- Sam Juin 08, 2013 7:36 pm
#134812
Moi ce que je remarque, c'est que quand j'essaie d'élever le débat en étant carré et rigoureux dans mon raisonnement, et en faisant référence aux grandes intelligences de l'humanité, on remet toujours en cause ma personne, et on ne me répond jamais sur le fond, sans parler du fait qu'on ne lit pas tout ce que je dis, et qu'on n'essaie pas de considérer mon propos dans son ensemble cohérent. Et on dit que mes réponses sont "violentes", et par exemple il paraît que je dérive vers le côté obscur quand je fais une référence à Platon. Bah oui, c'est mon franc-parler qui s'exprime, mon intelligence aussi, parfois quand je lis certains trucs, oui c'est un peu agaçant, car t'as des gens qui font style "je sais des trucs" et au final quand on les lit, ya rien. J'ai toujours été comme ça, sauf que la timidité muselait tout. Mais oui, j'ai une légitimité intellectuelle, sociale, sportive à faire, et j'y travaille.
Sur la violence dans mes interactions, non, je ne me fais pas violence, sinon les filles me dégageraient direct tout le temps, ce n'est plus le cas, le pb est surtout une question d'état d'esprit (ce que j'ai pointé trois posts plsu haut, et vous le confirmez, mais mon entetement me fait faire le contraire du nécessaire) et mon incapacité à badiner.
Enfin, il est juste très frustrant de constater le contraste hallucinant entre les réactions de filles de la rue, et celles que je côtoie en milieu fermé (boulot, bar, cafés), il faut croire que dans la rue, je suis tellement obnubilé par l'abordage, que ça en devient anormal, voire que ça sente la solitude à plein nez (qui disparaît donc quand je suis accompagné, concentré sur un livre, occupé au travail).