- Ven Déc 05, 2014 7:50 pm
#160512
Elle est grande, fine mais a des vraies hanches, la peau pâle et depuis peu, elle arrête de masquer les taches de rousseur qu’elle a sur le nez avec du fond de teint. Elle m’a plu dès que je l’ai vue et encore plus lorsque je me suis avancé pour lui faire la bise, que je lui ai mis la main sur le bras et que j’ai senti son odeur si particulière. C’était il y a quelques mois et son copain de l’époque a tout de suite senti qu’elle ne me laissait pas indifférent, c’est du moins ce que j’ai vu dans son regard lorsque je lui ai serré la main par la suite.
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C’était un soir de début septembre. Un ami m’appelle alors pour me dire de passer boire un verre chez sa copine. Je n’avais pas diné, rentrais de mon entrainement et je n’avais envie que d’une seule chose: me poser dans mon lit, lire un bon livre et écouter un de mes morceaux préférés. Je me suis aussi rappelé aussi que j’étais célibataire et que j’avais pris pour habitude de me fouttre un coup de pied au cul pour sortir d’avantage (je suis plutôt quelqu’un de solitaire et j’ai vraiment besoin de certains moments seul pour me poser et faire le point).
Pensant me retrouver juste entre amis et, dans le meilleur des cas, prolonger la soirée autour d’un verre en ville je fais le minimum nécessaire pour être présentable et roule à toute vitesse pour ne pas être une n-ième fois en retard. Malgré ça je suis le dernier arrivé et m’attendant à voir 4 ou 5 amis, je suis surpris de me retrouver au milieu d’une soirée entre couples. Quel coup de pute ! Me faire faire 20 minutes de voiture pour que je vienne mettre un peu d’ambiance à cette soirée ou on parle des prochaines vacances en Grèce ou en Tunisie, je lance un regard froid à mon ami qui m’avait lancé un coup de téléphone une heure plus tôt. Heureusement, il y avait un autre ami célibataire au milieu de ces 4 couples. Je voyais déjà les longs moments de solitude pointer le bout de leur nez.
Ils sont tous sur le balcon, la nuit vient de tomber et ce n’est pas la lumière qui éclaire la table qui me permet de voir qui est présent ce soir. Même si il faut déranger tout le monde et les faire bouger, je fais un tour de la table pour saluer ceux et celles que je ne connais pas. C’est là que je la vois. Je suis surpris de voir qu’elle est aussi grande que moi lorsqu’elle se lève me faire la bise. Son odeur m’envoute autant que ses cheveux courts relevés, sa nuque dégagée et son châle qui couvre délicatement ses épaules et lui donne une putain d’élégance.
Son copain, présent à ses côtés, sent tout de suite le danger et mes amis, qui commencent sérieusement à connaître mes goûts en matière de femmes, me diront plus tard qu’ils ont remarqué à ce moment précis qu’elle me plaisait et qu'ils leur semblait que c’était réciproque
Après avoir refait le monde et avant que le niveau d’énergie ne commence à baisser, nous proposons de sortir au centre ville. Nous perdons un couple pour qui « il est tard» (22h) et qui « préfère rentrer, car ils ont eu une longue journée».
(Petit hors sujet: A savoir que tous ces mots sortent de la bouche de la fille et que monsieur, qui a une envie de sortir qui se lit à 100 m sur son visage, ne daigne pas dire un seul mot. A savoir également que c'est cette même fille en question, qui part plusieurs fois en vacances par année, a les yeux qui brillent devant tout ce qui a de la valeur (sac Louis Vuitton, hôtels étoilés ou encore devant le médecin de son service) et qui, après que j'aie tendu l’oreille au détour d’une conversation, a avoué rester avec son homme « parce que c’était plus pratique pour le boulot », « qu’elle a plutôt une vie confortable » et « qu’elle attendait de trouve une médecin pour retourner bosser dans la région d’où elle est originaire ». Mais je ne me permettrait aucune remarque puisque c’est une amie de la fille que je fréquente ». Fin du hors sujet.)
