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Modérateurs: animal, Léo

By john dilinger
#111531 [quote="animal"]pas de connexion, pas de jeux polissons
Merci d'avoir élevé le niveau :)

Bon, je suis totalement pour (et je souhaite même) recevoir des conseils voire faire des mini-débats sur mon journal, mais je ne veux pas le voir pourri par des chipotages sur des définitions.

En plus ce soir je suis heureux.

Je viens de voir le film L'Art de Séduire dans un cinéma très stylé (style ruelle new-yorkaise).
Le scénario me laisse un peu dubitatif - et je prendrai le soin de faire une critique lorsque je l'aurai mieux digéré - mais le film en lui-même m'a redonné une énergie folle !

A la fin du film une fille que j'avais repérée sort du cinéma et prend la même direction que moi. L'occasion était trop belle...
Il y avait une impression de mise en abîme à l'aborder après avoir vu un tel film, mais qui rendait l'interaction d'autant plus amusante.
[quote]J'ai remarqué qu'on était dans la même salle de cinéma et comme tu remontes la même rue que moi, j'ai pensé qu'on pouvait...
E : ...s'échanger nos impressions.
M : Voilà ! ... Mais j'avoue que c'est un peu gênant. :) Vu la nature du film tu dois me voir comme le dragueur du scénario. :lol:
Elle, le sourire au lèvre. Moi, un peu gauche comme l'acteur.
[quote]E : Et tu fais quoi dans la vie ? :)

Elle tournera à la ruelle d'après. Lui prendre son numéro ?
Pourquoi faire !
J'ai seulement pris plaisir à lui parler.

Comme j'ai pris plaisir à tirer par l'épaule cette écervelée qui restait sur la route à écouter son BlackBerry alors qu'un taxi lui fonçait dessus. Une deuxième fois puisqu'elle n'en faisait qu'à sa tête !
[quote]Merci ! :)
Elle aussi j'aurais dû lui prendre son numéro ? Peut-être. Elle me plaisait beaucoup tiens.
Mais non. J'ai juste pris plaisir à me laisser aller. Me laisser aller au contact verbal ou physique sans réfléchir, sans activer le mode "prends son 06 !!". Me laisser aller au jeu, tout simplement.

Une fine pluie me taquinait le visage et là j'étais bien. L'impression d'être cette eau qui s'immice entre les interstices des rapports humains, cette eau qui innonde Paris à ce moment précis. Cette pluie.

Un homme est en train d'apparaître en moi et j'aime ce qu'il est.
By john dilinger
#111790 Quand une fille rencontrée 1h avant vous invite à monter chez elle et que, tranquillement assise sur son canapé, vous confie droit dans les yeux contracter son vagin sans que vous vous en rendiez compte, vous sentez que vous avez monté d'un niveau.
By john dilinger
#112214 Valerie. Blonde, les yeux bleu-gris, élégante, féminine, poétique.
Un corps d'adolescente.

Rencontrée dans le train samedi qui me ramenait à ma ville natale.

Embrassée dimanche soir devant chez elle.

Nuit passée avec elle lundi soir.

Valerie a 39 ans... ^^
By @hopkins
#112217 t es balaise John Dilinger lol
By john dilinger
#112328 Mathilde. Une collègue de stage.

18 ans. Embrassée vendredi à la sortie de mon stage.

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Par pudeur, j'ai moins envie de m'étendre sur ces derniers évènements de ma vie, bien qu'ils soient plus intéressants/élégants que d'autres décrits avec une très grande précision.

Le principal dans tout ça, mon ressenti des derniers jours, c'est que j'ai franchi un énorme palier sans m'y attendre.
Non, je ne m'attendais pas à coucher avec une femme 2 jours seulement après l'avoir rencontrée.
Dois-je m'en enorgueillir ? Il est vrai que ça fait partie de ces défis de "l'apprenti séducteur" que je suis, mais la rapidité ne fait pas forcément la beauté de la rencontre.

