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Modérateurs: animal, Léo

By jazzitup_
#134164 [quote]Non elle me plaisait bien cette petite.

Comment? une impression physique, un déclic, elle correspond à un de tes fantasmes, elle a fait un geste qui te plaît, elle lisait un livre dont le sujet te parle,... comment, spécifiquement, cette fille te plaisait?
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By Transcendantal
#134184 Il faut arrêter de remettre en cause ma personne, car j'ai atteint une conscience de moi-même jamais ressentie auparavant, d'autant plus que personne ici ne m'a pointé ma timidité comme frein premier, et que personne ne m'a pointé, ou émis l'hypothèse d'un travail nécessaire, d'une culture de ma virilité, comme seconde phase au jaillissement de moi-même et de ma personnalité. Je sais qui je suis, après 3 ans de travail acharné, de questions fondamentales posées, je sais donc ce que je ressens quand je vois tel type de filles, donc tout cela est à côté de la plaque.

Je voulais surtout mettre en avant deux choses constatées récemment, que le terrain m'a à nouveau confirmé : d'une part, qu'il faut surtout ne pas parler à une fille à voix basse et sur un ton enfantin, donc fatalement aigu. A chaque fois, je me suis fait dégagé, et j'ai d'ailleurs lu cette idée dans le bouquin de Mystery ; d'autre part, une hypothèse dont je parle plus haut, selon laquelle toute fille qui se fait abordée par un garçon sur le mode "salut ca va ?", et même sur n'importe quel mode d'ailleurs, (à moins que le mec veuille vraiment et sincèrement connaître l'heure ou obtenir une clope :mrgreen: ) sait pertinemment pourquoi il est là face à elle.

Deux autres approches m'ont montré que c'était le cas, après avoir reçu comme réponse à ma première phrase le désormais mythique "j'ai un copain" qui ressemblait plus, sur ces deux interactions, à des réponses automatiques pour exprimer une (relative) indisponibilité. Je dis relative, parce que je commence à prendre de moins en moins cette objection comme une manière de dire non, mais plutôt comme un "non mais". Je ne signifie par là que je vais faire le gros lourdingue, et je mets un bémol pour les débutants pour qui il vaut mieux s'éjecter quand une fille vous dit ça, car vous allez presque à coup sûr être relou malgré vous. Certes, il y a des "j'ai un copain" qui sont vraiment des refus, et avec un peu discernement ça se sent, mais parfois, je ne le sens vraiment pas ainsi. Eh oui, la vérité de la réalité est toujours subtile et nuancée,ce que Mystery, encore lui, sous-entend très justement quand il énonce les qques raisons qui poussent une fille à faire mention d'un copain, imaginaire ou non.

Je poserais donc deux questions, la première sur le particulier, la seconde sur le général (universel ?) :

- la fille m'avait éconduit en me sortant sa réponse automatique, j'étais en train de la laisser partir, ce qui a fait qu'elle s'est trouvé 5 mètres devant moi, et quand avant son départ elle me dit qu'elle est en pause, je comprends alors qu'elle est vendeuse ; je conclus par un grand sourire qu'effectivement "ca se voit", alors qu'elle m'avait donc bien quitté. Normalement, si on n'aime pas ou ne désire pas qqch, on s'en détourne, comme dit le mec, et pourtant la fille m'a regardé par-dessus son épaule. Je ne le suivais pas, précision importante, puisque j'avais bifurqué sur l'escalator qui se présentait là et, autre précision, la fille semblait vraiment un peu pressée, comme en témoignent sa marche rapide et son impatience dont elle a fait état en attendant un ascenseur, qu'elle n'a d'ailleurs jamais pris. Comment donc pareille attitude est-elle possible (le coup d'oeil par-dessus l'épaule), si l'on la rapporte à l'éconduction du début, et donc à un désintérêt apparent ? Et la réponse n'est bien-sûr pas le fait que je continuais de lui parler, et donc la politesse (en séduction, point de politesse, je veux dire, d'attitude par défaut)
- l'autre interaction, c'est la fille qui s'arrête, me répond la même chose, et pourtant me regarde dans les yeux (1er signe d'intérêt), sourit (2ème signe d'intérêt) et me pose une question perso (si je suis français, 3ème signe d'intérêt, bien que, il est vrai, je lui aie déjà demandé son prénom et son pays d'origine). Gros bémol donc sur le 3ème signe qui a moins de force que si c'était elle qui m'avait posé la question d'elle-même, mais elle l'a quand même fait. Donc, au-delà des paramètres sur lesquels je n'ai aucun contrôle et qui existent vraiment, le pb n'est-il pas, encore une fois, question de sens de la répartie, de timing, et ensuite de connexion ?

