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Modérateurs: animal, Léo

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By Transcendantal
#115702 Une jeune fille abordée dans le métro cet apm, et un numéro. Discussion commencée le plus naturellement du monde (elle tricotait xD). C'est même elle qui a relancé quand après mon ouverture, je me suis arrêté. J'ai presque eu tous les signes d'intérêt du monde, alors que j'ai rien fait de spécial :shock: J'ai dit n'imp, normal quoi, et avant de partir, la fille me fait :"Une rencontre typique, appelle-moi."

:mrgreen:


C'est pas la fille la plus belle du monde, donc elle m'intimidait pas vraiment. Elle a quand même une jolie petite frimousse. Mais bon, les cadors d'entre nous, ceux qui ont entrepris de se sortir les doigts pour vaincre leur AFCisme, sont passés par là au départ, par des filles un peu moins belles, donc...

Dommage, par la suite, j'ai laissé passer une brune superbe dans le bus, parce que yavait bcp de gens autour qui pouvaient tout entendre... Un peu plus tard, eye contact et sourire d'une blonde qui se trouvait déjà là, je l'aborde, de façon un peu aggressive peut-être. Les gens autour ont entendu évidemment, elle s'est braquée (shit test ?), et j'ai pas insisté. Il est vrai que mon "Excusez-moi mademoiselle, on se connaît non ?" était un peu bancal :mrgreen:
J'ai ouvert une black ensuite, mais en m'en foutant (car pas du tout mon genre), elle me regardait à peine, donc ciao. Puis, une autre, un peu surprise que je lui parle, mais qui m'a offert un beau sourire ensuite. Pas insisté car elle me semblait un peu jeune finalement, bien qu'elle m'ait semblé assez ouverte à une suite.
Là où j'ai un peu foiré, c'est avec une Asiatique, tjs dans le bus. Eye contact juste après qu'elle est montée. Rien de spécial sur le coup. Le bus étant bondé, le mouvement de foule nous a conduits à nous retrouver elle et moi côté à côte. J'en profite pour lui dire qqch, et faire une blague pourrie. Elle réagit fort bien (cohérence avec le eye contact). Dommage, je devais descendre, donc éjection.
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By Transcendantal
#115748 Je poursuis donc les efforts, l'état d'esprit et l'énergie reviennent. Il faut dire que le sport aide grandement. Une grosse séance d'entrainement jeudi avec le groupe. Je ne l'avais pas vu depuis l'été dernier. Malgré un entrainement squelettique depuis 1 mois et demi (1h par semaine au plus), malgré un mental égratigné par ce mois de galère, j'ai signé des chronos d'une autre planète.

"Le regard du tueur", me dit mon entraineur. Ou comment le sport (et a fortiori, le sport de haut niveau, même si j'en suis pas encore là) me permet de me sentir homme.

Je crois avoir tapé dans l'oeil d'une des filles du groupe. Je la connaissais pas auparavant, mais après lui avoir parlé, j'ai chopé au vol qques contact visuel. Je l'ai recroisée le lendemain dans un café. Comme par hasard. On a bcp parlé, j'ai senti qu'elle voulait que l'interaction se poursuive quand je lorgnais vers mon ordi. Assise à la table à côté de moi sur la banquette qui longeait le mur, elle avait le corps tourné vers moi, tandis que mon body language était peut-être un peu trop statique. C'est comme si elle voulait que l'on se rapproche. Bon, elle fait assez négligée, je me suis posé la question de savoir si je pouvais aller plus loin, mais non. Ouvrir ses critères en attendant d'avoir un plus haut niveau, ok, mais il faut se fixer des limites. Au final, j'ai juste pris son facebook. Au mieux, ce sera une pote.

Du coup, j'ai pas pu socialiser avec d'autres personnes, si ce n'est plus tard avec des commerçants, puis dans le bus avec encore une jolie Asiatique ; mais trop chargé, je ne suis pas allé plus loin (pas de numéro).