Car c'est bien la beauté/l'élégance de la rencontre ou du premier baiser que je recherche dans ces histoires.

Un ami m'a aidé à comprendre ma "technique de séduction" récemment, c'est-à-dire ma manière de séduire propre, celle qui me convient et qui est apparu naturellement au cours de mes expériences : le tact et le culot. Du moins, ce sont les termes qui semblent les plus appropriés.

Je connais quelqu'un qui s'y prend en jouant sur son côté animal/viril/cash et qui embrasse/couche facilement après la boîte.

J'en connais un autre qui s'y prend en misant à mort sur la preuve sociale et l'expérience professionnelle/artistique (ce que Stéphane appelle "l'énergie potentielle") et qui cherche à en mettre plein la vue dès la rencontre. Il arrive dès le début à rendre très amoureuse les femmes qui lui plaisent, rencontrées de jour.

Ma façon de faire est plus inspirée de la 2e manière, mais avec le culot de la 1ère manière en essayant de jauger le bon moment où l'utiliser. C'est la façon qui me convient le mieux.
Je pense arriver de mieux en mieux à trouver ce moment.

Oui, c'est le cocktail qui fonctionne : tact et culot font 90% du boulot.
Trop de culot, on est lourd.
Trop de tact, on est gentil.

Une fois ce mélange maîtrisé, il devient facile de sexuer, connecter, projeter, etc...

C'est, du moins, ce qui fonctionne pour moi ; et je suis content de commencer à trouver... mon jeu.

========

Valérie semble beaucoup s'attacher à moi. J'espère qu'elle est consciente que notre différence d'âge ne me permet pas de la voir, ne serait-ce que, comme une "petite-amie".
Mais je l'apprécie beaucoup et j'aimerais continuer à la voir occasionnellement. Je passe la nuit chez elle ce soir d'ailleurs.

Que ce soit Valérie ou Mathilde, je me sens juste d'humeur à jouer en ce moment, si bien que je ne serais pas jaloux si j'apprenais que l'une ou l'autre rencontre un autre homme.
By john dilinger
#112686 Je suis serein en ce moment. Enfin du moins, je l'étais jusqu'à très récemment.

La sérénité. Quand j'y pense c'est sans doute ça le véritable bonheur.
La pub nous fait rêver un monde où un [url=http://www.youtube.com/watch?v=UsfNXj9s-iY]simple shampoing déclenche un orgasme[/url]. A partir de là, toute vie constituée d'un minimum d'incertitudes, de passages à vide ou de malaises paraît infiniment triste.
Mais la sérénité, cet état de flottement qui nous rend disponible pour profiter du présent et des piques de bonne humeur, c'est sans doute ça le bonheur.

C'est un état que j'atteints justement lorsque je fréquente une femme depuis quelques semaines. C'est l'état que je ressentais encore hier, grâce aux femmes que je fréquente actuellement.
Après 2 anciennes relations qui ont pris une tournure très sérieuse et dont la rupture fut douloureuse, j'ai un extraordinaire détachement vis-à-vis de ces nouvelles femmes et je suis content de réussir à faire ce que je voulais faire depuis le début : m'amuser. M'amuser tout en créant de belles situations dignes de relations sérieuses. Mais ne pas m'attacher davantage.

Mais voilà, l'année reprend, une nouvelle année d'étude, et les questions sur mon avenir professionnel se font plus pesantes que pendant les vacances. La sérénité s'éloigne pour laisser place au doute.

C'est bien beau de savoir séduire mais ça ne fait pas de moi un homme COMPLETement heureux.

Faire un cursus qui me plaît. Fréquenter les personnes avec qui j'ai des affinités / qui affinent mon goût. Approfondir mes passions. Saisir voire déclencher des opportunités dans le domaine professionnel ou artistique.
Voilà les points sur lesquels je vais travailler cette année.