Ah bah tiens, on retourne à mes défauts actuels, encore et toujours. Tout est cohérent.
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By animal
#134190 Tu penses trop, tu analyses trop, ce qui n'a pas lieu de l'être. Ton problème, c'est que tu examines plus les signes de désintérêt que les signes d'intérêt, et que comme c'est ce que tu cherches, eh bien c'est ce que tu trouves. Je n'ai pas repris depuis le début, mais j'ai l'impression que tu ne nous a conté que des échecs, j'aimerais bien lire les succès, c'est aussi enrichissant et formateur, et avec ton volume d'abordage, je doute qu'il n'y en aie pas eu quelques uns...

Quand à regarder dans les yeux et sourire, ce sont des signes d'intérêt secondaires, c'est un peu comme les pupilles qui se dilatent, dans un vrai rencard et associé à plein d'autres choses ça peut avoir un sens (et encore, ça demande une grosse finesse d'analyse), mais en abordage c'est de la pignolade de juger l'intérêt là-dessus. Si tu as fait un atelier, tu as les 5 signes principaux, ne te bases que sur ceux là.
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By Transcendantal
#134191 Je suis surtout au degré zéro du badinage, et à chaque fois, je ne sais quoi dire pour créer davantage d'attraction, ou je dis tjs la même truc insipide. Je dois tout réapprendre, comme quand une fille qui venait de débarquer avec son groupe dans le vôtre, commence alors à se frotter à vous et à vous parler à 2 cm du visage, oui c'est cool, ça fait monter popol, mais concrètement, vous faites quoi ? vous la prenez contre un mur pour l'embrasser ?

Bah oui, du coup, j'ai laissé filer et j'ai retrouvé la fille en train de rouler des pelles à un autre gars un peu plus tard. Alors c'est surement des questions qui n'ont pas lieu d'être, et la solution serait peut-être de ne pas se poser cette question, de la stopper dès l'instant qu'elle te pourrit la tête, et de faire ce que je voulais vraiment faire.

Je suis un cas exceptionnel, mais tu sais quoi, je sais que je vais y arriver, je n'ai absolument plus aucun doute, ce n'est plus qu'une question de temps, car le terrassement de ma timidité a induit tellement d'effort que le reste ça va être du beurre, surtout s'il y a les bons coups de pieds au cul et électrocs du coach, là pour moi, ça change tout.
By jazzitup_
#134201 [quote]Alors c'est surement des questions qui n'ont pas lieu d'être, et la solution serait peut-être de ne pas se poser cette question, de la stopper dès l'instant qu'elle te pourrit la tête, et de faire ce que je voulais vraiment faire.

Bien observé. Si tu veux travailler sur les questions/pensées qui te pourrissent la tête, je te recommande la méditation, sous la forme qui te convient.
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By Transcendantal
#134670 Je suis en pleine révolution intellectuelle, car je me suis enfin mis à lire durant mon temps libre, plutôt que de rien branler ou de voir des gens juste pour faire genre que j'ai des potes et tuer le temps à deux ou trois.

C'est quelque chose qui fait partie de moi, je veux dire, le fait de se cultiver, j'ai toujours baigné dans les livres, et finalement ce que je faisais que de ne rien faire, c'est-à-dire, ne rien lire, c'était contre (ma) nature. Idem pour le sport, j'en fais depuis mes 10 ans, et les longues périodes où je n'en faisais pas étaient absurdes et servaient de la même manière à mon aliénation. Je ne sais pas si pour un timide qui doit vaincre sa timidité et se révéler au monde ce doit être mentionné, mais dans mon cas, la culture du corps et de l'esprit a pour but d'asseoir définitivement celui que je suis, en plus bien-sûr de rester un jeune homme en pleine santé et en pleine force.