Par ailleurs, j'ai fait l'achat de la bio de Steve Jobs et du bouquin de David D. Burns, Feeling good, the new mood therapy, qu'un membre avait conseillé dans un ancien sujet. Le mois de merde écoulé m'a beaucoup appris. Qqch comme un déclic s'est amorcé. Car :
- Depuis que les choses vont mieux, je fais l'effort d'avoir des gestes beaucoup plus lents, de marcher bcp moins vite dans la rue : ça aide beaucoup à être plus décontracté et beaucoup plus sûr de soi, beaucoup plus serein. L'idée n'est pas d'avoir 2 de tension évidemment.
- Je me répète toujours la phrase selon laquelle "les belles filles sont des personnes normales". C'est pas encore ça, mais la lutte contre l'anxiété vis-à-vis d'elles est amorcée. Le bouquin de Burns n'a pas été acquis pour rien. Sans parler de la bio de Steve Jobs.
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By Transcendantal
#115872 J'ai appelé la fille du métro. Le papier où est inscrit son téléphone va passer dans la cuvette des chiottes, parce qu'elle a refusé le rdv prétextant qu'elle s'était évanouie en fin de semaine dernière et qu'elle devait passer des exams ou je ne sais trop quoi. Ne pouvant donc sortir de chez elle pour éviter une rechute à l'extérieur, elle m'a suggéré de rappeler la semaine prochaine. Tu parles, Charles !
C'est peut-être vrai, car la première impression que j'ai eue sur elle m'a renvoyé à une fille low self esteem. L'une des premières choses qu'elle m'a dites évoquait son incapacité de parler en public. Des paroles négatives dans un début d'interaction ne sont jamais bon signe : qqn bien dans ses pompes n'ira pas dire cela au début. Elle ne s'est jamais mise en valeur pour compenser par la suite.

Socialisation dans la queue d'une boulangerie avec deux blacks, mais bon pas mon style, donc je cherche pas plus, bien que l'une d'elles m'aient envoyé qques signes d'intérêt.
Une autre abordé dans l'escalator du métro, une Française. C'est d'ailleurs elle qui au tout début relance la conversation, qques questions perso (ce que je fais dans la vie, où j'habite, si je me plais à Montreal...) and all. Elle, au contraire de l'autre, s'est pas mal mise en valeur, affirmant qu'elle parlait bien anglais, qu'à une époque yavait l'allemand aussi etc. De mon point de vue, elle n'a pas été "too much" dans ce registre, donc a priori rien de négatif. Petit pb logistique pour prendre son numéro, mon portable étant en panne. Je n'avais en plus rien pour écrire. Elle m'annonce en plus à la dernière minute qu'elle doit descendre, je suis un peu surpris, et me dit son numéro que j'essaie de retenir... plus sûr d'avoir bien retenu au final.
En y repensant, je me rends compte qu'elle m'avait peut-être remarqué auparavant quand on est descendu du métro, ayant marché qques instants derrière elle (sans arrière-pensée)...

Voilà, mine de rien, ça fait quand même du progrès, je tergiverse bcp moins pour aborder, j'utilise correctement les circonstances. Mais c'est pas assez. Il me manque les conseils live d'un bon pote spécialiste en la matière... je passe sous silence l'absence de "pied derrière le cul", comme dirait Alexandre, mais on fait avec. Je vais poster sous peu l'échange avec cette Française, un échange qui a été très NORMAL. Peut-être même banal... Anyway.

PS : je suis dans un café au moment où j'écris ces mots, et il y a une brune superbe en face de moi qui m'a à coup sûr remarqué. En bien ou en mal, d'ailleurs. Langage corporel ouvert, recoiffages à la pelle, coups d'oeil sur sa droite où je me trouve (avec un vieux :mrgreen:) Mais je flippe à l'idée de traverser la salle pour aller lui parler devant tout le monde, et a fortiori, devant son pote (mec ?). Tant pis, le temps que je réagisse, il est déjà trop tard.
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By kero
#115880 [quote="Transcendantal"]J'ai appelé la fille du métro.

Tu sais qu'aujourd'hui tout ne se fait plus que par SMS ? Je n'ai plus rappelé une nana pour proposer un rencard depuis un booooon moment. Dans une discussion sur un forum concurrent, Blusher m'a confirmé dans l'inutilité de tenter de rappeler. La plupart du temps, tu tombes sur le répondeur, le reste du temps, c'est weird.