Et les femmes. Elles seront mon temps de récréation dans cette école de la vie.
By john dilinger
#134989 Rien de pire qu'une femme qui vous met mal à l'aise.
Chiante, chieuse, ces femmes-là n'ont pas compris ce que désirent le plus les hommes : la sérénité.
Dans ces cas-là, la rupture est un soulagement.

Elle, femme de caractère et d'ambition qui s'est construite toute seule, moi, diplômé bac+5 aux manières de consultant, j'avais pensé passer outre un tel fossé, construire une complémentarité.
Parmi les terrains sur lesquels la rencontre était propice : la toile et le le matelas. Mais en dehors de ça, nous ne parlions pas la même langue.

Je sais que d'ici quelques jours, elle se trouvera un type un soir qui pensera la draguer alors qu'elle l'avait déjà choisi, qu'elle jouera les difficiles avant de bien sûr céder, qu'il la pénétrera chez lui en pensant être l'un de ceux qui comptent.
Je ne lui en veux pas pour ça. L'appel de la chair et de la compagnie d'un autre sont les mêmes pour tout le monde.

Je me surprend à ne pas avoir tout perdu dans la drague, même avoir gagné certains traits.
Le cœur évidé, je n'ai pourtant pas tout de suite l'envie de consommer.

Hier soir, après quelques tentatives de kamikaze, je remarque une pile de flyers derrière 2 russes.
« I need your help !
- ?? »
Je commence à faire un avion en papier, lui donne un flyer. Elle m'imite, sa copine aussi.
Pearl Harbor sur le barman !
C'est con mais ça a suffit à ce que la brune se frotte à moi en dansant.
Non merci, pas ce soir...
By john dilinger
#134998 [size=150]Peur de l'abordage[/size]

- Se faire moquer
- Gêner l'autre
- Se sentir rejeté

Si on réfléchit posément à ce qui terrorise le plus un homme dans le fait d'accoster une femme, on n'aboutit à ces 3 raisons.

Il y a quelques semaines, j'étais assis dans le RER pas très loin de mon type de brune. Je me suis promis de lui parler avant de quitter le train. L'inconvénient, c'est que je ne savais pas à quelle station elle descendait.

C'était la station juste avant la mienne, je sors avec elle et lui déballe mon jeu à la va-vite avant que la sonnerie retentisse.
Evidemment, ma tentative a échoué en partie à cause de la situation d'urgence.

Rentré en hâte dans la rame avec les portes qui m'ont a moitié dévoré, je me rassois soulagé d'avoir déchargé cette montée d'adrénaline qui s'était maintenu depuis que je l'avais vue (la tentative est plus forte en émotion que la réussite).

J'ai mis quelques secondes à réaliser que 4 hommes me regardaient en riant. Ils avaient tout entendu. C'était la première fois que je me faisais prendre la main dans le sac.

Après la gêne de circonstance, j'ai tout de même remarqué un fait stupéfiant : leur sourire n'avait rien de moquer, il s'agissait de sourire bienveillant.
« Ce garçon a des couilles »
By john dilinger
#135025 [size=150]Peur de l'abordage[/size]

- Se faire moquer
- Gêner l'autre
- Se sentir rejeté

Extraits de discussions après des abordages de rue fait avec un minimum de tact :

[quote]- Mon numéro de téléphone ? Mais j'ai 30 ans, je suis trop âgée pour vous...
- Ça ne me gêne pas :)
- Je pourrais vous présenter des copines à moi par contre ! En tout cas, il devrait y avoir plus d'hommes qui font ce que vous faites.
- Les dragueurs ? Ça a toujours existé. Enfin, vous voulez dire draguer autrement que le "wesh mamoizelle".
- Mais pas que ! La dernière fois, je prenais le métro. Il y avait cette fille superbe qui est rentré. Un mec, type bobo, à côté de la barre l'a reluqué de bas en haut avant de faire une mine dégoûtée. Simplement pour attirer son atention.
- Ah merde, il se rend compte que ça marche pas cette technique ? :?