Sur mes abordages, c'est encore compliqué, car bien que je sache sur quel registre je dois jouer pour conclure, je cherche la manière avec laquelle je dois jouer ce registre, et il est fort probable, pour ne pas dire certain, que mon incompétence en badinage soit liée à cette recherche qui n'a pas encore trouvé son objet. L'impression que j'ai est que moins je vais en dire, mieux ce sera pour mes chances de réussite, à condition que je fasse mouche quand j'ouvre la bouche, ce qui revient à acquérir un sens de la répartie et de la formule d'un autre niveau. En fait ce que je veux dire, c'est que c'est d'un chiant de devoir badiner avec une fille, lui parler de choses inintéressantes, et peut-être que ma solution à moi, qui ne marcherait pas chez un mec différent, de jouer sur des formules fortes et très sexuées - mais subtiles, on n'est pas là pour parler de cul comme un boulet - et d'en imposer plus au niveau du corps et du langage corporel, d'occuper l'espace et de mener la danse, au sens presque propre, avec la fille, un peu dans le style du personnage de Saïd vous savez. Je pense également à Shame et au personnage principal qui fait le regard de braise à la rouquine au début du film. Ce regard dit de braise, j'ai tenté récemment avec des filles, et j'ai plusieurs occurrences où la nana est restée scotchée (surtout en soirée ou de la part d'une fille que je connais dans un cercle précis), et c'est impossible qu'il en soit ainsi parce que je lui parais anormal. On se détourne de l'anormalité.

Cette hypothèse du registre qui est le mien, c'est là qqch que j'ai balbutié en abordant une Asiatique dans le métro, qui pourtant était vraiment pressée et m'a donné un certain fil à retordre pour qu'une vraie discussion commence. C'est un canon, donc elle l'a joué "hard to get", en plus du fait qu'elle était pas forcément super dispo sur le moment, et il a fallu insister, ce que je n'ai jamais fait avant, et bien m'en a pris pour ce cas, puisque plus l'interaction avançait, plus je constatais une receptivité en hausse chez la fille. Elle était néanmoins bien sur ses gardes, comme le prouvent le peu de signes d'intérêt évidents et sa manière qu'elle avait de me contredire (il est vrai que parfois j'avais des mots très tranchés). Elle était assise et moi debout, donc je la regardais de haut, avantage ou pas, et j'ai tenté une qualification en la complimentant sur la grâce qu'elle manifestait en marchant, et elle a enchaîné sur le fait qu'à une époque elle a fait de la danse.

Mais peu importe, car quand je lui ai demandé son téléphone, elle m'a dit qu'elle ne pouvait pas le faire, et malgré ma question de l'hypothèse du petit copain - mec dont elle a parlé brièvement puisqu'elle revenait de chez lui - elle m'a répondu que si on se recroise elle me le donnerait, ce qui est bien la preuve que cette nana est ouverte à qqch avec un bel inconnu. Je lui dis alors qu'effectivement en soirée "vous me l'auriez donné sans problème", ou en se revoyant régulièrement dans un cadre précis, ce à quoi elle acquiesce, pour qu'ensuite je mette en doute sa parole et qu'elle me répète sa réponse "si on se recroise, ouais ok je vous le donnerai".

Le truc drôle, c'est que je voulais tellement aller lui parler, que j'ai pris le métro avec elle sans faire attention à la direction, et lorsque l'on a parlé de la station où chacun devait descendre, je lui ai laissé comprendre que je m'étais planté de sens. Ca l'a faite rire évidemment, et quand j'ai senti, et pas forcément à raison mais peu importe, que c'était mort, je l'ai quittée, et dans mon attente de l'ouverture de la porte, ce qui signifie que je lui tournais le dos, elle m'a rebalancé une petite blague sur mon erreur de direction.