Plan d'attaque.
1) Tu choppes le num.
2) Quelques heures après, tu renvoies un messages. "Salut c'est kero. Comme promis (parce que tu lui as promis), voilà mon numéro: 06XX. À bientôt, kero."
3) 2 jours après (entre 2 et 4, avec una nana connu vite fait, vaut mieux pas trop s'attarder), tu relances via SMS et tu proposes une date direct.

Pour l'instant, chez moi, c'est la technique qui marche le mieux. Tous mes derniers plans culs se sont faits comme ça. Sans exception.

PS: Pourquoi ne pas appeler ? De mon point de vue, parce que moi-même (comme beaucoup d'autres), je réponds à 10% des appels qu'on me passe tout au plus. Pas parce que je veux pas, mais soit parce que j'entends pas le téléphone, soit il est sous vibreur, soit je suis occupé à autre chose (avec des gens ...), soit ...

SMS.
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By Dje
#115883 Je confesse volontiers être dubitatif, moi aussi, sur l'intérêt d'appeler. À mesure qu'on se rapproche de la génération SMS illimité, l'appel fait de plus en plus partie de ces choses qu'on ne partage qu'avec les proches.
J'en suis pour le moment resté à un choix mi-figue mi-raisin. J'annonce que j'appellerai bientôt, en prenant soin de ne pas préciser quand puisque je ne le sais pas moi même. J'envoie ensuite un SMS tôt après la prise de numéro pour que le mien ne soit pas affiché inconnu lorsque je passerai ce fameux coup de fil.

Ceci dit, je confesse volontiers que m'en remettre à l'appel me mène souvent à des cafouillages. J'aime convenir d'un rendez-vous de manière fluide. Se rater mutuellement au téléphone une ou deux fois, devoir se rabattre ensuite aux SMS, tout ça prend de l'énergie et n'a rien de stylé.
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By Transcendantal
#115951 Merci les gars, mais pour le moment, je vais devoir faire sans pendant encore 2 semaines, étant en galère de portable.

Quelques petites choses intéressantes qui se sont passées aujourd'hui :

je me rends dans un café où je connais une des serveuses, et pour cause, elle a été une de mes étudiantes l'an dernier. Le contact est pas mal avec elle, je m'efforce de communiquer de l'énergie et de la bonne humeur, elle me répond avec un entrain proportionnel, donc c'est correct.
Dans la queue, j'ai abordé une fille. Elle était avec trois ou quatre copines. La discussion s'engage sur un truc bidon (=normal), et j'insère les copines dans l'interaction en utilisant le pronom "vous". Mon attention se referme rapidement sur celle qui m'intéressait, et les trois autres, constatant la chose, s'éjectent d'elles-mêmes. J'ai de bons retours de la fille qui se montre plutôt enthousiaste. Et là c'est le drame, elle doit commander son affaire, si bien que le serveur me coupe dans mon élan. Fin. Elle commande, et me dit au revoir. Plus tard, je la croiserai deux fois dans la salle pour rencontrer durant ces deux reprises son regard et son petit sourire en coin. Allez savoir, c'était peut-être de la pure politesse. Mais j'étais scié qu'on m'ait coupé l'herbe sous les chaussures de la sorte !

Une fille que je connais débarque par la suite, c'était l'une qui avait refusé d'aller boire un café avec moi quand je lui avais proposé, et qui connaît pas mal cette blonde avec qui j'avais pris un vent monumental malgré ses signes d'intérêt. L'interaction est bonne, je passe un excellent moment pour ma part, et je tente de montrer du détachement et de l'assurance. La conversation dérive ensuite vers le thème de la relation homme/femme sous l'impulsion de la fille qui finit par me dire que les filles tombent facilement amoureuses des hommes très beaux et très intelligents, et ce qui n'est pas le cas des hommes à l'égard des filles très belles et très intelligentes. Je lui réponds que pour moi c'est plutôt l'inverse, et que ce sont les hommes qui sont le plus enclins à sacraliser les femmes que l'inverse. Cela a-t-sexué ? Elle pose pas mal de questions perso, on découvre qu'on a vécu dans le même quartier de Paris. La conversation en vient à un échange dans cette veine :

[quote]
M : Une fois, ma soeur a carrément détruit l'ordi de la maison, le truc démarrait plus. Alors elle allait peut-être sur des sites bizarres...
E : Genre sur des sites porno...
M : Ouais grave...
E : Je me demande si mon frère de 14 ans fait ça d'ailleurs ?
M : A 14 ans, c'est clair et net, (je lui raconte en gros le type de chose qu'ils doit y avoir sur son ordi etc). Il a même dû mettre un mot de passe pour éviter que vous y alliez sur son ordi.
E : Oui, de toute façon je vais jamais sur son ordi... déjà que l'idée de toucher son clavier...