[quote]*se pose la main sur la poitrine, regarde vers le sol, cligne des yeux la bouche entrouverte en continuant de marcher, comme émue*
- Je suis désolée je suis un peu pressée, (me tient le bras) mais en tout cas merci, merci beaucoup :)

[quote]- J'ai un copain... Mais en tout cas merci. J'étais pas très bien aujourd'hui et vous m'avez redonné le sourire.

[quote]*Mes bras planté dans le matelas autour de ses épaules, sa poitrine découverte*
- Je ne sais pas comment tu t'y es pris, mais tu as une bonne "méthode".
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By Léo
#135027 Superbe post, c'est l'un des plus encourageants que j'ai lu des 3 derniers mois !

Inversement, as-tu retenu des extrait de discussions ou elles étaient vraiment outrées ? Gênées ? Défensives ?
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By animal
#135029 [quote="Arthus"]Inversement, as-tu retenu des extrait de discussions ou elles étaient vraiment outrées ? Gênées ? Défensives ?
Que ça n'arrive que très rarement, et en général quand tu te comportes comme un goret en rut...
By john dilinger
#135033 Exactement.

Au pire des cas, les réactions que j'ai eues étaient :
- pas de réponse et continue de marcher (la plupart du temps avec un sourire de politesse)
- incompréhension (soit elle ne s'est jamais faite draguer, soit je manquais d'énergie et oser l'aborder avec une gueule longue comme 3 m lui paraissait bizarre)
- réponse sèche (soit parce que j'essayais l'ironie trop tôt (erreur lors d'une rencontre !), soit parce qu'elle n'avait vraiment pas envie de se faire accoster par quelqu'un) : beaucoup plus rare.

Donc, sur la défensive ça arrive, gênée souvent au début mais c'est ce qui fait le charme de l'abordage, outrée jamais.
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By malkavens
#135037 J'ai vraiment aimé ton post, il est plus que positif et donne l'envie d'avoir le courage d'aborder ces jeunes femmes qui nous plaisent.

Petit question: ta technique est-elle toujours la même ou varies-tu selon les situations, les personnes...?
By john dilinger
#135132 [size=150]Peur de l'abordage[/size]

- Se faire moquer
- Gêner l'autre
- Se sentir rejeté

C'est la seule peur pour laquelle je n'ai pas d'illustration précise.

D'abord parce qu'il me semble en avoir déjà donné une illustration dans la gêne de l'autre : un ami à moi qui a à son actif près de 600 accostages ne s'est fait quasi-insulté qu'UNE seule fois, et pour ma part, les rares fois où j'ai énervé une personne en pratiquant, il s'agissait du copain un peu jaloux de la demoiselle (caché derrière un arbre à ce moment-là).*

Ensuite parce que se sentir rejeté face à une femme qui ne veut pas vous donner son numéro ou vous répondre est un non-sens : personne (surtout pas elle) ne vous a donné a priori la légitimité d'intervenir dans sa vie.
Si elle vous a confirmé venir à un rendez-vous et qu'elle vous a planté un beau lapin c'est une connasse, la messe est dite.
Non, plus sérieusement, cette jeune fille vient de sortir de chez elle sans être forcement disposée à la rencontre, mais plutôt pour s'acheter une salade mesclun chez Monop'. En quoi pouvez-vous lui en vouloir de décliner poliment votre proposition ? De plus, cette femme a peut-être une attirance pour un certain type de mecs auquel vous ne correspondez pas, même chose pour vous non ?

Cet échec que vous venez de subir quand elle vous a dit « j'ai un copain » (classique !) n'est pas important.
Celle qui sera importante sera celle à qui vous plairez (et dont vous aurez eu la même exigence pour la choisir, hein, n'allez pas lever le premier cageot au coin de la rue non plus. sauf après une rupture, c'est accepté :mrgreen: ).
Pour ça, qu'une solution les mecs : mettez votre ego de côté et « I want you to go out there get plenty of phone number, grasshoper » !