Et en partant, je me suis fait une autre hypothèse : la nana ne pouvait, ne voulait effectivement pas me donner son téléphone, mais rien ne me dit qu'elle n'aurait pas été pour une partie plus intime tout de suite. Je vois en bondir certains, pas la peine de me répondre "mais qu'est-ce que tu racontes, tu te prends pour un tombeur", car mon attitude empirique ne me dit absolument rien sur le sujet, que ce soit positif ou même négatif d'ailleurs. L'expérience me montre surtout que je dois arrêter de chercher à tout prix les signes de désintérêt et qu'en soirée, il ne fait aucun doute qu'une conclusion le soir même est plus qu'envisageable, ce que d'ailleurs l'Asiatique a laissé entendre en un certain sens (en laissant plus précisément entendre que les rencontres se font plus facilement en soirée, mais on sait ce qu'il y a derrière). Pour le reste, on ne peut rien dire.

Bref, je vais expérimenter, chercher, débusquer, et je vais trouver.
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By Transcendantal
#134713 Journée douloureuse, j'ai besoin d'écrire, parce que je me suis royalement fait dégager durant 4 abordages, et si j'en suis à un zéro pointé, il y a forcément une raison.

Je ne suis plus en procédure d'évitement, je vais vers les autres, mais qqch cloche. Alors il y a évidemment mon incapacité à badiner, et parfois, ce qui était le cas aujourd'hui, le fait de juste "marcher pour ça", ce qui ne met pas dans le bon état d'esprit.

C'est bien-sûr très vexant de se faire dégager comme ça, de faire peur à la nana, d'être lourd, et de partir la tête basse, le tout bien-sûr, malgré soi.

Et de l'autre côté, notamment au travail, des collègues, hommes évidemment, me font des déclarations d'amour, c'est d'un lourd épouvantable, on parle souvent de moi, c'est pas des histoires, ni du narcissisme, c'est un fait, et même parfois avec certaines clientes ça tourne à la situation ambiguë, voire à une situation qui me laisse une impression d'anormalité, comme lorsqu'une cliente qui avait commencé à parler, j'ai alors pas calculé, pensant qu'elle ne me parlait pas à moi, et qu'en fait si, donc je me suis tourné vers elle pour écouter sa demande, et s'est mise à ne plus trouver ses mots, et à se mettre les mains sur le visage, le tout faisant suite à un échange de sourires loin d'être anodins. C'était horrible, et après ça, je ne pouvais tout simplement plus regarder la fille comme juste avant.

Il y a donc qqch qui cloche : d'un côté, des filles me branchent, ou scotchent à mon regard quand je tente un regard de braise (ce qui semble être dans ma nature), mais je réagis pas ou mal, et je repars broucouille, de l'autre, quand j'agis, même combat, je foire, sauf que là c'est vexant car il y a encore trop souvent rejet de la part de la fille.

Il est vrai que j'aborde bcp des filles un peu pétasses sur les bords, et que vu mon niveau actuel, il est probable que je vise trop haut pour le moment (1), que je dois arrêter de "sortir pour ça" (2), que je dois mener la danse, au sens propre, notamment en soirée quand la fille me parle à deux cm du visage ou se frotte à moi en douceur (3), et que je dois me constituer un cercle avec des gens partageant les mêmes valeurs (4).

Je dis ça, parce que j'ai remarqué que quand je suis avec un ami, et que je lance des sujets de conversations évolués, ça me stimule, mon côté déterminé, viril, leader, prend le dessus, et étouffe ma recherche de validation qui me reprend encore trop souvent. Il faut dire que c'est dur quand même de faire abstraction de son manque quand il est si élevé, à chaque fois que l'on est seul dans la rue. Personne avec qui échanger, pour se détacher, même parfois quand je lis (souvent) au café du coin, le manque est trop fort, l'envie de rencontrer trop forte, et je m'égare.

Si je m'obstine à faire des choses dont je connais pourtant l'inefficacité claire et nette, c'est bien que ça m'arrange (merci Stéphane pour le dernier courrier des lecteurs) d'agir ainsi, alors que dans les faits, il faut vraiment, mais merde quoi, prendre une autre direction.

