- Ven Juin 10, 2011 10:02 pm
#109785
[quote="Bishop"][quote="Valmont"]La question était pourtant intéressante.
Merci Valmont !
J'aime l'idée de qualité de réseaux en elle même.
Mais l'idée sous jacente que certains ont du mal à percevoir est aussi celle de l'attractivité de son réseaux : un réseaux de qualité est-il un réseaux attractif ?
Je veux bien que dans une certaine mesure les gens soient attirés par la quantité. Par exemple, au moment de la mode des converses, laquelle perdure,
tout le monde en voulait parce que tout le monde en avait. Chacun sa couleur, violet, rouge, bleu, blanc cassé, bref, je pense que le critère attirant de
la chaussure pour mes amis qui voulait en acheter était plus le fait de la quantité que de la qualité. Mais ici, on sait bien que les femmes sont plus attirées
par la qualité que par la quantité du vêtement.
Alors comment opère la distinction quantité/qualité sur un réseau social ? Les femmes sont-elles plus attirées par un réseau de 2000 personnes (l'idée est masculine ;
plus il y a de monde dans mon réseaux, plus je suis rassurant, plus je suis important, plus je suis attirant, > je suis un leader) ou par un réseaux de 150 personnes
mais qui compte des personnes de qualité et par lequel je suis nécéssairement le prix ?
Instinctivement je dirai le nombre, rapport du succès social réel sur une interface virtuelle. Mais est ce qu'on est le prix si on accepte tout le monde en friendlist ?
Autrement dit :
quand on a 2000 personnes sur son réseaux, on renvoie une image de leader ou de passoire ?Peut-être la qualité du profil présenté influe la réponse.
Je vous livre mon barème totalement subjectif :
entre pas de profil et 100 amis > no life
entre 100 amis et 300 > profils intéressants
entre 300 et 600 > leader
+ de 600 > robot social, personne superficielle
Les femmes ont-elles le même ? Et vous ?
Tu me rappelles les livres de sociologie qui prennent un phénomene isolé et en font une philosophie de vie
C'est comme ces études médicales qui étudient des ptits marqeurs, et qui n'ont aucune pertinence clinique sur la conduite à tenir pour un de mes patients.
En d'autres termes... du brainstorming.
Ce que t'en penses par exemple de mon profil, et le fait que tu l'analyse, ca fait doucement sourire... ce n'est pas un péché certes... mais personnellement j'ai mieux à faire de mon temps à soigner mes patients aux urgences qu'à deviner la qualité sociale d'une personne à travers un site dont je ne controle qu'une partie des parametres.
Et stp, évite moi tes recommandations et tes conclusions philosophique de la vie, je préfére Carlos pour ça.