Bref, pendant l'interaction, je me dis que je ferai rien, ni numéro, ni facebook, étant donné qu'elle m'avait envoyé baladé auparavant, mais un contact amical féminin serait quand même pas mal, étant moi-même en train de me constituer un cercle d'amies filles (ce que je n'ai plus depuis un bail).
Je sens qu'elle veut quand même bosser son cours, et je décide de m'éjecter. J'avais en plus un rdv imminent. Avant de partir, je lui demande si elle a facebook, elle acquiesce et me donne son nom, mais me dit que je ne pourrai la trouver, car nous n'avons pas d'amis en commun. Néanmoins, elle m'affirme qu'elle fera le nécessaire pour que je puisse la trouver. Je fais "ok" (sous-entendu, bye bye cocotte), mais elle me demande mon nom, que je lui écris sur un papier (j'ai un nom bizarre :mrgreen:). Je n'ai pour le moment aucun requête d'amis, et je ne sais si je dois le faire devant l'ambiguité de l'affaire que je n'ai pas désamorcé avant de la quitter ?? Mon instinct me dit qu'une fille intéressée ajoute un mec sans sommation, mais bon, l'idée étant juste d'avoir un contact intéressant pour se constituer un cercle plutôt fun..... donc...

Par souci de clarté, la suite sera l'objet d'un post séparé.
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By Transcendantal
#115952 Autres moments notables dans l'interaction avec la fille : j'ai envoyé qques negs, auxquels elle a répondu en tentant de se qualifier. D'ailleurs, c'est assez drôle d'entendre "je suis bonne en sport, niveau cardio", pour ensuite déboucher, sous mon impulsion, par un "En fait, je ne pratique pas de sport précis" "mais j'ai fait ci, j'ai fait ça blablabla".
En quittant le café, je croise le regard de mon ancienne étudiante (qui m'avait certainement vue me lever pour partir), et la salue. J'ai pensé prendre aussi son facebook ou son numéro, mais la croyance limitante qui veut qu'il ne faut pas passer pour un dragueur de base m'a freiné. A la limite, il aurait même plutôt mieux valu que je le fasse à elle, et non tellement à l'autre.

Sinon, globalement, je me sentais plutôt pas mal, je travaille beaucoup à éradiquer de mon esprit les pensées limitantes et négatives, et je réalise que cela apporte une grande décontraction, par opposition à l'anxiété dont je faisais encore preuve en société il y a qques mois. Je suis en effet bcp plus détendu. Mais ce n'est pas encore assez. Je réalise d'ailleurs que sans décontraction, il est quasi impossible d'être séduisant. Ou alors, on va être séduisant, mais cela aura lieu dans des moments de boost ou d'euphorie, et chez moi cela se traduisait par un intérieur en ébullition. Comme si j'avais pris de la drogue ; autant dire que je n'étais pas relax. C'est très éphémère, et tout le monde sait que c'est toujours le lendemain de cuite qui est infernal. Dans mon genre de démarche, on cherche surtout qqch de durable. La durabilité réside dans la culture des pensées positives.

Bref, je constate que le travail opéré sur moi depuis la fin de mes merdes d'enfer se répercutent positivement sur mon esthétique d'existence du quotidien. Un pote me dira même un soir (hier) que c'est moi que la brune qui passait près de notre table a regardé, et non (sous-entendu) lui... Des mots qui confirment que je capte davantage de regards de filles sur ma pomme que pendant mes galères. D'ailleurs à ce moment, je cherchais comme un malheureux les regards des filles (ce que je ne fais plus du tout depuis que je remonte la pente), et tout ce que je trouvais, c'était des coups d'oeil de rejet. Mais je ne veux que la vérité et éviter de tomber dans l'illusion du mec qui se prend pour le tombeur des tombeurs (comme me l'a rappelé à juste titre les interventions d'Animal dans un sujet récemment fermé). Je m'efforce de garder les pieds sur la Terre ferme.