Mes objectifs : avoir des filles dans ma vie, et pas les plus moches, et comme je travaille les soirs et wk, je sors peu le soir, j'aborde de journée, évidemment et comme par hasard au moment où c'est le plus dur. Donc oui, agir ainsi m'arrange à plus d'un titre, sans parler de mon absence d'action quand la fille est entreprenante, qui m'arrange aussi, puisque j'aime à me contenter de la sensation d'être validé, si d'un autre côté il n'y a pas non plus une forme de peur à l'idée de l'avènement tant recherché, et pour de bon, de ma nouvelle vie, ou en tout cas d'une première victoire.

Dans les faits, il y a un décalage énorme entre mes interactions de jour et celle de nuit, de jour est plus difficile, je n'ai pas de temps à perdre, je n'ai pas la confiance que donne les "conclusions", donc (et c'est vrai que ça m'arrange moins), je dois me forcer à sortir le soir après le boulot, seul ou accompagné - les filles étant là "pour ça" - afin de rééquilibrer la balance en diminuant royalement les occurrences de jour, et surtout agir et mener la danse, comme je disais plus haut, en répondant d'un signe d'intérêt par un signe d'intéret (si la fille se frotte à moi, je dois arrêter d'être droit comme un piquet !!!), ce qui me donnera la confiance dont je manque encore pour arriver la journée plus détaché, et régulièrement ; également me constituer un cercle social, par le sport (corps) et les valeurs qui sont les miennes (esprit) (donc séminaire leadership ?), pour meubler le jour et me détacher de mon manque trop dur à gérer parfois, voire trop souvent, quand je suis seul.

D'ailleurs on comprend tout à fait que le fait de me dire que je n'ai pas de temps à perdre fasse que je me sois obstiné à proposer un café à la fille de but en blanc, ou toute autre chose témoignant d'une envie d'aller trop vite.

Il est clair que l'ensemble de ces actions servira à former ma capacité à badiner.

J'avais besoin de mettre par écrit cette liste de courses, pourrait-on dire, et Animal, si tu as qqch à ajouter, évidemment je t'écoute.
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By Transcendantal
#134722 Non, parce que c'est tellement lourdingue quand au bout d'un moment, un intérêt naît chez la fille. C'est toujours pareil, je fais rien de spécial, juste lui parler normalement, et un beau jour, pour te signifier que tu peux passer, elle te sort "beauty before age", ou à la St Valentin, après que j'ai pris mes distances et qu'elle ne m'adresse plus la parole (je reste moi amical en lui parlant toujours), te dit, en me donnant un couteau qui avait été oublié sur la table qu'on débarassait "voilà mon cadeau, joyeuse st valentin". Mais bon, en toute honnêteté, si j'avais eu les couilles d'être un homme jusqu'au bout (et pas de rester comme un piquet, cf mon post plus haut), qqch aurait pu naître. Pas forcément un couple, et surement pas une amitié platonique.

And that's the point : une vraie amitié fille/garçon, (quand la fille me plaît), je fais pas l'homme jusqu'au bout, je m'arrête en chemin. On revient à ce que je disais dans les autres posts. Le fameux chaînon manquant pour le fameux avènement du début de ma nouvelle vie.
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By BelAmant
#134723 [quote="Transcendantal"]Journée douloureuse, j'ai besoin d'écrire, parce que je me suis royalement fait dégager durant 4 abordages, et si j'en suis à un zéro pointé, il y a forcément une raison.
Tu as le mérite d'avoir tenté ta chance 4 fois malgré ces 4 râteaux, ce qui est révélateur d'une réelle motivation qui portera ses fruits à un moment ou l'autre.

Continue à en manger c'est tout à fait normal.