Mes amis ne me faisant pas que des coups de putes, je me retrouve « par hasard » à côté d’elle sur la terrasse ou nous nous installons au centre ville. Ils ont également bien vu qu’elle me plaisait et tentent un peu de démonstration de valeur maladroite en lui parlant de mes projets. Nous passons une bonne partie la soirée à parler de ses projets de voyage, des miens et d’échanger tout un tas d’informations personnelles. Son ami qui se trouve à côté d’elle ne tient plus en place (j’avoue que c’est une situation dans laquelle je n’aurait pas aimé me retrouver). Elles est tournée vers moi, rigole et à plusieurs reprises il l’interrompt pour l’embrasser, presque au milieu d’une phrase. Elle passa même une partie de la soirée à échanger des infos persos alors qu’il avait sa main sur sa cuisse. La situation était parfois presque étrange.
Je ne sais pas pour quelle raison je n’ai pas pris son numéro ce soir là (peut-être par respect pour son copain) puisque je repartais le lendemain à 100km de là pour commencer mon semestre dans une nouvelle ville. Je savais que nous allions nous revoir un mois plus tard à une soirée organisée par un ami en commun mais je ne pouvais attendre si longtemps.
Quelque jours plus tard je la recontacte par Facebook et c’est là que commença une longue phase de séduction. J’ai eu une partie de la réponse aux questions que je me posais en écoutant la matinée du séminaire sur la connexion.
Pourquoi m’avoir fait galérer ainsi et m’avoir obligé à mettre un genou à terre ?
Quelques indices :
- Elle était en couple au moment de notre rencontre.
- Malgré ses 25 ans et son statut d’étudiante, elle a beaucoup de Femme-femme et un peu de Femme-mère
- Elle est très peu dépendante des réseaux sociaux, ne voit aucun intérêt à être sur Tinder et utilise Faebook et Instagram avec parcimonie.
- Même si elle l’est d’avantage que je l’avais pensé, elle est peu, en tout cas moins sensible que la moyenne au pouvoir. Ce qui est d’une importance capitale dans mes critères.
Tout ça et bien plus font qu’elle avait besoin d’être courtisée et ce n’est qu’au terme de 5 rendez-vous qu’elle se donna et à la fin de 3 mois de début de relation qu’elle me demanda un peu plus de visibilité et l’exclusivité. Et ce n’est pas faute d’avoir mis de l’énergie et de la poésie.
A suivre…
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C’était un soir de début septembre. Un ami m’appelle alors pour me dire de passer boire un verre chez sa copine. Je n’avais pas diné, rentrais de mon entrainement et je n’avais envie que d’une seule chose: me poser dans mon lit, lire un bon livre et écouter un de mes morceaux préférés. Je me suis aussi rappelé aussi que j’étais célibataire et que j’avais pris pour habitude de me fouttre un coup de pied au cul pour sortir d’avantage (je suis plutôt quelqu’un de solitaire et j’ai vraiment besoin de certains moments seul pour me poser et faire le point).
Pensant me retrouver juste entre amis et, dans le meilleur des cas, prolonger la soirée autour d’un verre en ville je fais le minimum nécessaire pour être présentable et roule à toute vitesse pour ne pas être une n-ième fois en retard. Malgré ça je suis le dernier arrivé et m’attendant à voir 4 ou 5 amis, je suis surpris de me retrouver au milieu d’une soirée entre couples. Quel coup de pute ! Me faire faire 20 minutes de voiture pour que je vienne mettre un peu d’ambiance à cette soirée ou on parle des prochaines vacances en Grèce ou en Tunisie, je lance un regard froid à mon ami qui m’avait lancé un coup de téléphone une heure plus tôt. Heureusement, il y avait un autre ami célibataire au milieu de ces 4 couples. Je voyais déjà les longs moments de solitude pointer le bout de leur nez.
Ils sont tous sur le balcon, la nuit vient de tomber et ce n’est pas la lumière qui éclaire la table qui me permet de voir qui est présent ce soir. Même si il faut déranger tout le monde et les faire bouger, je fais un tour de la table pour saluer ceux et celles que je ne connais pas. C’est là que je la vois. Je suis surpris de voir qu’elle est aussi grande que moi lorsqu’elle se lève me faire la bise. Son odeur m’envoute autant que ses cheveux courts relevés, sa nuque dégagée et son châle qui couvre délicatement ses épaules et lui donne une putain d’élégance.
