y aller. On ne regarde pas un jeune homme deux fois en deux minutes par hasard, surtout dans la pénombre d'une rue, et quand bien même c'est l'un des grands axes de la ville. Après un temps, je me lève, me place devant elle, et c'est parti, elle assise, moi debout. Remballage d'iPod (le sien).
Un truc me chagrine quand elle se dirige vers le bus qui arrivait, car je me retrouve derrière elle. Elle s'assoit sur une place individuelle, moi non loin. Merde c'est trop con, va au bout de l'affaire, me dis-je, si tu la fais chier, elle te le fera comprendre par des monosyllabes. Je me présente, elle aussi. Elle avait ressorti son iPod, mais celui-ci disparut dans le flot de la conversation qui va suivre.
Ce qui suit ressemble à s'y méprendre à l'autre interaction de l'après-midi, c'est-à-dire suite de questions perso à mon égard, si ce n'est ce qui précède quand je lui demande où elle va et qu'elle me dit qu'elle rejoint son copain. Et pourtant, elle est quand même curieuse cette petite, et jeune avec ça, plus que ce que je pensais, vue sa manière de parler et son physique.
Ca enchaine sur des questions de maturité, et elle m'accorde que les filles sont globalement plus matures que les mecs du même âge, et m'avoue même que son mec fait plus jeune qu'elle (tiens, j'aurais pu lui dire qqch comme : "quand je t'ai vue, je me suis dit qu'il te fallait un mec qui fasse plus âgé que toi : qui se ressemble s'assemble pas vrai ? )
Je lui dis que ya des mecs de 40 ans qui sont des bombes, et elle me répond qu'elle ne sait pas. Logique, lui dis-je, tu ne regardes pas les hommes de cet âge, mais ça va venir Elle enchaine en disant que des femmes de 40 ans aussi sont belles, ce à quoi je réponds qu'en proportion y'en a moins que les hommes.
[quote]E : Ouais, ça dépend comment les gens vieillissent
Rien de bien croustillant sous le soleil à ce moment, et dommage que je n'ai pas été couillu en lui proposant de venir avec moi pour un café. De toute façon, j'ai pas pris le numéro. Je lui ai serré la main pour me barrer, et alors que je me dirigeais vers l'avant du bus pour sortir en lui tournant le dos, elle me lance, rire gêné ou déçu ou amusé ou je sais pas, "bonne continuation dans cette ville".