* Montrer ses biscotos quand sa copine se fait aborder est une attitude que, si j'ai pu l'envisager il y a quelques années, je ne comprends de moins en moins. D'abord parce que c'est une sorte de fierté de voir que 3 mecs se précipitent vers elle en moins d'une heure au cours de tango (bon sang, c'est moi qui sort avec elle :D ), mais en plus parce qu'elle voit sous le meilleur jour un homme qui ne perd pas son contrôle (cf. Doc Love, chapitre sur la jalousie, encore et toujours lui !) devant un événement qu'elle a depuis longtemps l'habitude de "subir" (cf. la petite dose de bonheur apportée aux filles qui se font BIEN abordées).
By john dilinger
#135450 [size=150]Prise de numéro, sentir le bon moment... et partir[/size]

Visite d'une expo.
Intrigué par un détail, je pose une question à une médiatrice culturelle.
« Le grand type là-bas avec la chemise à carreaux, c'est pas l'artiste ? »
Visiblement, je m'étais trompé. Sa réponse se révèle assez joueuse, taquine.
Je plaisante avec elle quelques minutes puis, me disant qu'elle fait plus ça de manière pro qu'autre chose, l'abandonne pour continuer la visite.

1h plus tard je repasse devant elle et la voit me sourire, je relance la discussion précédente qu'elle accueille encore de manière joueuse.
Elle a un regard qui semble intéressé, mais je préfère voir la suite des événements.

Au fur et à mesure, la discussion devient plus profonde.
Nous échangeons nos ressentis sur les œuvres. Je remarque que son discours est intéressant et me laisse monter au même niveau qu'elle. On extrapole sur la signification que l'artiste a voulu donner aux objets, en supposant qu'il ait voulu en donner une, etc... Les objets d'art sont des puits d'imagination incroyable pour enrichir une discussion.

En plein milieu de la discussion, elle me dit qu'elle est un peu étonnée que je la vouvoie alors qu'elle commence à me tutoyer, qu'elle se demande si c'est parce qu'elle m'a vexé à un moment. Je suis étonné de la voir se mettre en péril avec moi. Je la rassure en lui disant que non.
De profonde, j'ai la sensation que la conversation est devenu privée.
« J'ai juste pris la sale habitude de vouvoyer les personnes que je sais être légèrement plus âgés que moi. Par respect pour les aînés, tout ça...
- Mais tu as quel âge ?
- 23
- Ah bin ça va ! J'ai qu'un an de plus que toi. »

Une pause.

« Comment tu t'appelles ?
- M. Et toi ? »
J'apprends que son vrai job est artiste et qu'elle ne couvre l'expo que jusqu'à la fin du mois.

«Tu as fait les beaux arts de Paris ?
- Non, ceux de Nice. »
Hochement de tête de ma part. Dans ma tête je souris. Une artiste, encore :)

M : « C'est quoi ton numéro ? »
Les joues s'empourprent légèrement. C'est vrai qu'il fait chaud dans l'expo.
E : « ... T'as un stylo ?... »
Je sors mon portable.
E : « Je fais jamais ça... »
J'ouvre le clavier numérique.
« 06... En plus je vais me faire repérer par mes collègues...
- Mais non, ils pensent juste que je lis mes textos devant toi. :wink:
- 86 ** ** ** »

Un visiteur attend pour lui parler. Son regard dubitatif montre qu'il trouve notre discussion ambiguë.
Cache-cache verbal.
« Et donc vous me dites que le prix de vente des sculptures sont de **, ** et ** €.
- Voilà, exactement, la moins chère de l'expo se vend à 70 000 € bla bla bla...
- Très bien. Merci pour ces renseignements. Content d'avoir parlé avec toi.
- Ravie de t'avoir rencontré :) »

Je sors de l'exposition, mets mes écouteurs.
Un bon Lenny Kravitz pour canaliser l'énergie.

[quote]I was born long ago
I am the chosen I'm the one
I have come to save the day
And I won't leave until I'm done
So that's why you've got to try
You got to breath and have some fun
Though I'm not paid I play this game
And I won't stop until I'm done