J'ai donc encore qques pb : savoir faire avec les aléas de l'environnement (un serveur "envahissant", une station de métro où elle doit descendre etc) ; mieux cibler les filles avec qui j'ai des chances (cf. plus haut avec les deux dernières) ; virer la pensée limitante du dragueur de base (mais comment faire dans un milieu fermé ?)

Désolé, j'avais bcp de choses à dire, c'est un peu le bordel, n'ayant pas pris le temps de structurer tout ça (ce que je ferai au moment opportun), mais je tenais à coucher par écrit ces choses telles qu'elles ne sont venus en tête afin de mesurer mes progrès et le travail (colossal) qu'il reste à fournir, ainsi que de m'épurer l'esprit du flux important d'informations qui le traverse.
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By Transcendantal
#116174 J'ai failli passer mon mercredi comme un fantôme social, à l'image des trois jours précédents durant lesquels je n'ai pas socialisé ou abordé (barrez la mention inutile). Ca m'avait manqué.

Jeu direct pour cette fois, avec une brune toute mignonne croisée dans un café. Elle bossait ses maths, c'était pas l'idéal, mais si j'étais parti comme un voleur, je l'aurais regretté. A vrai dire, je donnais pas chère de ma peau, mais en lui posant qques questions sur elle, j'ai déroulé un jeu le plus naturel possible. Elle répondait par des phrases suffisamment longues pour que je ne m'éjecte pas au bout de 12 secondes, et son regard était fixement posé sur moi. Je me demande d'ailleurs pourquoi elle m'a parlé de ses parents qui étaient divorcés... Pas de questions perso, cela dit.
Je tremblotais quand même un peu pendant que je lui proposais un café, mais I was in control. N'importe quand, me dit-elle, je fréquente souvent ce lieu. Demande du numéro, je sais plus trop si elle hésite ou pas, et elle finit par être d'accord. Je le note au dos d'un CV qui trainait dans mon sac. Anecdote : pendant que je cherchais un papier, j'ai sorti sans préméditation une capote non usagée de ma poche :mrgreen: Sur le moment un peu gêné je fus, mais quoi de plus normal que d'avoir toujours des munitions sur soi :) Satisfait, je sors. La pêche est alors revenue !!
Rien d'extraordinaire, pas de récit torride, mais ce journal n'est pas vraiment fait pour ça.

Note pour moi-même dans l'optique de la prochaine fois : penser à la contrainte de temps, et à facebook (pour vérifier son intérêt)

Putain, quand même, sans portable, on est perdu.
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By Transcendantal
#116276 Petit post suite à un email que j'ai envoyé à Stéphane, et je souhaitais en faire part à tous.

Comme vous vous en doutez, je fréquente le site depuis un certain temps, j'ai suivi un atelier Spike, commandé déjà deux séminaires, et évidemment j'ai appris un grand nombre de choses. Mais le constat est assez cinglant au sujet de ma timidité car rien de cet enseignement ne m'a permis de l'éradiquer et d'avoir un comportement détendu en société.

Un (ou deux) article évoque l'idée qu'il faut sortir de sa zone de confort, socialiser avec le monde extérieur pour en finir avec ça, donc développer son "muscle social", mais dans mon cas, cela n'a jamais marché, l'état d'anxiété ayant été encore présent (avec un rythme cardiaque au diapason). J'imagine que cela doit marcher chez un certain nombre de timides "peu touchés", mais je pense également que, comme cela n'a pas été suffisant pour moi, cela n'est pas suffisant pour d'autres. Je ne suis pas unique, après tout. D'autres que moi ont certainement une forme aiguë de timidité, et j'imagine que beaucoup d'élèves des atelier étaient comme ça, et même pires. Dans ces cas-ci, on a beau avoir tout l'enseignement du monde, le meilleur, l'état d'anxiété inhérent à la timidité réduira à néant la connaissance acquise, parce qu'elle sera utilisée maladroitement et que le timide aura toujours ce comportement anormal.

