- Sam Mar 29, 2014 3:49 pm
#149570
@ Ventel
C'est amusant que pour toi il ne semble pas être possible qu'un ouvrage se termine de manière mitigée, ni bien, ni mal...
***
"Si le schéma narratif est vu en 20 minutes..."
Oh! Tu peux réduire à 10 mn stp ?
Mais pauvres gamins de 6ème condamnés à faire des schémas narratifs quand même, tout au long de la 6ème et après, y compris par des agrégés de lettres ! Et totalement trompés par l'importance de cette rigolade...
(La belle affaire de faire un schéma à la con (parce qu'un schéma ça fait scientifique) pour montrer qu'une œuvre a un début, un milieu et une fin, et de mettre des mots du dernier pédantisme (comme "Incipit") à gober à des gamins en leur faisant croire qu'ainsi ils devenaient plus intelligents et plus cultivés. Non, vraiment, c'est fantastique !)
Heureusement que dans leurs ateliers d'écriture personnels, nos grands auteurs n'ont jamais supposé l'existence d'un tel animal. Mais l'important est de croire en ce que tu fais Ainsi le veut l'Ordre prôné par le ministère de la Zéducazion Nazionale ! J'imagine Hugo s'arrachant les cheveux : "Putain, j'ai pas encore trouvé l'élément perturbateur à mon incipit d'hier. Foutredieu, j'y arriverais jamais !". Le schéma narrative de la Recherche ? ^^ Bon courage !
Pour ma part, je suis contre la peine de mort, mais cependant, j'avoue que je ferais volontiers exception pour certaines catégories de l'humanité : les zarchitectes contemporains en font partie, et aussi les frappadingues qui se sont amusés à massacrer l'Education nationale, ces sinistres pédagoles n'ayant par ailleurs en Français qu'achevé le travail entrepris pas les "barthésiens" dans le domaine des études littéraires (ah ces fameuses études donnant le schéma triangulaire des amours dans l'œuvre de Racine).
"on devrait fusiller ceux qui proposent de faire ingurgiter ce genre de conneries à des gamins de 6ème", comment Ventel ??? Tu n'as pas compris que je ne visais pas les profs, mais ceux qui font ces programmes du dernier délire ? ("ceux qui proposent de faire" pas ceux qui "font" ; mais j'aurais dû écrire, "ceux qui imposent"). Oui, c'est Sbires de l'Education Nationale, ces sinistres conseillers qui se sont chargés de la mission de tout foutre en l'air, quelque soit le ministre : la mission sera accomplie lorsqu'Education Nationale (malheureusement une idée mussolinienne adoptée en France du temps où Mussolini était à la mode, alors que rien ne vaut l'Instruction Publique, tandis que les parents se chargent de l'Education), lorsque cette Educ'Nase donc, prendra le nom de ce qu'elle est vraiment en réalité : "La Garderie Nationale".
C'est d'ailleurs tellement vrai que généralement, les pontes de l'Education Nationale évitent de mettre leurs gamins dans le public... L'Ecole Alsacienne de Paris, si ma mémoire hors contrat, faisant office de nec plus ultra.
Ah oui, quelle sinistre farce que tout ceci !
Ventel, tu feras ce que tu voudras, mais moi aussi j'ai été à ta place, au même endroit. Tu sembles débuter, tant mieux pour toi si ça te plaît. Mais songe à mon conseil si un jour tu sens la flamme qui vacille : FUIS !.
C'est amusant que pour toi il ne semble pas être possible qu'un ouvrage se termine de manière mitigée, ni bien, ni mal...
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"Si le schéma narratif est vu en 20 minutes..."
Oh! Tu peux réduire à 10 mn stp ?
Mais pauvres gamins de 6ème condamnés à faire des schémas narratifs quand même, tout au long de la 6ème et après, y compris par des agrégés de lettres ! Et totalement trompés par l'importance de cette rigolade...
(La belle affaire de faire un schéma à la con (parce qu'un schéma ça fait scientifique) pour montrer qu'une œuvre a un début, un milieu et une fin, et de mettre des mots du dernier pédantisme (comme "Incipit") à gober à des gamins en leur faisant croire qu'ainsi ils devenaient plus intelligents et plus cultivés. Non, vraiment, c'est fantastique !)
Heureusement que dans leurs ateliers d'écriture personnels, nos grands auteurs n'ont jamais supposé l'existence d'un tel animal. Mais l'important est de croire en ce que tu fais Ainsi le veut l'Ordre prôné par le ministère de la Zéducazion Nazionale ! J'imagine Hugo s'arrachant les cheveux : "Putain, j'ai pas encore trouvé l'élément perturbateur à mon incipit d'hier. Foutredieu, j'y arriverais jamais !". Le schéma narrative de la Recherche ? ^^ Bon courage !
Pour ma part, je suis contre la peine de mort, mais cependant, j'avoue que je ferais volontiers exception pour certaines catégories de l'humanité : les zarchitectes contemporains en font partie, et aussi les frappadingues qui se sont amusés à massacrer l'Education nationale, ces sinistres pédagoles n'ayant par ailleurs en Français qu'achevé le travail entrepris pas les "barthésiens" dans le domaine des études littéraires (ah ces fameuses études donnant le schéma triangulaire des amours dans l'œuvre de Racine).
"on devrait fusiller ceux qui proposent de faire ingurgiter ce genre de conneries à des gamins de 6ème", comment Ventel ??? Tu n'as pas compris que je ne visais pas les profs, mais ceux qui font ces programmes du dernier délire ? ("ceux qui proposent de faire" pas ceux qui "font" ; mais j'aurais dû écrire, "ceux qui imposent"). Oui, c'est Sbires de l'Education Nationale, ces sinistres conseillers qui se sont chargés de la mission de tout foutre en l'air, quelque soit le ministre : la mission sera accomplie lorsqu'Education Nationale (malheureusement une idée mussolinienne adoptée en France du temps où Mussolini était à la mode, alors que rien ne vaut l'Instruction Publique, tandis que les parents se chargent de l'Education), lorsque cette Educ'Nase donc, prendra le nom de ce qu'elle est vraiment en réalité : "La Garderie Nationale".
C'est d'ailleurs tellement vrai que généralement, les pontes de l'Education Nationale évitent de mettre leurs gamins dans le public... L'Ecole Alsacienne de Paris, si ma mémoire hors contrat, faisant office de nec plus ultra.
Ah oui, quelle sinistre farce que tout ceci !
Ventel, tu feras ce que tu voudras, mais moi aussi j'ai été à ta place, au même endroit. Tu sembles débuter, tant mieux pour toi si ça te plaît. Mais songe à mon conseil si un jour tu sens la flamme qui vacille : FUIS !.