Son copain, présent à ses côtés, sent tout de suite le danger et mes amis, qui commencent sérieusement à connaître mes goûts en matière de femmes, me diront plus tard qu’ils ont remarqué à ce moment précis qu’elle me plaisait et qu'ils leur semblait que c’était réciproque
Après avoir refait le monde et avant que le niveau d’énergie ne commence à baisser, nous proposons de sortir au centre ville. Nous perdons un couple pour qui « il est tard» (22h) et qui « préfère rentrer, car ils ont eu une longue journée».
(Petit hors sujet: A savoir que tous ces mots sortent de la bouche de la fille et que monsieur, qui a une envie de sortir qui se lit à 100 m sur son visage, ne daigne pas dire un seul mot. A savoir également que c'est cette même fille en question, qui part plusieurs fois en vacances par année, a les yeux qui brillent devant tout ce qui a de la valeur (sac Louis Vuitton, hôtels étoilés ou encore devant le médecin de son service) et qui, après que j'aie tendu l’oreille au détour d’une conversation, a avoué rester avec son homme « parce que c’était plus pratique pour le boulot », « qu’elle a plutôt une vie confortable » et « qu’elle attendait de trouve une médecin pour retourner bosser dans la région d’où elle est originaire ». Mais je ne me permettrait aucune remarque puisque c’est une amie de la fille que je fréquente ». Fin du hors sujet.)
Mes amis ne me faisant pas que des coups de putes, je me retrouve « par hasard » à côté d’elle sur la terrasse ou nous nous installons au centre ville. Ils ont également bien vu qu’elle me plaisait et tentent un peu de démonstration de valeur maladroite en lui parlant de mes projets. Nous passons une bonne partie la soirée à parler de ses projets de voyage, des miens et d’échanger tout un tas d’informations personnelles. Son ami qui se trouve à côté d’elle ne tient plus en place (j’avoue que c’est une situation dans laquelle je n’aurait pas aimé me retrouver). Elles est tournée vers moi, rigole et à plusieurs reprises il l’interrompt pour l’embrasser, presque au milieu d’une phrase. Elle passa même une partie de la soirée à échanger des infos persos alors qu’il avait sa main sur sa cuisse. La situation était parfois presque étrange.
Je ne sais pas pour quelle raison je n’ai pas pris son numéro ce soir là (peut-être par respect pour son copain) puisque je repartais le lendemain à 100km de là pour commencer mon semestre dans une nouvelle ville. Je savais que nous allions nous revoir un mois plus tard à une soirée organisée par un ami en commun mais je ne pouvais attendre si longtemps.
Quelque jours plus tard je la recontacte par Facebook et c’est là que commença une longue phase de séduction. J’ai eu une partie de la réponse aux questions que je me posais en écoutant la matinée du séminaire sur la connexion.
Pourquoi m’avoir fait galérer ainsi et m’avoir obligé à mettre un genou à terre ?
Quelques indices :
- Elle était en couple au moment de notre rencontre.
- Malgré ses 25 ans et son statut d’étudiante, elle a beaucoup de Femme-femme et un peu de Femme-mère
- Elle est très peu dépendante des réseaux sociaux, ne voit aucun intérêt à être sur Tinder et utilise Faebook et Instagram avec parcimonie.
- Même si elle l’est d’avantage que je l’avais pensé, elle est peu, en tout cas moins sensible que la moyenne au pouvoir. Ce qui est d’une importance capitale dans mes critères.
Tout ça et bien plus font qu’elle avait besoin d’être courtisée et ce n’est qu’au terme de 5 rendez-vous qu’elle se donna et à la fin de 3 mois de début de relation qu’elle me demanda un peu plus de visibilité et l’exclusivité. Et ce n’est pas faute d’avoir mis de l’énergie et de la poésie.
A suivre…