Concrètement, dans l'enseignement du site, je n'ai jamais trouvé d'éléments pour combattre les origines du mal, à savoir cet état de stress qui te rend anormal dans des situations normales, et donc pas séduisant. Je pense pourtant que c'est la première chose à faire, parallèlement au fait de s'ouvrir aux autres : agir là où le mal trouve son origine, c'est-à-dire intérieurement. Trouver ce que le timide n'a définitivement pas : la paix intérieure.

Alors peut-être que j'ai raté un épisode dans l'enseignement, je n'ai pas suivi tous les séminaires, encore moins tous les ateliers, mais par la découverte du Zen qui est actuellement en train de m'apporter bcp au service de la décontraction qui me faisait défaut dans les situations normales de la vie quotidienne, il y a comme un déclic.

Je prépare un article sur le sujet.
ByEquus
#116290 L'origine de la timidité tu la retrouves dans ce que t'as vécu dans ton enfance.

Avais-tu quelqu'un dans ton enfance (idéalement un parent) à qui tu pouvais te confier quand tu avais un problème ? Quelqu'un qui t'écoutait, te comprenait, te prenait au sérieux ? (t'es pas obligé de répondre à cette question ici, mais tu peux te la poser quand même)

L'approche de ce site est plus "comportementale" et moins "introspective", et pour trouver la source de ta timidité, il faut que tu remontes à ses origines dans ta propre histoire. C'est le genre de travail qu'on fait dans le cadre d'une psychothérapie (avec un bon psy, et c'est difficile à trouver).

Donc, il est vrai que ce site ne répond pas à ces questions là (et je ne pense pas que ce soit son but, même si ce serait bien qu'elles soient plus abordées).
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By eddy
#116297 [quote]Concrètement, dans l'enseignement du site, je n'ai jamais trouvé d'éléments pour combattre les origines du mal, à savoir cet état de stress qui te rend anormal dans des situations normales, et donc pas séduisant.

En parler comme un mal, c'est déjà mal commencer, et en parler comme un combat c'est mal finir. Le timide est sensible et est le plus narcissique de tout les hommes. Chaque fait et geste doit être "parfait" ou bien encré dans la "normalité" sinon tout le monde va voir que la personne est un naze/loser/imposteur; oui le timide accorde énormément d'importance au jugement d'autrui et se sent toujours scruté, d'où son mal être en société.

Faut simplement arrêter de chercher la perfection du geste, et se laisser aller sur toute son amplitude, c'est la seule manière d'être bien et de projeter une image correcte. Avoir un bon niveau d'énergie et cultiver la légèreté aide considérablement (se tapper une bonne barre de rire et marcher avec entrain dans la rue par exemple).

Je pense qu'un timide restera timide toute sa vie, même si il est charmant, sociable, séduisant.
By Synchronn
#116299 Ce lien avait été donné sur le site :

http://www.redpsy.com/guide/timide.html

Il est intéressant.

Pour le lien avec l'enfance, c'est aussi vrai que Dieu existe...ca reste dans le domaine de l'hypothèse, la psychanalyse n'est en rien une science, je lui préfère les comportementalistes mais si quelqu'un arrive à démontrer l'existence de "l'inconscient" et de la résolution de problème par le conscientisation , je prends et je donne 1000 euros....
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By Transcendantal
#116300 Stop les gars, j'ai pas besoin de tout ça, j'ai trouvé ce dont j'avais besoin. J'ai suffisamment lu ; à présent, il est temps de se vider l'esprit et de passer à l'action (ce que je ne cesse de faire depuis 2 semaines au moins), ainsi que d'apprendre des choses applicables tout de suite. Je ferai un bilan prochainement de ce qui s'est passé.

Je suis donc prêt à utiliser au mieux l'enseignement de ce site.
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By Stan
#116302 Transcendantal, peux-tu préciser quelque chose.

Lorsque je lis ton journal, je constate que tu vas vers des filles, que tu as des interactions avec elles ; pourquoi dans ce cas-là parler de timidité — presque maladif — quand certains, eux, sont paralysés à l'idée d'une simple interaction dans la rue ?