[quote="Transcendantal"]L'impression que j'ai est que moins je vais en dire, mieux ce sera pour mes chances de réussite, à condition que je fasse mouche quand j'ouvre la bouche, ce qui revient à acquérir un sens de la répartie et de la formule d'un autre niveau. En fait ce que je veux dire, c'est que c'est d'un chiant de devoir badiner avec une fille, lui parler de choses inintéressantes, et peut-être que ma solution à moi, qui ne marcherait pas chez un mec différent, de jouer sur des formules fortes et très sexuées - mais subtiles, on n'est pas là pour parler de cul comme un boulet - et d'en imposer plus au niveau du corps et du langage corporel, d'occuper l'espace et de mener la danse, au sens presque propre, avec la fille, un peu dans le style du personnage de Saïd vous savez. Je pense également à Shame et au personnage principal qui fait le regard de braise à la rouquine au début du film. Ce regard dit de braise, j'ai tenté récemment avec des filles, et j'ai plusieurs occurrences où la nana est restée scotchée
Si tu me permets de te donner un conseil, essais d'oublier dans un premier temps dans tes abordages tout ce qui peu ressembler de près ou de loin à vouloir paraître percutant, impressionnant, brillant.

Oublie dans un premier temps langage du corps, regard de braise, aura alpha, attitude sexy, formules sexuées, répartie qui fait mouche, etc..

Focalise toi uniquement et simplement, dans un premier temps, sur ta capacité à créer une conversation avec les inconnues qui te plaisent et que tu abordes.

Ni plus, ni moins que le fond. Une méthode à suivre basée sur la création de conversation. Avec la pratique, c'est la forme qui viendra d'elle-même.

Tente de pousser à chaque fois jusqu'aux 10 minutes et d'appliquer la même méthode qui te convienne et sur laquelle tu peux te poser pour t'améliorer. Lorsque tu deviendras bon à cela, les signes d'intérêts se révèleront d'eux mêmes sans avoir besoin d'en faire des montagnes pour les obtenir. Ce qui t'enlèvera d'un sacré poids.

Chercher a avoir un beau jeu de séduction plutôt qu'un jeu qui marche, c'est vouloir l'estime des hommes, et non l'amour des femmes.

Aujourd'hui, quelle est ta méthode?
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By Transcendantal
#134733 Tu sais, à ce niveau-là, ce n'est plus de la motivation mais de la détermination, je sais pas d'où ça sort (sa source), peut-être le refus catégorique de vivre par défaut, "comme tout le monde", ce qui m'a toujours fait gerber, même à ma période d'aliénation profonde quand j'avais 18 piges. Déjà à l'époque, les gens me remarquaient (c'était pas toujours très gratifiant cela dit, et je ramais pour me faire respecter, ce qui n'est plus le cas), je me disais souvent que je ne faisais rien comme tout le monde.

Cela dit, c'est vrai que qu'en je crée simplement de la conversation, sans faire gaffe à la façon de faire, ça va tout seul (la preuve, la collègue du "beauty before age"), et effectivement les manières de faire dont je parle déroulent d'elles-mêmes (le regard, le sourire)

Finalement, les solutions, je les ai sous les yeux, depuis des plombes, mais comme elles ne m'arrangent pas... merci BelAmant.
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By Transcendantal
#134762 Même quand dans la rue ou les transports, une fille me bouffe des yeux, ou m'envoie signes d'intérêt évidents, et que je vais la voir, à la fin elle me dit non. Ya pas comme un pb docteur ?
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By BelAmant
#134764 Elle a le droit de te mater (Et toi de l'intriguer) sans pour autant être disponible.
Tu as le droit de mal t'y prendre.

Tu peux décrire précisemment le dialogue?
Voir celui des 4 autres précédentes, de ce que tu te souviens...
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By Transcendantal
#134773 J'ai la solution sous les yeux, faire un atelier pratique, je suis simplement face à un dilemme.

Mais si l'on reste pragmatique, et au)delà des difficultés qu'il y aura (et qui me font hésiter), ma priorité est de devenir l'homme que je suis, ce qui implique d'avoir des filles dans ma vie ; les gens qui peuvent m'aider sont en France, en plus j'ai un réseau de gens en France (Paris et ma région natale) qui serait content de me revoir, alors que je n'ai pas de réseau ici, l'absence de coach y étant pour beaucoup dans les mauvais choix que j'ai faits, donc la solution est de rentrer en France et de mettre le paquet sur mon projet.